6 - Le Soleil de Colombie, vendredi 31 aoat 1990 ~' INFORMATION «Ma prioritée est...» décision finale leur appartient. Dans un processus d’échange, deux tétes valent mieux qu'une» dit-il. Engagé pour une période initiale de six mois, il ne peut régler tous les problémes durant ce court laps de temps. «Rome ne s est pas fait en un jour et je ne peux pas régler tout en si peu de temps. D’abord, je dois rentabiliser cet édifice. Il y a un espace vacant qui représente un manque a gagner et des taxes de 75 000 dollars a payer. Par !a suite, je voudrais consolider ce que représente la Maison de la Francophonie» affirme M. Latour. Son contrat est renouvelable pour une période plus longue, apres ce délai. ll compte aussi rendre heureux les dix propriétaires associés de la Maison comme la société d'histoire des Franco-Colom- biens, le conseil jeunesse Franco-Colombien, |’associa- tion des parents du programme cadre de frangais... «Mon rdle est de leur fournir les services auxquels ils ont droit et de gérer le batiment pour eux. Ils sont des entités complétement indé- pendantes de moi et ils gérent leurs propres affaires» dit-il. Ainsi tout événement a saveur communautaire reléve du centre culturel et non de lui. Deux raisons majeures |’ont incite a se déplacer a Vancouver. «Je désirais m‘asso- cier a cette cause de /a francophonie car je suis soucieux de la langue au Canada. Gérer cette maison, un organisme a but non lucratif, ajoute une saveur plus humaine aux relations d'affaires que jaurai a 6établir. Je dois également ajouter que j'avais déja visité Ja ville, il y a deux ans, et que! attrait de cette cité a été un facteur qui a compté dans madécision». Safemme et son enfant |’ont également suivi a l’extréme ouest du Canada. Daniel Bélanger Question foyer/ environnement Economisez de l'énergie et du temps. Optez ECONOMIE Effet de la baisse des taux d’intérét Un vent d’optimiste souffle dans la vente de maisons Apres un début d’année difficile, les ventes de maisons reprennent dans la région de Vancouver. En effet, suite 4 une période d’effervescence entre novembre 1989 et février 1990, les mois de mars, avril, mai et juin furent difficiles pour plusieurs agents immobiliers. Depuis le début de juillet, le marché repart et les agents regoivent plus d’une offre par maison avec un achalandage plus grand lors des visites portes-ouvertes. «La baisse des taux dintérét va permettre et aider /a reprise de la vente», estiment plusieurs agents immobiliers. «Une bais- se de 0.25 pour les préts hypothécaires fait une énorme différence pour les emprun- teurs» explique Francoise Band, agente immobiliére dans la région de Vancouver Nord. Opérant sur Vancouver, Nicole Dufour ajoute que la stabilité du dollar, aprés |’échec du lac Meech, s’est aussi avéré un facteur qui a relancé la vente. Les maisons se_ vendent présentement au prix de septembre 1989. Pour Luc Préville, de la région de Coquitlam et Port Coquitlam le marché est redevenu normal. «En novembre 1989, j’avais vendu 24 maison, entre mars et février, tout le monde vend sa maison en méme temps. «// y a eu surabondance de maisons sur le marché et pas assez d’acheteurs, c’était la crise» dit Diane Desjardins, agente immo- biligre dans la région de Richmond. Le marché était saturé, il y avait trop de maisons- pour le nombre d’acheteurs disponibles. «Néanmoins cette situation avantage |'acheteur qui aun plus grand choix et qui est moins pressé dacheter» relate Francoise Band. Une maison prend maintenant régu- liérement plus de deux mois avant de changer de proprié- taire. Pendant cette période de crise, la vente de condomi- niums a été moins affectée. A Richmond et Coquitlam, le prix de ce type d'habitation était inférieur a celui des maisons d’oU' son intérét pour |’acheteur. Mireille Laplante affirme qu’a Vancouver, les condominiums des quartiers de Kitsilano et Fairview étaient plus difficiles a vendre que ceux du «West End». Elle aussi, par expérience, note une reprise des activités depuis juillet. Dans la région de Victoria, la situation est demeurée stable depuis le début de l'année. «Parce que les gens choisissent beaucoup cette ville pour se retirer, le marché connait peu de fluctuations» explique Diane Poulin. Le jeu de l’offre et dela demande varie peu et le délai de vente d’une maison demeure entre un et deux mois. «La baisse du taux dintérét aug- mente le nombre potentiel d’acheteurs de maisons» pour- suit Mme Poulin. Avec |’arrivée de la taxe surles produits et services (TPS) en janvier 1991, les agents immobi- liers espérent un marché plus actif d'ici la fin de l’année. Daniel Bélanger AUTOMOTIVE COLLISION LTD. pour Shaklee! 874-4234 Les produits ménagers Shaklee de haute juin, apeine trois par mois, et 14 Heatsnie avee lanature, U0 service individualisé a en juillet et aodt», dit-il. Entre 258 - 10eme ave. est lis font resplendir votre” huirtite domestqucs: et de sepienapataenunitnedipaahiieneadibiiail a Bi maison de propreté soins personnels de haute sons se vendaient souvent en coin Kingsway Member sans détruire } qualite et une garantie de l'environnement. Pour de plein remboursement . . . la solution Shaklee au moins de deux semaines, voire deux jours et parfois sans visite. Bese - ie 7: *Voiture de courtoisie gratuite ! mpl AE probleme du magasinage. Plusieurs spéculateurs, des E Comigerae: gens qui achétent et revendent Réparation faites au tarifid’1.C.B.C. presque immédiatement, se Shaklee sont introduits dans le marché Jean-Claude et Irene Doucet et ont réalisé de gros profits. Distributeur Independant 941-6367 «En deux mois, une maison pouvait voir sa valeur augmenter de 25%» affirme Luc. Une maison de 150 000 dollars se revendait 160 000 dollars, une semaine plus tard. Mais en Les produits de demain... aujourd'hui. NOUS AVONS DEMENAGE enue : BUS: 986-9321 RES: 980-3334 FAX: 986-9122 PAGER: 686-0932 MICHAEL CHAU SUTTON GROUP WEST COAST REALTY 101-133 15e rue ouest North Vancouver, C.-B. V7M 1R8 PRIX 35 De REDUCTION Vincent Pigeon Traitement pour le visage rég. 55$ prix printemps 36$ Manucure rég. 15$ prix printemps 12$ Pour mieux vous servir, B.A., L 1.B. 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