i " x SIRO nape PONSA aN aaa a A A aaa - et es ae) Ve wee ve a —w | ee ' tre également pour les gee Le Soleil de Vancouver, Les conseillers munici paux,ain- si que le mire, . désirent une aug- mentation de salaire, Or,l*Acte me nicipal stipule que ces salaires ne depassent le maximum de $,800 pour! les conseillers et $16, 000" pour le! maire, et cela depuis pas mai’ de: temps. TD me_ semble raisonnable d'ten-e visager une augmentation, principale= ment pour les conseillers,Toutefois, | je pense qu'une telle augmentation’ doit @tre calculee d'aprés une base rationnelle, , Ctest pourquoi, jtai vote der- nierement, contre une proposition &. l'effet de demander au gouvernement provincial dfamender 1'Acte mnici- pal, de facon @ supprimer toute li- mite quant “aux hausses de salaire que les membresm du conseil municie pal s'accorderaient eux-mémes, par voie de vote, J'ai proposé un amendement: par lequel les augmentations de salaires soient limitées au méme titre que celles accordees aux employes muni- cipaux ( travailleurs de la voirie, en ateliers et cadres profession- nels ), Cela me paraissait é&tre une juste solution. lorsque le conseil municipal négocie avec les syndicaux représentant les employes municip:- l'argument le plus courant est qu'en raison du danger d'inflation, la ville doit limiter les augmentatigns aux environs de 6 ou 7 pour cent. Ce taux est ltequivalent de la possibi-« lite des ressources financieres pou-, “vant étre attribuees aux salaires.Si ce raisonnement est valable pour les’ travailleurs minicipaux,il doit 1'é& municipaux, Le donseil municipal devrait se contenter dtappliquer &'lud-heme.le meme bareme qu'il utilise pour les autres, Les conseillers, tout comme le maire, sont egalement des employes Civils, bien qu'elus, Mon amendement: fut accueilli a- vec froideur, TD n'y eut meme pas un conseiller pour le seconder, Je fus regu auggi chaleureusement que le serait une nouvelle tempéte de nei- la proposition d'abolir le ae fond des augmentations de «sélaires pour les conseillers municipaux et. pour le maire fut adoptée, Gependant , la question n'en est pas reglee pour si peu, Le gouverne=- ment provincial doit donner son ap=- . probation & l*amendement de LtActe municipal, et tout probablement a la présente session, de la Legislature a Victoria, D1 faut que le conseil m- nicipal attende le passage de son a= _mendement 4 la legislature avant de prendre des mesures régissant 1taug= mentation des salaires, lorsque la ‘question reviendra dans les debats, m position n'aura pas change, a savoir,que 1'augmenta- eri accordee aux conseillers . mnis cipaux et au maire soit la meme que celle octroyee aux autres employés municipaux, conseillers On dirait que j'ai touché un . ‘point sensible.Je ne croyais pas que les ficelles du coeur étaient liees de trés pres 4 la bourse, ————nmen amg tt page 6,le T Fevrier,1969 AFFAIRES MUNICIPALES -par le Conseiller Municipal, Harry RANKIN Le Japon récompense 3 Canadiennes TORONTO: Mary et Constance Chappel, des soeurs jumelles, ont recu des me= dailles au merite, décernées par le consulat japonais a toronto. Crest la premiere fois qu'une telle recompense est offerte par le japon a des Uanadiens, M. Tomotsu Furuta, vice-consul, a precise qutune troisieme Canadienne recevrait cette médaille pour:servie ces rendus. Il s'agit de Blanche .Me~ gafin, ‘@ qui on remettra le prix au consulat de Winnipeg. Ces trois institutrices, qui ont enseigne au Japom ont recu le cine quieme insigne de 1'Ordre du Trésor, une decoration japonaise donnée aux étrangers en reconnaissance de servi- ces exceptionnels dans les domaines de la culture et du bien-étre social, Mlle Megafin a prodigue son ene seignement au Japon de 1922 a 1931. Les soeurs Chappell, maintenant agées de 77 ans,ont enseigné au Japon depuis la premiere