_CoUPAFM, résultet (Séitorial, suite) ont administrés par ceux qui font les concessions et non pas per ceux gui les exercent, le jeu cela: cratie est feussé et l'opération en devient une de paternalismé, sinon ~ -de.colenialisme., Avec les meilleures intentions au’ monde, cc. ne sont’ pas les anglophénes qui vont régler le prebléme culture] canagien-frongais et Ie. lagazine itaelean. Clest dens cctte née ‘catégorie - qu 'on peut placer la crise “récente a d'un an‘et deni de frustrations ‘sous i eeil "bienveil- lant" c'une adtiinistretion a toute fin pratique étrangére. L'édition en langue frangaise eu magazine - -aclean vient de subir le sert réservé & tout orgene de langue freangaise, adcvinistré par des pro-- pri¢teires de, Langue anglaise, qui présume trop de s9. liberté c'expres- sion. Dorénavant, ce serent des tra- cucteurs professicnnels qui tracui- ront en frangais - des -apticlss dela publication anglophone, 4 4 Toronto. Quand on sait 2 quel “point L'in- . terprétation du, problane Canadien 7h. (différe, selon gue Te point de vue y vienbe de l'un cw de! 1'autre c5té de ~ la, médeille, ces, foits’ font ‘réflé- hir. Cn ne voit plus trop'‘bien com- Lent la perspective d'un pays pilin- gue pourra se résoudre autrement cue _spar un degre roisonnable d'eutononie _-pour checune des deux sociétés. Aarne ae : Lior teh eye A de socigted’ a a ey, os Le notion de "deux societées", telle qu ‘exprinée per la Commission B. et B., presume an-nininum. lins- _ titutions conmunautaires 5’ ‘ou’ moins “s la’base, qui fevorisent. une certai- phe? homogénéité. chez Ltune: -corane chez 1! autre. Crest sur ot impératif® fondaie tal que ce sont’ penchés deux: ete ques spécia aux, l'un le 26 avril et l'autre le 21 juin’. derniers. ‘Staient eee i riser (21a -4- réunis, (du moins invités) les mespon- sebles des principales institutions: et organismes | surtecut identifiés avec les Canadiens frangais. Voici les points qui regoivent L'unanimite: 1. Vu ls fsible représentatign poli- tique des francophones, aux trois ni- veaux ge gouvernerent, la Fédér@tion Canadienne- francadre. de. le. Celeubie.. britannique s'impose come’ L'orgs pnisive représentatif ce¢:la* cofimuna uté ¢'expres- sicn. francatee. de: La: sprevince, cu woins jusqu'a: ce. qu'cn “aécouvre uné meilleu- re formule. - ear : i 8. Il feut consolider. les trots ho- ogénes francophones existant et favo- le noissence de nouveaux poyaux ‘ot L'opport nité se présentecras., “3, Afin a'essurer le -développewent retéonnel des milieux francophenres, via- bles, ns:une province urbanis$e .com- ime celle AS ‘La: ‘Colombie et. dans la ré- gion ce Vancouver, en. particr formules collectives de ‘gestion, breme- nageient, de propriété, 2! thabitetion, de oisir sd) education et é'ingtitu- ticenalisa atioh devrint)@tre. étudiées et mises sur pied. L'une.a surtout: retenu ltattention:: cblle: de:la ecoperction. 4, fin d'assurer le succés mé- izo dens a we : thodes | easeg, contraires & ‘Betndividuar _yeux nisé;: ot nlutét avant-gardié Stes: aux c‘institutions traditionelistes, il feuera ceupter surja collaboration active: des res zonsabies - ‘gens. ‘une, campa- gne pernanente d'information et de con- sulfation. Aitecdétércinetion Ceei veut dire, en un a'autodétermination. : am méme temps, gue -garyeyille di- fin de la grende illusion. ©'est- ¢elle de ercire que la.gs rvie sais est’ gavengse per la. romilie elise. uo es mR conception ancienne du noyau hu- magn poeta dcit: passer dans lea réalité mocgerne de la communauté, qui doit tre active: sept Adc per senai-~ nes Ee leicy: R.Faquetvenrs not, politicue 3.6 3- Loa