| | | ; | | a AA A GO omy ~ \ 14 - Le Soleil de Colombie, vendredi 9 mars INFORMATION de om >t - Lt eS a8 Le Collége Mathieu ouvre ses pories dans une atmosphere de controverse REGINA (APF): Ce fut toute une fin de semaine pour les dirigeants du collége Mathieu. Tout d’abord le Mathieuthon, qui en plus de réunir une trentaine dartistes de la Saskatchewan ayant fréquenté le collége, a permis de recueillir une somme totalisant 200,000$. Mentionnons la contribution du gouvernement du Québec qui a fait, pour l'occasion, un don de 100,000$ pour une contribution totale au fond de reconstruction de 200,000$. Pour Florent Bilodeau, «c’est un succés et surtout, c’est extraordinaire de voir les dons des gens de partout dans |’Ouest du pays». L’enregistrement du Mathieu- thon a réuni prés de 300 personnes dans les studios de Radio-Canada a Régina, et a été diffusé a la radio et a la télévision entre 9 hres et 13 hres en Saskatchewan. Les stations de |’Alberta, du Manitoba et de la Colombie-Britannique ont événement qui constitue une premiére dans |’Ouest du pays. ° Donald Sirois, commentateur a Radio-Canada et ancien du collége résume bien ce que des’ centaines de personnes ont ressenti lors de |’émission: «ga fait chaud au coeur de voir pour une fois des gens de chez-nous participer, et qui ont plein de talent. C'est fantastique». Le lendemain 25 février, Gravelbourg célébrait |’ouver- ture officielle du collége Mathieu. Prés de 500 personnes ont assisté au dévoilement dela plaque du nouveau collége. Aussi, plusieurs orateurs et oratrices ont souligné |’impor- tance de ce jour mémorable. Le sous-secrétaire d’Etat, Jean T. Fournier a rappelé !a contribu- tion du gouvernement fédéral d’un montant de 4 millions pour lareconstruction du collége. ll a de plus souligné que le Collége Mathieu «est au coeur de | idée diffusé quelques parties de cet quion se fait du Canada. La OFFICE NATIONAL DE L’ENERGIE AVIS D'AUDIENCE PUBLIQUE Audience relative 4 une demande présentée par TransCanada PipeLines Limited, visant des installations pour 1991 et 1992, et a diverses demandes connexes visant des licences d’exportation L’Office national de |I’énergie (‘‘I‘Office’’) a décidé d’accroitre la portée de |l’audience GH-5-89 dont il avait annoncé la tenue le 28 septembre 1989 aux fins d’examiner une demande présentée par TransCanada PipeLines Limited (‘‘TransCanada’’), visant a obtenir l'autorisation d’agrandir son réseau de gazoducs, ainsi que des demandes connexes visant des licences d’exportation de gaz naturel. En plus d‘étudier s’il devrait autoriser l’agrandissement proposé et délivrer les licences demandées, |’Office étudiera quelle méthode de réglementation des droits devrait étre appliquée aux installations proposées ainsi que, probablement, aux agrandissements futurs du réseau de TransCanada. L'Office effectuera également un examen préalable en matiére d’environnement, conformément au Décret sur les lignes directrices visant le d’évaluation et d’examen en matiére d’environnement, en vue de déterminer si ces demandes pourraient entrainer des effets néfastes pour I’environnement et, dans I’affirmative, quelle serait leur étendue. Les parties qui ne sont pas encore inscrites a titre d’intervenants a ‘audience GH-5-89 et qui souhaiteraient intervenir en raison de la plus grande portée de l’audience doivent déposer leurs mémoires auprés de |’ Office d'ici le 21 mars 1990, a l’adresse indiquée a la fin des présentes et en signifier 3 copies 4 TransCanada a I’adresse ci-dessous: M. R. B. Cohen Conseiller juridique principal TransCanada PipeLines Limited 54© étage, Commerce Court West C.P.. 54 Toronto (Ontario) M5L 1C2 Les parties qui désirent déposer auprés de |’Office des lettres de commentaires sur la question de la méthode de réglementation des droits ou sur les questions liées a l’examen préalable en matiére d’environnement sont priées de le faire d'ici le 19 avril 1990. On peut obtenir des renseignements sur la.procédure de cette audience (ordonnances d’audience GH-5-89 et PO-1-GH-5-89 et lettre de |'Office national de I’énergie. datée du 20 février 1990) ou \'ébauche révisée des Régles de pratique et de procédure de I’ONE qui régissent toutes les audiences (ces documents sont disponibles en anglais et en francais) en faisant une demande par écrit auprés de la Secrétaire ou en téléphonant au Bureau de soutien de la réglementation, au (613) 998-7204. On est prié de citer le numéro d’ordonnance GH-5-89 et le numéro de dossier 1555-T1-162 dans toute correspondance a ce sujet avec |’Office. Marie Tobin Secrétaire Office national de I’énergie 473, rue Albert Ottawa (Ontario) K1A OE5 Télex: 0533791 Télécopieur: (613) 990-7900 dualité linguistique est une composante essentielle de la réalité canadienne. C'est pour cette raison qu'il y a maintenant deux ans, le gouvernement a moderniséla Loi surles langues officielles, dans