Sa a a ne Th 8 sinval Sf thebaev ,sidmolo} ob lisloe ot 16 88I asivd etbaev sid at 3 Le Soleil de Colombie, v février 1982 eee Lettres arts et spectacles avec Annie Granger Ciné-club franco-colombien La tournée du Ciné-Club franco-colombien se pour- suit, malgré |’annulation dans plusieurs villes comme Powell River, Agassiz et Prince George. Campbell “La Horse” “la Horse” film de Granier- Deferre avec Jean Gabin, Auguste, patriarche misan- | thrope et solitaire régne en maitre incontesté sur sa ferme et sur sa famille. Un River ne recevra plus que des films canadiens. Victo- ria a des problémes de salle. llest préférable de se rensei- gner auprés du club des francais. jour Auguste trouve sur son domaine, un paquet de dro- gue. I] fait le guet, capture deux individus, les fait parler et apprend que son petit- fils est impliqué dans ce trafic: sa ferme sert de relais clandestin entre l'Orient et les Amériques! Auguste détruit cette “horse”, sé- questre son petit-fils, tue I'émissaire envoyé par la bande; celle-ci en guise de représailles met le feu aux granges, abat un troupeau de vaches. Rien n’y fait; Augus- te tient bon, malgré la famille qui gronde et voudrait faire appel ala police. Pour le faire fiéchir, la bande lui tend un piége; les hommes investis- PLUS DE PLACE " QUE LE DIALOGUE sent la ferme et violent sa petite fille. “La Horse” est une histoire violente, sanglante, avare de mots. L’action et le drame y ont plus de place que le verbe. “La Horse” sera présenté a Kelowna le 16 et a Vernon le 18 février. “L’adolescente” “L’adolescente” réalisé par Jeanne Moreau avec Simone Signoret, Francis Huster et Roger Blin. L’été 1939 fut, pour beau- coup d'adolescentes et ado- lescents, celui des derniéres vacances. Jeanne Moreau a plongé, sombré corps et coeur dans les délices de la réverie introspective. De ce voyage sentimental, elle a rapporté un bouquet capiteux dont les couleurs et les senteurs dé- gagent, en crevant a la surface de I’écran, de trou- blantes réminiscences, de tendres associations d’idées. Ses confidences appellent la connivence ou a l’inverse, ce mépris teinté de colére que jai eu la peine de lire sur les visages consternés de quel- ques confréres. Album enchanté sur fond d’accordéon-musette et de violon tzigane que Jeanne Moreau nous invite a feuille- ter: Victoria: 16 février; Nanaimo: 18 février; Comox: 22 février; Kelowna: 2 mars; Vernon: 4 mars. Centre culturel colombien Exposition Fasken Elizabeth Fasken est née, a Elora, Ontario, le 24 octobre 1943. Elle poursuit avec succés des études universi- taires 4 Guelph en se consa- crant aux Beaux Arts sous la tutelle de John Fillion et Eric Camera os ee aed Vancouver en 1970, et décou- vre le tissage. Elle apprend a cadrer et prépare elle-méme ses teintures a base de végé- taux. D’abord influencée par le tissage traditionnel’ des Indiens Salish de la Céte La critique de Ouest, elle élargit ses con- naissances en explorant dif- férentes techniques (métho- de suédoise, tapisserie mo- derne). Elle réside actuelle- ment en Nouvelle Angleter- re. Elizabeth a plusieurs expo- sitions a son actif dont l'une déja au Centre Culturel Co- lombien en 1981. Au Centre Culturel Colom-. bien, du 18 février au 19 mars 1982 du lundi au vendredi de 9h00 a 17h00. Vernissage le 18 février a 20h00. : cinéma avec Terry ON GOLDEN POUND. Un homme de 80 ans (Henri Fonda) et sa fille (Jane Fonda) tentent d’apprendre as’aimer. Sous la présence de I’épouse et mére, Kate Hepburn. Le passé et beau- coup de maladresses sont pardonnés. Sentimental et peu profond. Au Park, 18éme et Cambie, 876-2747. . PRIVATE LESSONS. Un jeune garcon prend des le- cons d’amour avec une fem- me mire. Une fantaisie, c’est innocent et amusant. A l’Odéon, Granville Mall, 682- 7468. ‘COMIN'AT YA! _ -3-Dt. Trois dimensions (avec lu- nettes spéciales) ou 2-D, ce film est un amas de détritus. Au Downtown,- Granville ~ Mall, 685-6725. ROLLOVER. Une histoire d'argent, de haute finance, pétrole et politique. Peu profond mais amusant. Au Capitol 6, Granville Mall, 669-6000. WHOSE LIFE IS IT A- NYWAYS? Aprés un acci- dent qui l’a rendu quadriplé- gique, un homme veut mou- rir. Il combat pour mou- rir. Finalement, il gagne le droit de mourir. Puissant, inoubliable, beau, triste et superbe! Au Vancouver Centre, Georgia et Granville, 669-4442 REDS. Deux reporters, mari et épouse, combattent et argumentent durant la Révolution russe. Trés, trés ennuyeux. Evitez! Au Stanley, 12¢me et Granvill 133-2622. coe Vancouver East “Beau- Remy et Marion: deux étres lézardés par la vie. Martine, l’amie de Remy et la mére de Marion, meurt dans un accident d’auto. Mario ne veut pas retourner chez son péere. Tétue malgré son malheur (ou a cause de celui-ci), Mario reste avec Rémy, qui n’a rien d’un