Que déj@ nos front se perdent un jour sans pétuntas nt matin un lLundt sans grtves nt mtdt que déj&@ nos mains ficelées nos mains en amour s'en atllent quértr L'objet de toute une vie Qui de la’ fleur..ou.dutemps qut de la mort ou de nos vingt ans quel @tre reconnu quel chemin en cette ame nutt percée par la plainte d'une locomotive par les trains ptaffant sur les ponts Que déja tu retournes a@ ton parterre j t L'éelat d'un visage @ mirtr Fo | un corps broyé sans défense ‘agi paroles se perdent s : au fond du verre des nutts a loin ad n i 4 2 JA8. 7 j'aime Pa ‘ ss & “ 5 x ST Q i) = Qs & 3 ®) Ct S Q bs Q& 3 iva) at) Fs Q s YQ SSO ican mo ch R Sh ob M. hg et 4 Bonini y ; i 3 i ia sic iaiir ; ;