© P82) toffel a thoukiney oldricie? eb fedos of 2 Le Soleil de Colombie, vendredi 6 juillet 1979 en (aa (BC E- ( ) <9 LE SQREIL ve conomare LE MINI-QUOTIDIEN DE LANGUE FRANCAISE § DE LA COLOMBIE-BRITANNIQUE Directeur: André Piolat Rédacteur: Jean-Claude Arluison Secrétaire : Josette Giguére Publicité: Roland Le Cavalier Compagnie des Jeunes Travailleurs: Rachel Lepage PUBLIE PAR LE SOLEIL DE COLOMBIE LTEE, 3213, rue Cambie, Vancouver, C.-B. V5Z 2W3 Téléphone: 879-6924 Courrier de deuxiéme classe sous le numéro d’enregistrement 0046 —— LES HEBDOS Association de la Presse REGIONAUX Francophone Hors-Québec > ASRS ) tae ( ‘ Réduisez vos imp6ts avec un don ala Fondation Le Soleil de Colombie La Fondation Le Soleil de Colombie est enregistrée a Victoria, C.-B. sous l’Acte des Sociétés et avec Revenu Canada Impét, qui I’a autorisée a remettre des recus aux donateurs qui pourront s’en servir pour réclamer en déductions d’impéts les dons versés. La Fondation est administrée par un conseil composé de huit membres: Président: M. André Piolat Vice-Président: Me Bruce Howard, Juge en Chef, Cour de la Citoyenneté, Trésorier: M. Jean Aussant, Directeur-Gérant de la Caisse Populaire de Maillardville. Secrétaire: Mme Margaret Andrew, ex-présidente de la Commission Scolaire de Vancouver, __ Secrétaire-adjoint: M. W.A. Herring, directeur du département des langues, école secondaire Eric Hamber. Aviseur légal: Me Douglas MacAdams, avocat. Conseillers: Dr. Charles Paris, Secrétaire du Conseil des Chrétiens et Juifs M. David Radler, président Sterling newspapers. SES BUTS: La Fondation a été créée pour promouvoir l'étude et l’enseignement.de la langue francaise en Colombie-Britannique par l’intermédiaire de bourses, prix, etc. > Les dons doivent étre envoyés a: La Fondation Le Soleil de Colombie 3213, rue Cambie : Vancouver, C.-B. V5Z 2W3 Voici la répartition actuelle des dons: M. André Piolat: $500 ; Le Soleil de Colombie: $500 Librairie Le Soleil: $250 Mme Margaret Andrew: $25 M. Gérard Page: $20 anonyme: $30 anonyme: $100 Cercle Francais de Coquitlam: $20 M. H.A. Descamps: $150 M. Louis Abgrall: $30.00 Anonyme : $10.00 Horizon Publications Ltd [David Radler]: $500.00 M. Walter A. Herring: $50 : M. André Chollat: $20.00 .M. Yvan Malboeuf: $5.00 TOTAL TOTAL: $2,210 ——_—_— eS aS ee seeccceees Fondation Le Soleil de Colombie 3213, rue Cambie I | Vancouver, C.B. V5Z 2W3 | Qui, je crois que l'avenir du frangais dépend de notre jeunesse. Ci-inclus | mon chéque au montant | de $ | NOM eee oe PADRESSE ssssiscsies cccosnsishion taniesinesesninecssneense . | } Seeeecccccccesssevcseeses eccccece | VILLE PROV. ccoesssscecosssoe | CODE POSTAL + —_— —_-——_—_— ——s eee ewe ie wre es 4: ‘EDITORIAL Un art nouveau: celui de savoir se passer de subventions Un petit groupe de francophones de Vancouver est d’avis qu'il est possible - de faire des activités qui s’autofinancent. Plusieurs réunions ont eu lieu au cours des derniéres semaines et le sujet étudié était un projet de grande féte populaire francophone. La date du 15 juillet avait été avancée et des contacts établis avec l’Hétel de Ville et des commergants. L’affaire se présentait bien, malheureusement ces francophones enthou- siastes ignoraient qu’un préavis de deux mois était exigé pour une manifestation de cette ampleur. Le projet a donc di étre abandonné pour cette ‘année, mais la préparation a commencé pour I’année prochaine. Vos idées et suggestions seront les bienvenues. Envoyez-les 4 Eternelle Jeunesse, 1605, 12iéme avenue ouest, Vancouver, C.B. V6J 2E3. Tél. 734-7122. C’est, en effet, dans les locaux du club Eternelle Jeunesse que le groupe tient ses réunions. Cette grande féte, placée sous le théme de la francophonie internationale et de la liberté, accorderait également une place aux groupes multiculturels. Les artisans et artistes franco-colombiens pourraient exposer leurs oeuvres et se faire mieux connaitre du grand public. L’esprit de la manifestation serait analogue a celui du marché italien, tenu chaque année rue Commercial ou 4 celui de la féte des Grecs, tenue rue Broadway, chaque année également. Artisans, restaurateurs et autres commercants vendraient leurs produits et une partie de leurs recettes irait dans une caisse commune qui