= Eddie Ching : fart terrasse RR enn nn rong IT IL TN FT IIR TS TT OOS Tr “yt ye “2 eee eit Eddie Ching vient d'imventer une forme originale de peinture: “lart terrasse”. C'est la nature de son nouveau " peindre en exiéricur, (Sillirese’ trésheurews de pouvolr dessiner on méme la rue. Eddie Ching, sur la _ terrasse du Bouquimeur, de 10h 4 18h, tous les jours ouvrables. f Le francais en Afrique _ Progression et enracinement Mukala-Nzuji sinterro- geant sur l'avenir du francais en Afrique est d’abord tenté . de lui prédire comme aux autres langues européennes des “lendemains désenchan- tés eu égard a4 la résurrec- tion des nationalismes lin- guistiques en Afrique au- jourd’hui”. Car dit-il lafri- que bouge. Et forte de l'idée que la culture c’est homme, et craignant que toute négli- gence de son principal sup- port quest la langue, n’en- traine une désarticulation de sa personnalité profonde, el- le revendique avec force son indépendance culturelle, et cherche d’ores et déja des voies et moyens pour l’actua- ce culturelle ne pourra étre du rejet des schémes de pensée imposés du dehors, et ‘ dont la langue étrangére sert d’excellent vecteur”. Cependant, pour Mukala Kadima-Nuzji, promouvoir les langues africaines ne signifie pas rejeter les lan- gues léguées par la colonisa- - tion, dont le frangais, parce que les langues de grande communication internationa- le qui ouvrent sur le monde, peuvent servir d’appoint dans la réalisation pléniére de Homme noir”. t Le bref rappel historique de la rencontre Europe-Afri- que, quil a fait et “les différentes observations sur ‘implantation et la connais- suite page 4 Aitceobile alcoolique Pour contrer la -crise vient de la distillation, aprés fermentation, de la canne a sucre et peut de ce fait tre considéré comme un super-rhum trés pur (moins de 10% d'eau). Plus de huit cents véhicu- les brésiliens, dont la limousine - officielle du gouverneur général, sont exclusivement mues a cet aleool.. Dés -l’automne, Fiat et Volkswagen pro- poseront des modéles “a alcool”. :LE MINE-QUOTIDIEN DE LANGUE FRANCAISE DE LA COLOMBIE-BRITANNIQUE Les parents du programme cadre : | SECOND CLASS MAIL COURRIER DE 2i¢meCLASSE No. 0046 La_ participation des pa- ‘rents est une, sinon la faibles- se majeure de notre systéme d’éducation canadien. Cette collaboration, indispensable au succés de nos enfants dans le programme-cadre, repré- * sente une double exigence; la premiére étant diassister aux réunions du comité de parents, la deuxiéme d’étre dynamique dans |’enseigne- ment du francais 4 la maison. Pourquoi les parents ne s‘impliquent-ils pas? I semble qu'un manque d'information serait souvent a la source d’un tel probléme. Comment peut-on étre intéressé si on n’est pas informé? Comment peut-on aimer le sirop d’érable ou la tarte au sucre si on n’y a jamais gofité? Alors il serait primordial d’augmenter le nombre de membres de |’ A-P.P.C.F. et ainsi de pro- mouvoir notre association provinciale. Plus il y aura de membres, plus il y aura de gens informés, et plus. les recommandations signées par A.P.P.C.F. seront effi- caces auprés des autorités ministérielles. Au niveau local il est diffi- cile, parfois décourageant de- motiver les parents 4 venir assister aux réunions et ainsi d’étre actifs dans l'éducation de leurs enfants. Nous, parents, sommes les pre- miers éducateurs de nos enfants; nous les connais- sons beaucoup mieux que les ‘professionnels de |’école. Nous ne sommes pas sans ignorer l’importance _pri- mordiale du comité de pa- rents. Ce dernier est, 4 mon avis, le regroupement le plus influent du Ministére de lEducation. “Nous croyons que le fait que ces mémes parents soient a la fois les clients et payeurs