a Sf Pehle AU POVER ¢ _directe, WWe EXPRESSION WEL PLUSIEURS SIECLES! Savez-vous vraiment d’oi vient cette expression. Simplement de ce que, pen- dant des siécles et des sié- cles, la femme avait réel- lement la surveillance du feu, parce que,.sans feu, il n’éetait pas possible de faire la cuisine. Et ce feu était entretenu dans 1’atre dans la cheminée. Au foy- er.. En méme temps que la femme avait la charge de préparer la nourriture, el- le avait la mission d’entre- tenir le feu. Pratiquement plus rien de tout celan’ex- iste dans nos pays ‘‘dits’’ civilisés’ Et pourtant! Pendant des siécles, 1’4- tre a été utilisé pour la cuisson des aliments. La cheminée remplissait une. double fonction: le chauffa- ge et la cuisson. Comment faisait-on. II y. avait le systéme vieux comme le monde de la grillade, (le nom est reste) sur un gril 4 claire-voie, fixe ou pivotant. Pour faire cuire les cO-. tés: d’une viande, ontrou- vait la broche fixée sur un chenét ou un tourne- broche 4 contrepoids. Sous la broche, des léches - fri- tes recueillaient le jus et la graisse fondue. On n’a pas beaucoup évolué, tout ~ simplement parce qu’onne le veut pas. C’est le bar- becue de nos week-ends. C’est un rite, une science et méme une sagesse. Ce n’est pas sans raison si Anatole France a donnéle nom de TOURNEBROCHE & l’un de ses personnages les plus sympathiques. A coté de cette cuisson existe. la cuis- son indirecte. L’aliment 4 cuire n’est pas - exposé directement 4 la flammeé, ce qui permet l’adjonc- tion d’un corps gras, et, surtout, d’atténuer la chaleur de la flamme. Les pots de cuivre ont com- mencé 4 faire leur appari- tion comme bons conduc- teurs de la chaleur tout d’abord, mais aussi 4 cau- se de leur propriété de mi- jotage dans la braise. Deux autres procédés sont aussi vieux que le monde: la cuisson par im- mersion, quia gardé en An- gleterre- une- vogue inat- tendue, puisque l’on y fait pratiquement toutbouillir, y compris les bifteks et la cuisson 4 l’étouffée. Les daubiéres, par exemple, au couvercle concave peuvent contenir des braises oude™ l’eau bouillante permettant aux aliments de cuire entre deux sources de chaleur. Telles furent pendant de longs siécles, les techni- ques archaiques de la cui- sine, mais elles avaient leur poésie. Et voici de nouveaux moyens de cuisiner: Peu & peu, notamment au XIX6é. Siécle, les fourneaux de brique, puis de fonte, notamment dans le Nord, remplacérent les profon- des cheminées qui servai- ent A tout et chauffaient souvent fort mal. Progressivement, le fer- blanc, puis aluminium et l’acier inoxydable rempla- cérent la fonte et le cuivre. Il est assez difficile de trouver des cocottes en fonte auxquelles les ména- géres avisées sont restées fidéles. Ces nouveaux appareils fonctionnaient au bois, au charbon, 4 l’anthracite. On améliorait le systéme de tirage. Une véritable révo- lution apparut avec les ‘*ronds’’ qu’on mettait sur les poéle et qui permettai- “ ent de régler astucieuse- ment l’intensité de la cha- leur. LLE BE Pendant 25 ans, de 1900 4 1925, ce fut le triomphe de la ‘‘cuisiniére’’ ou du fourneau, surtout dans les pays nordiques: fontes émaillées, carreaux de faience ou de céramique, motifs graphiques et pay- sages. Ce fut un trésor d’i- magination décorative. La rapide industrialisa- tion du gaz d’éclairage et sa transformation ensour- ce d’énergie pour la cui- sine, se développa essen- tiellement A partir des années 20 jusqu’A la\ se- conde guerre mondiale. Il est encore en grande fa- veur dans les ménages. C’est alors que dans_ les années 30 apparurent les premiéres cuisiniéres é- lectriques. - La ménopause et le coeur Au moment de la méno- pause, les femmes: per- dent une partie de leur pro- tection contre les maladies cardiaques, révéle unrap- port soumis 4 1]’Associa- tion des Cardiologues amé- ricains par le Dr. Wil- liam Kannel. Apparemment, l’augmen- tation des risques est date & la réduction “de: 1a u~pro- duction” des hormones, fé- IAIN Be eer yt “Les études sur des. a- nimaux et révélent que les hormo- nes oestrogénes; .en ser raient partiellement res-. ponsables. Les. femmes ont, dans leur sang, des lipides (graisses) diffé- rents de ceux des hom- mes. Ces graisses.,cons- titueraient un. important facteur dans lé durcisse- ment des artéres’ ef'"les maladies coronaires*’<::'-: Ces petites bosses et ces irrégularités que vous a- vez sur la peau, c’est dela cellulite. Le mieux placé pour vous le confirmer est d’ailleurs votre médecin. La graisse, c’est une .cho- LA CELLULITECA SE se. La cellulite, c’est: une accumulation de déchets ou une inflammation, de eau et de la graisse sous-cuta- née, surtout dans le haut des bras, des jambes, des genoux et des hanches. “PRET-A-PORTER FEMININ” Modéle ‘Mademoiselle M"’ de Paul Mausner . . : Djellaba de plage de Charesg ve RES ee | ‘ See COMBAT Pour s’en débarrasser, il faut prendre les grands moyens: commencer par un bon régime qui nettoie le corps de ses excés de li- quides et deses déchets to- xiques; il importe de boire beaucoup d’eau, de provo- quer la transpiration, de stimuler la circulation 4 l’aide d’exercices, de massages, de bains,Sauna et bains spéciaux. ~ Le bain Sauna: vient dune. institution finlandaise. et se répand de plus en plus dans notre pays. Le prin- cipe du Sauna: une chaleur séche allant jusqu’a 150 ou 180 deg. F, avec au moins 10% d*humidité, subie pen- dant une période de 10420 minutes ‘et terminée par u- ne douche froide. Les Finlandais ne se con- tentent pas de forte cha- leur et de transpiration; ils se frictionnent ou se don- nent des coups de brindilles Ou,de baguettes pour acti- ver-la circulation. ~~~ ~~~ Le Soleil de Colombie, 6 Février 1976, 13 des “humains LA BONNE CUISINE 3 tasses de chou haché 1 demi-cuillére 4 thé de moutarde 1 cuillére 4 soupe de sucre 1 demi-tasse de lait chaud 2 c. A thé de beurre 1 oeuf 1 quart de tasse de vinaigre Sel & Poivre - Mélanger tous les ingrédients secs. Ajouter l’oeuf, le lait, le vinaigre et le beurre. Cuire au bain-marie. Battre avec le fouet. Ajouter le chou haché pour finir. Laisser cuire environ 5 minutes - Servir chaud ou froid - - ‘Mayonnaise cuite 2 c. A soupe de farine 2 c. A*soupe.de beurre 1 oeuf 1 tasse de lait 1 tiers de tasse de vinaigre 2 c. A thé de moutarde 1 demi cuillére 4 thé de sel lc. & soupe de sucre Mélanger tous les ingrédients secs; ajouter l’oeuf, le lait et le beurre. Mettre au bain-marie et laisser é- paissir. Ajouter en dernier le vinaigre chaudet lais- ser cuire encore quelques minutes. - N.B. - Le lait peut 6tre remplacé par de la créme; dans ce cas ne pas mettre de beurre - Mayonnaise 4a I'huile 1 oeuf lc. A thé de sel 1 demi-cuillére 4 thé de sucre 2 c. A thé de moutarde 3. c. A soupe de mayonnaise 2 tasses d’huile Mettre l’oeuf dans un bol avec le sel, le sucre et la. moutarde. Ajouter l’huile doucement et par petites doses jusqu’d la quantité désirée. Ajouter du vinaigre si désiré - (a la place de la cuillére de mayonnaise) - Mon neveu était en premiére année d’université et, comme pro- mis, il téléphonait tous les samedis & ses parents. Ma sceur lui demanda un jour s'il n’avait pas laissé. pousser ses cheveux trop longs. —Non, maman. Ils sont juste 4 la hauteur de ma _boucle d'oreille. ; VOTRE COEUR LA SEMAINE DU’ COEUR DU 9 AU 15 -FEVRIER On demande des volontaires pour faire du porte & porte et pour organiser la ‘‘Grande Campagne du Coeur’? - Appeler Shirley Hunter, au 730-4404, — BRITISH COLUMBIA HEART FOUNDATION 1881 West Broadway, Vancouver 9,B.C. - Sur chaque dollar regu, 89¢ sont destinés A l’édu- cation et 4 la recherche - pay LA CAISSE POPULAIRE SAINT-SACREMENT Bureau: Mardi a Vendredi: 9h. AM a 5h. PM, Samedi 9h. AM a Midi Tél: 874-9622 _700 Ouest 16e Ave, Vancouver $ ae Lucien Bellin COIFFURES DE STYLES Créations modernes Tél.:683-4622 1212 rue DENMAN 2 coosMANCOUVER - T