20 oc oe La vte se compare @ une route. La route est comme une force trrésistible quit nous entratne. La vite humaine est semblable @ un chemin dont L'tssue est un préctpice affreux: on nous avertit dés le premter pas mats la lot est prononcée, il faut toujours avancer: marche, marche. Je voudrats retourner sur mes pas. Il faut continuer vers le préctpice. Mille traverses, mille peitnes nous fatiguent et nous inquiétent sur la route. St je pouvats quitter cette destinée affreuse! Won, non, il faut marcher, il faut courtr, tel est le sort des années. On se console, pourtant, parce que de temps en temps, on rencontre des étapes plus intéressantes, des rutsseauc, des fleurs sur notre route. On voudrait arréter. Marche, marche ... on vott tomber derriére nous tout ce qu'on avatt passé. On se console, parce qu'on emporte quelques fleurs cuetlltes en passant, qu'on voit s'épanoutr et mourtr entre ses mains, quelques fruits qu'on perd en les goittant. On se sent toujours emporté, on s'approche du gouffre. Déja tout commence a@ s'effacer; les jardins sont moins fleuris, les fleurs motns brillantes, leurs couleurs moins vives, les prairtes moins riantes, les eaux moins clatres, tout se terntt, tout s'efface: l'ombre de la mort se présente; (Sutte Page 21) eee