INFO-PARENTS COLOMBIE-BRIT ANNIQUE beng NOVEMBRE 1999 ee#we+wets*#wes+eteex#+ee#8tpvseeeeete#ete8stetee8eeerretetteetktkereteetenerteoeoerteeererteereeteetee MOT DU DIRECTEUR GENERAL PAR INTERIM MARC GIGNAC (SUITE) (suite de la page 2) $ de revenus encourues par le fait qu’ils ne regoivent plus le donc parfois faire des choix ou appliquer des coupures de « financement supplémentaire qui leur était attribué pour le services qui ne plaisent pas nécessairement a sone programme francophone! électorat. nd oo : Des négociations auront donc lieu avec les représentants Pour ce qui est de la Fédération des parents francophones, . du ministére de Education dans les prochains mois. Ce son réle ne change pas avec la venue du Conseil scolaire. e que la Fédération recherche, c’est un modéle de résolution Elle est toujours le porte—parole des parents francophones ® de conflits efficace et Equitable, style arbitrage plutot que de la C.-B. qui ont un ou des enfants inscrits dans une ® médiation. A suivre... école ou un programme francophone. Elle défend ets promouvoit leurs intéréts aupres des différentes instances e La gestion scolaire francophone décisionnelles, que ce soit aux niveaux fédéral ou provin- ¢ Comme vous le savez sans doute, le Conseil scolaire cial, tout comme la Fédération des parents anglophones § francophone a déclaré un déficit de 1,3 millions pour (BCPPAC) le fait pour ses membres. 'exercice financier se terminant le 30 juin 1999. La loi ; _ ; e scolaire de C.-B. ne permet pas de budget déficitaire pour De plus, compte tenu des particularités du systeme e les commissions scolaires. C’est donc dire qu’une equipe d’éducation francophone, ou la participation des parents : spéciale du ministére de l' Education visitera les bureaux du et de la communauté est nécessaire afin que l'école puisse , CSF pour analyser la situation et apporter les correctifs remplir pon mane culturel ‘ communautaire, la neon e necessalrss. Ce n’est pas le genre de cori dans laquelle a un réle important a jouer dans le développement et la e aime se retrouver une commission scolaire! mise en oeuvre de moyens qui favoriseront cette partici- ¢ pation. Elle a donc un réle a jouer aux niveaux de la for- § Les probleémes de financement du CSF découlent de mation, de la diffusion d'information et de l’'appui ponctuel, plusieurs facteurs, mais parmi eux on retrouve les deux auprés des associations de parents d’écoles. Elle ae suivants qui méritent notre attention : également un réle important a jouer auprés des autres ¢ Le ministére de l Education n’applique pas intégralement partenaires provinciaux, dans le cadre du partenariat qui ¢ les formules déterminant le financement annuel du CSF. va s'établir autour de dossiers tels que les centres scolaires , Par exemple, il ne donne pas le financement de base communautaires, le préscolaire, le partenariat éducatif et e accordée pour chaque école, puisqu’il ne reconnait que 18 communautaire (PEC), lintégration culturelle, etc... ¢ écoles sur environ une trentaine. . . ; : Les formules de financement du ministére ne tiennent See et anton finatrs do tEaiceation ne peut fale le remboureement pout ies frais de transport est base Sut ly ’ e la revendication nécessaire pour obtenir un financemente une politique rédigée pour les districts scolaires adéquat par exemple. Ou encore si une décision du CSF ® anglophones qui ont une école a pratiquement chaque coin de va a l'encontre des intéréts des parents francophones, qui ¢ rue alors que le CSF n’a généralement qu'une école par ville. d’autre que la FPFCB peut jouer le role de «Chien dee garde»? Le partenariat c'est bien et méme nécessaire, « Ces faits sont troublants et c’est pourquoi le dossier du mais pour aire on meen dy Sonat raaptlieel erat ee Keene irancen as sera “ e ae comme partenaire s’assumer pleinement, étre bien préparé/ © par la au cours de la prochaine année. En effet, la formé, avoir l'information nécessaire et un appui constant ¢ solution au probleme passe entre ae par la reconnais- et cet appui doit venir d’un groupe qui a comme unique e sance, de la part du ministére de |’Education, de la situa- priorité la promotion des intéréts de ses membres. C’est® tion particuliére du systeme d’éducation francophone : d’ailleurs la raison d’étre des groupes d’intéréts. Ils exis-§ territoire provincial, petits nombres, dispersement de la tent parce que leurs membres ont compris que s’ils, clientéle, petites Ecoles, écoles hétérogénes, manque de voulaient que leurs intéréts soient toujours jugés comme e ressources en frangais, etc... Il faut également que le étant prioritaires, ils devaient se regrouper ensemble et ministére accepte de financer les mesures a mettre en place en faire la promotion. $ Pour permettre au CSF d’effectuer le rattrapage qui lui permettra d’étre a niveau avec les autres districts scolaires: ee obtention des établissements scolaires, visibilité La cause juridique ° ae : , ra ; . ne . . e recr n ntel n | nologi Presqu’un an apres la décision du juge Vickers dans lae ecrutement de la clientele, mise en place de la technologie, cause entre les parents francophones de C.-B. et lee établissement d’une culture organisationnelle bien ancrée Pp pnones de vb. et reflétant les besoins du systéme, programmes gouvernement provincial, le ministére de Education a® |; : P m finalement élaboré un document de discussion contenant § d enseignement, ressources pedagogiques, etc. . mesures qui permettront d’offrir 4 nos enfants une education de qualité qui une proposition de modéle de médiation pour résoudre ¢ -¢ 5 ‘ . P ; ‘ : : . . répond a leurs besoins tant au niveau scolaire qu’aux niveaux les disputes pouvant survenir entre le Conseil scolaire ¢ Qjiturel et communautaire. francophone et les districts scolaires anglophones lors de ® cophone et i ° Panesot soolaire a pe services pour des locaux, dU. En terminant, je vous souhaite a toutes et a tous de passer ® un bel automne en espérant que vous réussirez a vous es. a . On sait que le CSF se fait arnaquer par certains districts ¢ tenir au sec (automne en C.-B.=saison des pluies) : rae : usqu’a la péri Ss Fétes. qui facturent des sommes exagérées pour les services °! squ'a la période des Fetes offerts ou pour l’administration de ceux-ci. Certains autres ° . . districts demandent des compensations pour des pertes e Au plaisir, Marc Gignac