Ce “¥ L 74 Fi, UNION. UR « JOHN “QUA! a Al 8 —_ Be “AE NUT QO; Bs Le” 45 | |-2-3- FH DVER ; VENDREDI 15 OCTOBRE 1971 ent.de 2éme classe 0046 LAN A LA . Bine+ j es ne 4 a Dr YSO, fs : vice aplageae Barber Shop SorrcnksopaioBerec, P It, ‘ was E ries Je = 3, q a 1V@ principe Bros Men SRbSNGstsStreet 2417 E. “teeveangs Sstaahe 0.70944 S24Wiiicouver 6 Bc Vanccublee. 6 2 BL spe ee Vancouver i3 BC ae ae aie gel ef. y _8.C. * > : a) = 3 rs SF es oe wee : i ’ Vikings Hen's Hair Ems ; er $e , y United Kingdom Buiiding Designs Ltd. a a ; 534 Scv i Barber: Sii0y 8¢ Gr ai wil » Vancouver 2. Vancouve ‘LE SEUL JOURNAL DE LANGUE F RANCAISE DE COLOMBIE BRITANNIQUE 408 LA BARBER SHop OTREET SER VIL R scr ee HISTORIQUE DE LA PAROISSE NOTRE DAME DE FATIMA, MAILLARD- VILE, GB Un certain dimanche de no- vembre 1946, est devenu un jour mémorable dans l’his- toire de la Paroisse de Notre Dame de Lourdes, Maillard- ville, C.B. . G’est en. ce= jour que te Révérend Pére Teck annon- gait publiquement que la Pa- roisse subirait une division territoriale et qu’une autre Paroisse serait fondée plus a l’ouest du village de Mail- lardville, avec, comme curé fondateur, le Révérend Pére Ovila Meunier, o.m.i. Issu d’une paroisse dédiée A la Mére de Dieu, ce nouvel en- fant devait, tout normale- ment, porter un qualifica- tif de la Vierge ; Notre Da- pmecde"F Ati awa inks Soe. -C’est laprés-midi du 17 “| novembre 1946 que tous les hommes résidant A l’ouest de la rue LeBleu se réu- nirent dans la salle de I’ église de Notre-Dame de Lourdes. Il s’agissait d’é- lire, en présence du futur curé, les divers comités afin de discuter les plans de la fondation, les possibilités d’ exécution, l’emplacement de la nouvelle église, etc. (Suite p. 6) a "O°H G Jdanooue ini oe oo 3 I E Camel on VANCOUVER:.{O, “ MeCarerry: You Ru prive3 Gia: hg NE Be PB REODW “vances UN LON 12] Wes Ow Bj } PaRBERSt Le Conseil économique du Canada souléve des doutes sérieux sur l’efficacité de certains programmes de la politique de main-d’oeuvre du gouvernement fédéral, y compris celui portant sur la formation professionnelle des travailleurs. Dans son huitiéme exposé annuel publié A Ottawa, le ‘CEC soutient que si les sa- laires de ceux qui suivent ces programmes de forma- tion augmentent, ‘‘il n’est guére certain que cette amé- lioration doive étre attribuée mes de formation en tant que tels’’. A l’appui de ce jugement, le Conseil signale que‘ le temps écoulé entre les re- levés des gains avant le pro- gramme de formation et aprés celui-ci est Apeuprés d’une année. Pendant cette période, souligne-t-il, la seule hausse des prix rédui- rait le taux d’accroissement “rons de 8 pour cent. entiérement aux program-. des salaires réels aux envi-. bliée par le ministére de la main-d’oeuvs.-,. on éta- blissait A environ 12 pour cent ces gains réalisés du- rant la période allant de janvier A septembre 1969. Le rapport du CEC, inti- tulé **L’Etat et la prise des ‘décisions’’ est contenu dans prés de 300 pages. Trois de ses_dix chapitres sont consa- créS A la main-d’oeuvre : programmes et aspects. Le documentrappelle qu’ uné étude faite par le minis- tere et couvrant la période | précitée montre que les bé- néfices obtenus par son pro- gramme de formation pro- fessionnelle étaient de l’or- dre de deux ou trois dollars pour chaque dollar dépensé. **Une analyse approfondie des données concernant cet- : te période suggére, toutefois, que si l’on tient compte de l’expérience de travail des , candidats pendant plusieurs années avant d’entrer dans les programmes de forma- tion, alors ceux-cine repré- - _|,sentent aucune amélioration _Dan® * Gney étuda ndéjarepy-. dans les chances d’emploi des candidats’’. Le Conseil trouve, d’autre part, surprenant que la for- mation professionnelle des travailleurs soit faite, au Canada,presque entiérement dans des institutions d’en- dans l’industrie. Moins de cing pour cent des dépenses totales pour la formation des adultes sont en effet consacrées par le gouver- nement fédéral 4 la forma- tion dans l’industrie. Dans la plupart des autres | pays, | verse, c’est-a-dire que les | gouvernements dépensent Surtout pour la formation des adultes dans 1’industrie. ‘Tl est difficile de com- . prendre pourquoi le Canada insiste tellement - en fait | presque exclusivement - sur ' la formation dans les insti- tutions d’enseignement alors | que, suivant les experts en | la matiére, dans beaucoup | de métiers et pour beaucoup , de personnes, la formation | dans l’industrie semble étre, préférable”’, eS | Selon le Conseil, la former, seignement au lieu de l’étre — c’est la situation in- . , tion dans 1|’industrie présen- /te de nombreux avantages} | par,rapport 4 celle dans des institutions d’enseignement. D’abord, dit-il, ilest indis- , Cutable que, pour la plupart| des emplois, une certaine - expérience du milieu de tra- : vail est importante ; unren- /dement satisfaisant exige une certaine connaissance ‘des installations matériel _ les, des réglements diate StOL ting Jous reG10g Hutpting pre Gow e Tze. a8: WO A a) "Se ‘lier, de la discipline : régime de production. & De plus, et c’est un@de . plus puissants arguments e faveur de la formation gan l’industrie, dit le Conseil une telle formation placé 1 ‘candidat au service dyn entreprise particuliére i jouit des avantages figan ciers et psychologiques d’a- “voir une rémunération et un emploi pendant sa période ‘de formation. Seog a tok poow ir erg iL? CE St poug ses fh: -T LOH ce g #987385 uo S23U0D Burra [TPG yIOR mon T3! ous FOOTTS F2L04UV LEP “CONS “zacheg sna0 Jd G TDANOSTIEA- uosqoy onz 2