permettrait de couvrir les frais. L’autofinancement ne poserait donc aucun probléme. Les francophones minoritaires ont trop souvent tendance a penser qu’avant d’organiser une activité quelle qu’elle soit, il est indispensable de réclamer une subvention. Il est grand temps de démontrer que I’on peut faire bien des choses intéressantes sans aide extérieure. Jean-Claude ARLUISON | Fausse représentation Monsieur le directeur, J’aimerais émettre quel- ques opinions par l’entremi- se de votre journal, au sujet du reportage du service des nouvelles de Radio-Canada sur la Francoféte qui a eu lieu en fin de semaine der- niére. D’abord, je dois dire que jai toujours beaucoup apprécié le travail de l’équi- pe de Radio-Canada qui est toujours au rendez-vous, fait des reportages intéressants et bien recherchés et qui, a mon avis, est une des raisons pour lesquelles nous voyons un regroupement des franco- phones a travers la province depuis une dizaine d’années. Je comprends le réle du service des nouvelles de Radio-Canada dans la pro- motion des activités franco- phones et son travail d’infor- ‘mation m’a toujours semblé objectif, jusqu’é maintenant. Cependant, je dois quali- fier de fausse représenta- tion le reportage qui a été fait a la télévision au sujet de la francoféte. Dire que la francoféte a été un événement unique, un événement culturel “provin- cial” (alors qu'il n’y avait qu'une trés faible représen- tation d’organismes franco- phones de I’extérieur) est une exagération qu’on ne devrait se permettre méme au nom de I’enthousiasme. Amon avis, ce n’est pas le role d'un service de nouvel- les que d’exagérer l’enver- gure d'un événement pour essayer de lui donner une importance qu'il n’a pas ou qu'on voudrait qu'il eft. Il est malsain pour un or- ganisme d’étre représenté ainsi et il eut été plus hon- néte pour le public de pré- senter la francoféte comme un événement local, une oc- casion pour les francophones de Maillardville de féter la Saint Jean-Baptiste. Je regrettai aussi d’enten- dre affirmer que la Fédé- ration des Franco - Colom- biens avait pris une réso- lution d’appuyer a 100% la francoféte comme féte pro- vinciale des francophones. Il eut été plus juste de souligner que la Fédération a donné son appui moral et financier a la francoféte pour cette année et que sa poli- tique vis-a-vis cette organi- sation sera réexaminée et discutée a la réunion de Vexécutif au mois d’aofit. Si le service des nouvelles se permet d’étre si peu objectif dans l’évaluation d’un événement local sans grande portée, quelle serait son évaluation d’un événe- ment a portée nationale? Tout cela dit en,ne retis rant rién-al’organisation. de la francoféte qui doit étre’ ~ louée pour les efforts indi- viduels et bénévoles de ses membres. Ils ont surmonté de nombreuses difficultés pour réussir un événement ot les francophones ont pu fraterniser, se divertir et applaudir ensemble les Nos lecteurs nous écrivent talents locaux qui ont été présentés. Vous remerciant, je suis, Monsieur le directeur, bien cordialement vétre. Louise Merler Vancouver Grdce au service postal... Messieurs, _ Comme je suis désappoin- té avec votre petit journal! Je suis un abonné depuis le 15 novembre et ca ne m’inté- resse pas assez pour le lire que quelques fois. Je me plains parce que je me suis abonné pour amélio- rer mon francais qui, je trouve, disparait rapide- - ment. Je regrette que Le Soleil est trop dans le genre de fiche d’annonces. Méme a cet égard, je ne peux juger ca un succés, car par le temps que je recois ma copie, les évé- nements annoncés sont déja passés. De temps en temps, je recois méme mes copies une fois que j’ai regu la copie suivante. C’est ridicule! Marc LALONDE Surrey, C.B. P.S. Excusez mon francais. N.D.L.R. En effet, c'est ridi- cule; mais c'est également. “inadmissible, car “Le Soleil de Colombie est expédié le mercredi soir, exception, a la sans poste * centrale de Vancouver, et doit parvenir le jeudi ou le vendredi a tous nos abonnés de la région du Bas Fraser. -Puisque tel n’est pas le cas pour vous, vous devez dépo- ser une plainte au bureau de poste de Surrey. D’autres lettres — page 8 PaRTICIPAacrion Suite 805 80 Guest, rue Richmond . Toronto, Ontario M5H 2A4 [416] 361-0514... ; a.