Février 2013 POOOHEEEOHEEHHLEHHSOHHHOOHHHOHHSOHEOHOHEOEOOEETHOEOSHOEOEEEHOOEESOEEOESESOOEEETEEEEOE OEE SES OS ODEO EOESEEOODE Mot du president Chers parents, C'est avec enthousiasme et rigueur que j'ai entrepris en novembre dernier, au terme de l’assemblée générale an- nuelle de votre Fédération des parents francophones de Colombie-Britannique, un mandat de deux ans Gd la présidence de cet organisme. Je remercie les repré- sentants de vos associations de parents de cette marque de confiance. Le conseil d’administration en partie renou- velé s'est immédiatement mis a la tache de représenter vos intéréts en tant que parents francophones. Je tiens a remercier celle qui m'a précédé dans ce rdle, Madame Pauline Gobeil, pour tout le travail et l’énergie qu'elle a investis pour faire progresser la cause des parents francophones de notre province et les services qui vous sont offerts. Je me réjouis toutefois de pouvoir compter sur l'engagement continu de cette bdtisseuse, qui est maintenant pré- sidente de la Commission nationale des parents francophones, l’organisme natio- nal qui promeut nos intéréts. La vision de Mme Gobeil aura ainsi un rayonnement plus large au pays, et son approche stra- tégique en ce qui a trait a la promotion des droits des francophones favorisera une utilisation judicieuse des ressources limitées dont dispose la minorité que nous représentons. Trois nouvelles conseilléres se sont jointes au conseil d’administration de votre Fédération en novembre 2012 : Nathalie Tremblay (Vallée du Fraser), Ma- rie-Pierre Lavoie (lle de Vancouver Sud) et Michelle Mercier (Grand Vancouver). L'intégration de ces derniéres a |'équipe du conseil d'administration a été rapide et harmonieuse. Je suis certain que nous avons trouvé l’équilibre du renouveau et de la continuité au sein du conseil. J'ai aussi déja constaté que la Fédé- ration des parents a une équipe d'em- ployées dévouées, compétentes et enga- gées. Ces personnes sont celles qui, au quo- tidien, font avancer la Fédération et elles le font de facon profes- sionnelle. N'hésitez pas a communiquer avec elles. Cette année, je porterai une attention particuliére a trois dos- siers : la communica- tion, la petite enfance et le processus judi- ciaire visant |l’obten- tion de services com- parables a ceux de la majorité. a Sensibles aux échos entendus lors de notre congrés annuel, nous ten- terons de rendre certaines pratiques gagnantes de nos membres plus facilement accessibles aux autres et de diffuser davantage I’historique du dossier des droits linguistiques de la minorité en Colombie-Britannique. = Nous maintiendrons nos efforts en vue de consolider et de développer les services offerts a la petite enfance, et de permettre aux futurs parents d'étre mieux informés au sujet des choix qu’ils pourront faire pour leurs enfants. a Reconnaissant que l'avenir et la vitalité de notre communauté fran- cophone reposent sur sa reléve, la Fédération continuera de prendre part aux débats judiciaires en cours afin que nos enfants aient accés a des services Equivalents a ceux de la majorité. Par : Denis Roux, président de la Fédération des parents Denis Roux, président et Pauline Gobeil, présidente sortante. Mon action 4 la Fédération des pa- rents, je la vois comme un jalon modeste dans une ceuvre collective plus large, commencée par des pionniers et, je l'espére, poursuivie par nos enfants. Une ceuvre visant le respect de notre fran- cophonie plurielle et sa reconnaissance comme source de vitalité d'une société ou existent les conditions propices a son épanouissement. Je crois que l’'engagement au sein de la communauté constitue un modéle pour nos enfants et une valeur qu’il faut partager. Je vous invite donc a vous impliquer personnellement, G quelque niveau que ce soit, dans l’action com- munautaire ou politique, afin de faire connditre votre opinion et de participer au développement de votre collecti- vité. La période électorale provinciale imminente est une bonne occasion de mieux faire connaitre 4 nos voisins, nos amis ou nos collégues les enjeux qui nous interpellent. Prenons part sans géne aux débats qui conditionnent notre avenir. — A bientét !, Denis