iit tees niliblabdighailaalndtbad ee meester tes Wi Sebietbenauasidnasesbhasdlvens easel edinatlitatnenttienslem-antiestmeshbheitlinns naniianseasateanminotdndeeated Se ; { vay |) a f FFE a EE Une interview de Fernando Girard par Gaétan Tremblay Le Franco-albertain Q. Vous pourriez donner un bref apercu de |’évolution économique de la Caisse? R. La Caisse a occupé son premier local a Edmonton au 11217 Jasper le 28 no- vembre 1972, Il y avait eu un travail de fait a ce mo- ment par un agent de déve- loppement économique qui avait réussi a recruter envi- ron 200 membres et a faire souscrire du capital, des dé- pdts, des placements de |’or- dre de $45,000. Le 28 no- vembre 1977, la Caisse fer- me. ses livres avec 4,000 membres et $15 millions d’actif. Ce qui veut dire que dans 5 ans seulement, la Caisse a recruté 3,800 mem- bres et augmenté son capital ‘d’a peu prés $15 millions. Q. Cette courbe de progrés dépasse-t-elle les espérances qui avaient dd étre formu- CINQ ANS lées a l’occasion de la. fonda- tion des caisses? R. On ne pouvait espérer un tel succés en si peu de temps. A la réunion de fé- vrier 73, le président du Conseil Canadien de la Coo- pération avait prédit que dans cing années on obtien- drait $15 millions et que dans dix ans on obtiendrait $30 millions. La remarque du président avait été la “farce’’ de la soirée et au- jourd’hui on ’s’apercoit que la farce est devenue une réa- lité. Q. Comparativement a |’évo- lution d'autres Caisses au Ca- nada, ol! se situe Francalta? R. La courbe de progrés est au-dessus de la normale. Q. Pourriez-vous faire un bref historique des Caisses? R. En 1972, il y avait une Caisse qui comptait un gé- rant et un agent de dévelop- Revendications de la Saskatchewan Avant son congrés de 65e anniversaire, tenu 4 Saska- toon du 11 au 13 novembre 1977, l’Association Culturel- le Franco-canadienne de la Saskatchewan, ou A.C.F.C., avait formellement signifié . au ministre de I’Education de notre province, son désir d’obtenir: 1) la reconnaissance non équivoque du francais comme une langue offi- cielle d’enseignement, de droit, en Saskatchewan; 2) Vinstauration d’une struc- ture administrative dis- tincte dans le cadre d’un Service d’Education en langue francaise, au sein du ministére, ou SELF. Au congrés, le ministre a annoncé la mise sur pied d'un “Comité consultatif sur la langue minoritaire offi- cielle auprés du Ministre de l’Education”. Face a cette situation, et en fonction des deux objectifs précités, la seule alternative qui s’offrait al’A.C.F.C. était de pour- Nouveau suivre son travail, soit a lextérieur, soit 4 l’intérieur, du Comité consultatif annon- cé par le ministre. A sa derniére réunion, le Comité exécutif de VA.C.F.C. a accepté en prin- cipe de participer aux tra- vaux de ce comité, aux conditions suivantes: 1) Que le caractére consulta- tif de ce comité soit res- pecté a tout point de vue; 2) Que la langue de travail et de communication du comité soit le francais; Que le comité se préoc- cupe uniquement de |’en- seignement en francais; 4) Que ce comité consultatif soit tenu a présenter ses recommandations dans un délai maximum de six mois; 5) Que le comité soit compo- sé selon les propositions faites par l’A.C.F.C.; 6) Que les recommandations du Comité consultatif soient rendues publiques. Commissaire au C.R.T.C. Le ministre des Commu-_ nications, Mme Jeanne Sauvé, a annoncé la nomina- tion par décret de M. R. MacLeod Rogers au poste de commissaire 4 temps partiel au Conseil de la radiodif- Nos petites annonces sont lues... fusion et des télécommuni- cations canadiennes. La nomination de M. Rogers pour une période de cing ans est entrée en vi- gueur le ler décembre. Age de 51 ans, il est diplémé de l'Université Queens et de l’école de Droit de l’Univer- sité Dalhousie. I] a pratiqué le droit, tout d’abord a Hali- fax, puis 4 Digby, en Nou- velle-Ecosse, et il est mem- bre de plusieurs associa- tions communautaires. pement économique. L'a gent travaillait alors