guerre jusqu'en 1962, sauf pendant la période du se= cond” conflit mondial. Nées a Tokyo, leur pere était un missionnaire pro= testant pete de 1'fle du Prin- ce-Edouard, Les soeurs jellies avaient recu leur instruction primaire au Japon, pour continuer ensuite leurs etudes universitaires au Nouveau-Brunswick. M.ROBERT PRITTIE EN PUMANT SA PIPE, LE MAIRE DE} BURNABY SONGE A ‘SES PROJETS a : JEUX ‘D’ ETE Le maire de Burnaby, M. Robert: Prittie et celui de New- Wetbitinctey, M, Munivers, rencontreront M, Munro, ministre de la Sante , le 6 fewrier, a Ottawa, Le but de l'entrevue est ae de= mander au ministre que les " Canada Summer Games ", aient lieu a Burnaby- New-Westminster, en 1971. Si la réponse est favorable, le projet entrafnerait la construction d'um centre sportif de plusieurs mile lions de dollars qui desservirait les deux mnicipalitées. les frais d'ope= ration areemberatert au gouvernement fedéral, Dtautre part, lfan passe, lors des premiers jeux. tenus 4 Dartmouth, a Halifax, tous deux en Nouvelle-Eco s= se, les deux-tiers du cout du nouveau centre furent defrayes par le gouver= nement féderal, Selon M, Prittie, si l'on consi-~ dere que 1971 sera l'année du cente- naire de ja Colombie-Britannique, on peut espérer que le gouvernement pro= vincial participerait aux depenses a= fin de celébrer 1'évenement, Sarat ee ‘Chrsniavans de .I’ Hotel de ville Le Conseil de ville devra fonc= tionner sans som maire, pendant plu= sieurs eemaines, M, Tom Campbell, qui venait d'étre opére pour des ule ceres duodénales saignantes et, qui devait laisser 1hépital sous peu, & di subir une deuxieme intervention. Son etat est satisfaisant, mis il devra prendre plusieurs semaines de repos apres sa BOKLie de lthopi- tal, Durant son absence » Le conseil- ler Hugh Bird assume les devoirs de la mairie. : = le conseiller Bird a arinonce la possibilite ~ que’-le: *.gouverne~ ment provincial se charge de tous les frais des Cours de justice.Cette -T eet attitude libererait la ville du coiitt et de la necessité de construire un _pouvel edifice pour loger les Cours municipales; ~ les chefs de service de l'hotel de ville ont été prevenus par le conseiller Earl Adams de maintenir les depenses de leur departement. respectif au niveau de. 1968, car le Conseil doit rogner plusieurs mile lions sur son budget, s'il ne veut pas faire face @ une hausse excessi- ve des impots municipaux; =~ Me Leonard Duddle, representant: le Pacific Breweries Warehousing Limited, protesta devant le Conseil contre le cotit exagere de $15,000 que.son client doit payer ‘a la vias pour son permis annuels - Me Leonard Perris, parlant au nom de 1'Association hoteliere, stest c=: leve contre la proposition du Con seil de prélever une taxe sur la lo= cation des chambres d*hdtels - le montant de $3,000, fut vote pour les frais d'un paysagiste; au gujei d'um travail se rapportant aux approches du sees viaduct de la rue Georgia; - le Conseil oe en faveur d'une hausse de 50% a 75% dans le taux de ltevaluatiow des edifices commer. ciaux, basée sur eur valeur marchan- de, Le francais désla 2ame | année a Toronto TORONTO: Le comite: de direction du Conseil de l'éducation de Toronto a approuve un projet pour 1'enseigne- ment du frangais au niveau de la deuxieme année prévu pour septembre prochain,- Le Rieke » approuvée par un vote de 5 contre 3 et qui entrainerait des debourses de $25,000 pour 1969, a été renvoye au comite des finances pour approbation. le projet prevoit egalement Ltenseignement du frangais au niveau de la troisiéme année en 1970 et de la quatrieme l'année suivante. Lten= seignement du frangais commence ac= tuellement en cinquieme année, Ltapprobatiom du projet procu- rerait aux jeunes torontois un pro= gramme en frangais complet, de la, deuxieme @ la 13eme année » dés Ltau- tomne 1971,