Des plaques commeémoratives Depuis dix-huit ans, le Comité des plaques et des monuments commémoratifs pose les plaques afin de rappeler la présence des francophones a Victoria et leurs contributions dans le dévelop- pement de la région. Aujourd’hui, on compte sept plaques passées aux endroits suivants Péglise Sainte-Anne a Cowichan Bay, le magasin la Baie, au centre de la ville le Gatsby Mansion, le monastére des peres franciscains, léglise Saint-Jean-Baptiste, la cathédrale Saint~André, Vhodpital Saint-Joseph et une plaque sera posée sur la nouvelle Ecole Victor-Brodeur le printemps prochain. Ajoutons a cela les briques mises a l’emplacement de l’ancien Fort Victoria. Les moyens du bord, c’est-a-dire les finances limitées, n’ont pas permis de faire plus. C’est grace a la générosité des francophones de la ville et du bénévolat du comité des plaques que l’on a néanmoins réussi a accomplir une ceuvre dont nous sommes fiers. Les moyens le permettant, il y a d’autres endroits ou lon pourrait poser des plaques. Pensons, par exemple, a une plaque pour commémorer Henri Coté, un citoyen dun trés grand merite entre 1960 et 1980 et dont le dossier francophone reste sans tache; une plaque a Phopital Royal Jubilee et un monument installe a Pendroit ou Mgr. Modeste Demers, premier évéque de Victoria, a foulé le sol de Vile de Vancouver en 1848. Enfin, il faut commémorer M. Joseph Tremblay, pére de la Société franco- phone de Victoria. Toutes les inscriptions sont bilingues (francais et anglais) sauf celles des Gatsby Mansion et l’église Saint-Jean-~Baptiste. Il existait déja une plaque en anglais au Gatsby Mansion et la propriétaire a jugé qu’une autre plaque, uniquement en francais cette fois, suffirait. NOVEMBRE 2006 La SFV a 65 ans] D’abord Vobjectif des inscriptions bilingues est de promouvoir la langue francaise et deuxic- ment de nous assurer que les anglophones pour-~ ront les lire d’ot la nécessité de la langue anglaise. Les plaques sont posées a des endroits stratégiques, habituellement pres d’une porte @entrée, ot elles sont nettement visibles et peuvent attirer lattention des passants. D’aprés nos renseignements, nous savons que ces plaques sont vues et lues, par conséquent notre objectif est atteint! Bm Gérald Moreau C.M, président du Comité des plaques aune école francophone § de chez vous... vous au CSFI 11