de taxes du systéme éducatif leur donne droit de regard incontestable et par con- séquent, le droit de parti- ciper a la vie scolaire de leur institution. Nous les reconnaissons comme é- tant les premiers respon- sables de I’éducation et de Yinstruction de leurs en- fants” (1) Ce n’est que par la partici- pation collective que nous, Louise Delisle L'UNICEF & Vancouver Aide en toutes langues _Un instituteur de Coquit- lam, Rod Cornélius, et 13 autres enseignants viennent de rentrer d'une visite en Tanzanie. Ils y ont vu les résultats concrets des pro- jets de développement finan- eés par lUNICEF, le pro- gramme de Il Organisation des Nations Unies pour |'En- fance. “Ce voyage, explique Rod Cornelius, m’a montré que l’aide au Tiers Monde est ~~ une réalité. Nos dollars, par le biais de l’ UNICEF, aident le peuple tanzanien”. La mission des 14 ensei- gants de Colombie-Britanni- que a notamment été impres- sionnée par un systéme de pompe non consommateur délectricité qui alimente en eau 38 villages, et par une presse, dans la capitale Dar Es Salaam, qui imprime des livres scolaires. Rentrés a Vancouver, les visiteurs de -“Tanzanie ont donné une conférence de presse au bureau de l'UNICEF-Colom- bie-Britannique, 739 rue Has- tings ouest. Car pendant que, dans les pays du Tiers Monde, les projets de développement de YUNICEF vont bon train, a Vancouver, comme dans tou- tes les grandes villes du Canada et du monde indus- trialisé , permanents et bé- névoles s’efforcent sans reli- che de réunir des fonds. Dans toutes les langues, et notamment en francais. Depuis deux mois, le bu- reau de la rue Hastings ~ compte une permanente francophone, Louise Delisle, originaire du Québec. Et grace a des bénévoles franco- phones comme Claudie Des- marais, l UNICEF-Colombie- Britannique s appréte a orga- niser des tournées en fran- cais dans les écoles d’immer- stite page 1] “Pourraient mieux faire’ parents pourrons nous inté- grer a l’école et influencer son évolution. Demandons la collaboration des parents pour certaines activités para- scolaires, des voyages, visi- tes, a la ferme...plusieurs s’y découvriront un réle qui les intéresse. Pour ma part, je me ferai un devoir de vous informer au meilleur de ma connaissan- ce; que ce soit par la voie du Soleil de Colombie ou par les publications de l’A.P.P.C.F., je vous communiquerai les plus récents développements Yves Bajard est Fran- cais. Et pourtant — la profession qu'il exerce depuis 10 ans 4, ou plutét de, Vancouver est diffici- lement traduisible dans sa langue maternelle: “Res- source Manager”. Prenez une région, n’importe ot dans le monde: elle est faite entre autres de res- sources naturelles et de besoins humains. Yves Bajard aura pour tache d'iimaginer la meilleure gestion des _ ressour- ces naturelles, en vue ‘dobtenir la satisfaction “optimile des besoins hu- *mains. - Bien entendu, ce genre ’ de profession s’exerce es- * sentiellement dans les » pays en voie de dévelop- , pement, ou l’absence de structures sociales figées et de contraintes adminis- tratives permet, ou pres- que, de redessiner les cartes géographiques.. Yves Bajard a done beau- coup voyagé. Aprés avoir regu, a Grenoble, dans la fin an- _nées 50, une formation - dingénieur géologue spé- Les métiers des francophones Yves, ingénieur 25 CENTS Nous avons désormais deux lignes téléphoniques 879 6924 et 879 665 en matiére d’éducation fran- _ gaise. en Colombie-Britanni- que. Sachez que je suis 4 votre entiére disposition. ean-Pierre Franco-Colombiens. (1) Gerson Foisy, Education Canada Hiver 80, page 20 cialisé dans la conception pour éplucher les pommes de terres. bg dans la prospection miniére au Sahara. C’est le début areca ot Nien