- bles. Parce eque 2, Le Soleil de Colombie,4 Octobre 1974 Settee 22, 0.0. ce) 2,000.0 0 0 OOOO ra ata ate! ‘ape ey 6% so o%e%o% COO aaa naan e dec OOO re! "eae O ete toreteretererere te" $65 9% o%o%o%e%e%e%e"e%e", re" ‘ant ata atatatatata an ate ae eee 62 5%o%e%e%o%e%e%s", patetetetetecesetet, 76% e" oneres ee, sent et ofere: PUBLIE PAR ins tot *, fe ore! ecoseatatetetetotetatete #.9,9,96%,%6%,*,°, ere orerereretetere” *.°,",", OO eseatee eee. a LE SEUL HEBDOMADAIRE DE LANGUE FRANCAISE DE LA COLOMBIE-BRITANNIQUE Conseil d’administration: A.Piolat J.Baillaut N.Therrien 2 fee ee fe a ke ae ee a oe 2 ake ok a ae oo a a Directeur: André Piolat Secrétaire; Marguerite Batut LE SOLEIL DE COLOMBIE LTEE, 3213 rue Cambie, Vancouver 9 Téléphone : 879-6924 Courrier de deuxiéme classe sous le numéro d’enregistrement 0046 LES HEBDOQS DU CANADA La francophonie colom- bienne aura eu droit 4 ses petits soubresauts de sep- tembre, encore cette année. La démission du directeur- général de la F.F.C., Dou- - glas Brown, aura certes con- tribuer a refroidir l’effer- wespence. be “Learrivée a. térme du projet ‘‘éveil fran co-colombien’’ aura aussi mis en veilleuse une cons- truction notable 4 l’infra- structure de la Fédération. Et les récents événements au Centre Socio-culturel a- joutent A l’instabilité du -_ moment. Mais il ne faudrait pas pour autant crier a la pagaille, comme on l’a_ si souvent fait dans le passé. ‘Que Doug Brown quitte, cela constitue une perte, incontestablement. Son dy- namisme, son assiduité 4 la t&che, sa compétence, avaient commandé le_ res- pect de tous, depuis son arrivée il y a un an. On ne peut qu’espérer, A ce stade-ci, que son succes- seur, qui sera connu sous peu, sera d’un calibre et d’un tempérament sembla- les défis sont nombreux et la conti- nuité n’en est pas le moin- dre. Que le projet estival ‘‘fran co-colombien’’ ait eu une fin, c’ était connu depuis le début. Il s’agissait quand méme d’un_ précédent heu- reux et on ne peut qu’es- pérer que la Fédération pour Commentaire Par Jean Dussault: Diffusé le 18 septembre 1974 CBUF-FM ,Vancouver ra & nouveau, par le biais des programmes existants, associer les agents fédéraux 4 des projets communautai- res. Que le Centre Socio-Cul- turel ait Ase redéfinir depuis le début ne doit pas trop nous inquiéter non plus 4 condi- tion que 1’on n’oublie pas que sa fonction premiére était et devra étre de constituer un foyer culturel francophone 4 vocation régionale. D’autres défis s’offrent 4 - ceux qui veulent retrousser les manches. II] n’est pas vain de rappeler en effet que la francophonie colombienne ne jouit pas encore d’une recon- naissance absolue. Et, Ace sujet, ilne faudrait pas rater trop d’occasions d’ affirmer son existence. Il y ‘a une dizaine de jours, les députés libéraux élus en juillet, s’offraient 4 rencon- trer les organismes_ re- groupant toutes sortes d’in- téréts communautaires. Et au début de la semaine, les créditistes provinciaux in- vitaient qui le voulait 4 venir suggérer les nouvelles poli- tiques du parti. On a raté1la deux belles chances d’ex- poser les priorités si sou- vent affirmées en vase clos. En décembre, les néo-dé- mocrates tiennent un mini- _congrés 4 New-Westmins- ter. Il faudrait peut-étre pen ser 4 6étre présents, si ce n’est de l’intérieur, du moins de l’extérieur. Onestfran- co-colombien, ou bien on ne l’est pas! EDITORIAL On en assez... La déclaration, faite la semaine derniére par M. Norm Levi, Minis- tre provincial des Ressources Humaines, annongant que, dorénavant, les personnes recevant les