pour la fusion de la Caisse populaire de St-Thomas et de St-Joachim qui existait ici a Edmonton. L’incorporation a pris effet le ler janvier 1973. Cela nous a valu la Possibilité d’offrir le service de chéques 4 nos membres. Le 28 novembre 1972, on acceptait des membres et on prenait les dépéts. Le 1er janvier 1973 on a commencé a prendre les chéques. En- suite ca c’est additionné. L’or- dinateur est venu en 1974-75. Ce qui nous a per- mis d‘établir le plan 24, Au- jourd’hui on peut dire qu’on a le systéme complet de ser- vices avec les plans de retrai- te et d'habitation enregjs- trés, etc... 'Q, Les Caisses et la CAC... R. Si on réussit a s‘organiser par le CAC on commandera un volume plus imposant, Par exemple pour les services QUINZE MILLIONS bilingues, ce qui nous per- mettra d’offrir ces services bilingues a des cotits compé- titifs. Méme si on doit déve- lopper nos organismes éco- nomiques bilingues il faut aussi surveiller. notre .cdté compétitif.. L’emploi d’un agent de développement éco- nomique donnera suite au programme d'action établi a St-Albert le printemps. der- nier. Q. Qu’en est-H du nouveau ‘local, s‘il y a lieu, de Francalta? R. On ‘travaille toujours ar- dGment sur ce point. On a une demande de construc- tion de placée auprés de la ville d’Edmonton, Ca ira au Comité d’Approbation. On aura la réponse définitive le 5 janvier prochain. C’est un projet de construction sur les lieux. de |’ancien loeal. Dans |’esprit de la. Caisse, il y a des plans de location et de “partnership” Vv Le Soleil de Colombie, Vendredi 16 Décembre 1977 5 Commission ites de ’unité ® Oe canadienne is La Commission de I’unité canadienne a ouvert un bureau régional desservant la Colombie-Britannique et le Yukon: Case Postale 10279 701, rue Georgia Ouest Piéce 1540 Vancouver, C.-B. 604-666-3523 Le commissaire représentant les régions ci-haut mention- nées, M. Ross Marks, maire de 100 Mile House, C.-B., invite toutes les personnes qui désirent le faire a communiquer avec la Commission soit en téléphonant ou en écrivant a l’adresse apparaissant ci-dessus. L’Officier Exécutif.du Bureau de Vancouver est M. J.D. Wilson. Co-Présidents: JOHN ROBARTS, JEAN-LUC PEPIN CE gui compte vraiment, c’est ce que disent nos invités en partant, une fois qu’ils ont franchi le pas de la porte. C.-B. nelle en résultera. LA VOICI... L’UNITEMOBILEPOUR TESTER L’ALCOOLDANS L'HALEINE. En ce moment, une flotte de nouveaux camions de police pour I’analyse de l’haleine parcourt les rues et les routes de la Colombie-Britannique. Ces nouveaux camions vont grandement aider la police dans la lutte contre les conducteurs en état d’ébriété. Ils seront de service tout au long de l'année. A travers toute la Les unités de détection de I’alcool dans l’ha- leine fonctionnent d’une maniére simple. Et trés efficace. Souvenez-vous que les officiers de police sont extrémement experts pour remarquer les conducteurs dangereux. Il y a toutes sortes d’indices. Immédiatement, un conducteur suspect est stoppé, il ou elle peut maintenant étre requis de passer sur le champ un test d’analyse de I’haleine dans une unité mobile. Si quiconque refuse, une inculpation crimi- CONTRE-ATTAQUE CONTRE > LA CONDUITE EN ETAT DTVRESSE Ic ae LA VIE. Une lecture d’alcool dans le sang de plus de .08% signifie qu’un conducteur est légalement dangereux. Une condamnation signifie un dossier judiciaire. Une suspension de trois mois ou plus du permis de conduire. Une amende pouvant s’élever jusqu’a $2,000, ou méme la prison. Simplement pour un premier délit. Les pénalités pour un second délit sont méme plus sévéres. Cela parait strict? Pour les conducteurs en état d’ébriété, cela va étre strict. Parce que la boisson et la conduite concernent chacun d’entre nous. Pour de plus amples renseignements sur ce que vous en tant qu'individuel, ou que groupe, pouvez faire pour aider a combattre la conduite en état d’ivresse, écrivez: DRINKING DRIVING COUNTERATTACK 411 Dunsmuir St., Vancouver, B.C. V6B 1X4