étre stable et sécurisant. Et pourtant elle le préfére, peut étre parce qu'il est aussi “abimé” qu’elle. Rémy fait fonction de pére sans s’aper- cevoir que Marion a 14 ans et des idées trés précises. Elle lui explique la situation clini- quement avec des airs faus- sement détachés et cyniques. Effarement du _pianiste, explications, entétement de Marion, refus, combat. Mais. Hcomme il ne se prend pour un éros, Marion arrive 4 ses pere” fins. . “Beau-pére” de Bernard Tavernier avec un mélange de cynisme et de tendresse dépeint deux étres “paumés” qui cherchent, se cherchent et se trouvent. Au Vancouver East Cine- ma, 7éme et Commercial, lundi 15, mardi 16 et mercre- di 17 février a 19h30. “Néa” “Néa”: satire du film “Em- manuelle” vous en rappelez- vous? tiré du livre “Emma- nuelle”. “Néa” prend place en Suis- se. Elle a 16 ans, fille d'un industriel aisé, elle “chipe” & la librairie des livres éroti- ques et espionne sa famille; elle cherche l’inspiration. El- le espére un jour. écrire un roman érotique a succés. “Néa” sous-titres anglais, est de la réalisatrice Nelly Kaplan, et joué avec délice par Anne Zacharias. Au Vancouver East Cine- ma, du lundi 15 au mercredi 17 février a 21h45. INFORMATIONS: 687-4444 VancouverOpcra présente Romeo par Gounod, en francais PREMIERE : LE SAMEDI 13 MARS A 20 HEURES Mardi 16 Mars, 19h30 Jeudi 18 Mars, 20h Samedi 20 Mars; 20h THEATRE QUEEN ELISABETH Avec : Andree Francois Gaetano Scano e Bernard Turgeon Janet Stubbs e David Meek Jean Clement Bergeron Pierre Charbonneau Chef d’orchestre: Anton Guadagno Metteur en scéne: Norman Ayrton BILLETS Bureaux VTC; magasins Eaton’s; : Centres-info des grandes surfaces ~ RESERVATIONS: 687-1818 ntroduction 4 “Roméo et Juliette” “Robson Square Media Centre”, le 12 mars a 19h30 : ntrée: $1 Conférence gratuite dans le hall 5 minutes avant le spectacle. Avec les compliments de |'“Opéra Clu Western Canada Opera Society” Alliance frangaise Les nouveaux penseurs A Alliance Frangaise, lundi le 22 février a l’auditorium, 20h00, il y aura conférence de M. Henri Lepage. Journaliste, économiste, écrivain, chargé de cours a l'université d’Orléans, le con- férencier nous entrediendra de: Les grands courants de la pensée politique, philosophi- que et économique frangaise. _philosophes’ Les livres et les auteurs qui depuis dix ans ont marqué le débat des idées en France. Notamment: les nouveaux (Glucksman, Levy, Clavel); la nouvelle histoire (Chaunu, Favier, Leroy-Ladurie, Duby...); la nouvelle gauche (Attali, Dupuy, Rosan-Vallon...); la nouvelle droite (De Benoist), les nouveaux économistes... Ballets Jazz de Montréal suite de la page 1 siteurs se groupent pour rechercher des formes d’ex- pression nouvelles par le jazz. Les spectacles de la troupe s’en ressentent: le répertoire des musiques et des ballets est sans limites; - les influences proviennent autant de la danse classique que de la danse moderne. Le public aime. La liste des pays ot les “Ballets Jazz de Montréal’ ont été applaudis serait impossible a dresser, tant que la troupe atteint un niveau international. Ou 3 iront les dix danseurs et leur directrice aprés Vancouver? Le carnet de rendez-vous est complet jusqu’en décembre . 1983: Canada, France, Belgi- que, Suisse, Amérique Cen- trale, Etats-Unis, gréce, An- gleterre, Indes, Chine, Amé- rique du Sud, Caraibes,...De véritables entrechats a 1’é- chelle mondiale. : Pour tous renseignements, voir l’annonce publicitaire. jacques coud ene oe L'Alliance Francaise présente # Hf Jacques Douai le numéro un de la chanson folklorique francaise @ Académie de @ Vendredi 19 février, 20h00 Vanier, en face du planétarium € Réservations : Billets : $9 Membres : musique, Parc 327-0201 $62. Jacques Douai suite de la page 1 fil du temps, le plus beau répertoire qu'on puisse ima- giner, enrichi, d’année en _année, par de constants ap- ports et consolidé par la maturité de l’interpréte. Aucun spectateur n’échap- pe a la magie de ses chan- sons, signées Seghers, Ferré, Marcy, — Aragon, Vigneault, Hugo, Lemarque, Tardieu et tant d’autres de la méme dimension. Les jeunes et les moins jeunes |’accueil- lent avec le méme chaleu- “peux enthousiasme car Jac- ques Douai touche tous les publics sans distinction d’ige ou de situation. “Tout comme la chanson - populaire, la poésie n’a pas d’aége, explique Jacques Douai. Elle est notre ame, notre permanence. Elle va a — lessentiel, elle exprime nos réves les plus intimes et traduit de que tout un chacun — peut ressentir -joie, peine, — - espoir, regrets, humour, ré- volte- et cela par des images d'une richesse et d’une varié- té inépuisables, dans un langage accessible, que la — musique contribue a propa- ger lorsqu’elle devient chan- son. Pour tous renseignements, _ voir l’annonce publicitaire. — a Ha i —"