allocations de l’Assistance sociale,qui re- fuseront le travail qui leur est offert, verront ces allocations suppri- Fite: est plus qu’opportune. Si, sous l’administration précédente de M. W.A.C. Bennett, les dé- penses sociales étaient réduites au minimum, en faveur de barrages hydrauliques , qui perpétueraient son nom et celui de ses acolytes, depuis ‘deux ‘ans le gouvernement de M. Barrett est devenu aussi ex- tremiste dans le sens opposé: la Colombie-Britannique est devenue la Mecque de tout ce secteur de la société qui, venant de Terre-Neuve, des Maritimes, du Québec, de 1’Ontario et des Prairies, n’a qu’un lien commun,son aversion A tout ce qui peut étre considéré comme travail. Il est inconcevable qu’alors que plus de 8,400 emplois vacants dans la province restent sans réponse, des milliers de personnes adultes, en parfaite santé, ‘‘vivent aux crochets’’ de la société, par l’entremise des allocations de 1’Assistance sociale. Ce tes pas pour dire que l’Assistance sociale doit étre abolie, il est impensable : de revenir a 1’état d’avant-guerre ot veuves, orphelins, ma- lades, estropiés, devaient dépendre de la charitépour survivre. Au contraire, il faudrait que les prestations mensuelles soient annexées au niveau d’inflation, mais, entre subvenir aux besoins des infortunés et faire vivre dans l’indolence des jeunes gens sains de corps et d’esprit, il y a une marge. Espérons que cette déclaration de M. Lévi, ne sera pas une vaine pro- -messe, car la majorité de la population ouvriére, devant l’augmentation tinuer 4 soutenir ce qui est en voie de devenir ‘‘les parasites’’ de la so- ciété. oe André PIOLAT _continuelle de ses taxes et impots, finiraparse révolter si elle doit con-— Pe) 5 D " 5 D Re 5 », 2.¥ 0 2, OO OID T 0.0.6. 6.0,0:6, 6.0 0.0 0.0 6, " e" COUPON D’ABONNEMENT N’attendez pas plus longtemps! ABONNEZ:VOUS AU 7 SOLE IL¢e Colombie 3213 rue Cambie, Vancouver 9, C.B. Tél. 879-6924 Seulement $7.00 est atatatetetatetetete’: 0.6.0. 9.9.9.9.0,0.9 "eee at eteteceterer ese: a atatat ate! oeeerereceieseces setete 0.0.0.0.0,0,0,¢ ote sotetetet ere ete’ =: _Remplissez la formule ci-dessous et postez-nous la avec votre chéque = des maintenant. . Veuillez trouver ci-joint la somme de §.....+....- pour () abonnement, ; € )renouvellement-au Soleil de Colombie. : : J’inclus aussi la somme de $....... pour donen aide au journal. LINCOLN, Nebraska - Une femme ne peut plus étre repre- sentée comme un morceau de viande par |’Association des éleveurs de bestiaux du Nebraska. Cette derniére avait cru concevoir une idée géniale eninstallant deux aguichants man- . nequins féminins dans une vitrineducentre-ville: Sur leurs corps avaient été tracées des lignes prononcées illustrant les parties les plus succulentes et les plus ‘savoureuses d'un boeuf. L' initiative a déclenché un tel concert de protes- tations de la part des mouvements féminins qu'elle a été dis- * continuée. C'est bien dommage, car c’était une fagon élégan- te et gracieuse de renseigner concrétement les gens sur les parties de boeuf qu’ils mangent, a-dit le président des éle- veurs, Jess Felker. Mais les femmes rétorquent que c’est une idée stupide que d’apparenter leurs corps a celui d’un vulgaire boeuf. . .. - NOM: a ' rene’ Sat sPwtatnenrnt a atanarae enecesesece. ADRESS E:- orev e"e"e7ere70"0-6-9.9.8,°.9, eter etetete tet etefecererece: PRT Pre eoeeate’, 2.0.2.9,8, SOO wetter ete lecerere: VEL LE ZONE: ereteteteteceretete® PISS PRO Vt NCE: DAT E: “Autres pays $10.00 O50 0 0 80 8 6 6 66.6 6 0.8.0 6 6.82 555 858, ee esen tate tetetetetetate®, 82,