laquelle il est fait obligation aux pouvoirs publics de promouvoir |’épa- nouissement des communautés minoritaires de langue offi- cielle». Parmi tous les beaux dis- cours, uneombre au tableau est venue remettre surle plancher le débat qui divise profondément la communauté francophone de» Gravelbourg. Le député conser- vateur Jack Wolfe de la circonscription d’Assiniboia- Gravelbourg a mentionné que la proposition d’une école fran- saskoise a Gravelbourg n’a pas encore été présentée au ministre et que «cest dans l'intérét de tous de prendre le temps de bien étudier cette proposition. Le Collége Ma- thieu est un bel exemple de partenariat et je ne voudrais pas qu'il nous divise en tant que communauté». Ce commentaire fait référence a la demande des_ parents désireux de mettre sur pied l’école fransaskoise, d’obtenir V'appui du Collége Mathieu et aussi la permission d’installer des classes portatives sur le terrain du collége lors de l’ouverture possible de |’école fransaskoise en septembre prochain. Le conseil d’adminis- tration du Collége Mathieu devra se pencher sur ces questions cette semaine. L’opposition au projet d’école fransaskoise a Gravelbourg s’avére trés forte. La Chambre de, commerce, les gens d’affai- res, la commission scolaire et plusieurs francophones font front commun pour contrer le projet des parents fransaskois. La déclaration de M. Wolfe n’a fait que jeter de |’huile sur le feu et plusieurs personnes se sont dites choquées d’entendre un tel commentaire et une journée si spéciale. ~ Laprésidente de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, Suzanne Bugeaud-Stradecki a fait remar- quer au sous-secrétaire d’Etat que «/a gestion des écoles et la reconstruction du collége sont une preuve que le gouvernement reconnait notre droit d’avoir des écoles fransaskoises. L ‘inaugu- ration du collége représente une réalisation concréte des enten- tes signées en juin 1988 et nous sommes convaincus de partici- per a dautres cérémonies similaires». Donnez _ généreusement. Les Suite dela page 13 moins efficaces que _ les ordonnances judiciaires, sur- tout si le gouvernement devait chercher a vendre /idée a la population majoritaire. Voila pourquoi le recours aux tribunaux est si important pour les parents francophones par- tout au pays». Avec son réseau complet d’établissements scolaires, qui inclut sept institutions post- secondaires seulement dans la région de Montréal, les pré- occupations de la _ minorité anglophone du Québec ont tres peu en commun avec celles des minorités francophones hors Québec, en ce qui a trait a la gestion scolaire. Cependant selon Geoff Kelly d’Alliance-Québec, de nom- breuses circonstances susci- tent des craintes chez cette minoritélinguistique. M. Kellya invoqué la baisse des inscrip- tions du nombre d’anglophones al’extérieur de Montréal causée parlaLoi 101 cequi, combiné au dépeuplement rural, aurait gravement érodé le réseau scolaire anglophone québécois. Alliance-Québec espére voir remplacé la protection confes- sionnelle par une protection linguistique du réseau scolaire 35 334 $ - 39 435 $ Tél. : (604) 666-3338. CFP/P-PU-040. Commission de ta fonction publique du Canada aw Directeur(trice) adjoint(e), biens immobiliers Gendarmerie royale du Canada Division de la gestion des biens immobiliers tribunaux... minoritaire. «Cela _ refléterait plus fidélement la société québécoise moderné et pluralis- te de 1990». M. Kelly a ajouté qu’Alliance-Québec partage le désir des minorités franco- phones hors Québec de voir la Cour supréme accorder a l'article 23 la portée la plus large possible, condition nécessaire pour assurer a toutes les minorités un plus grand degré de gestion de leurs écoles. Par ailleurs, le directeur de la Commission nationale des parents francophones, M. Paul Charbonneau, estime qu’ont fait souvent trop rapidement appel a la voie juridique. «// est essentiel, au niveau des négociations politiques, de bien documenter les comités de parents qui se présentent devant les professionnels des ministéres de |’éducation. Au cours dela prochaine décennie, nous verrons a mieux outiller nos effectifs, tant au niveau de l’argumentation et du finance- ment, qu‘au niveau de la pédagogie. Méme si dans les trois quarts des cas, on ne gagnerait pas sans une forme ou une autre de contestation judiciaire, i] ne faut pas limiter toutes nos interventions a cet - échelon-la». Ml CFP + PSC WY Vos compétences professionnelles sont requises pour mettre en oeuvre des programmes de logement rentables et contribuer a la planification d’autres programmes d’investissement ou de maintenance. Vous serez également appelé(e) a coordonner des projets de construction approuvés de méme qu'un programme de location a bail dans une zone désignée. Pour bien relever les défis de ce poste, vous devez avoir terminé avec succés un programme d’études secondaires ou posséder une combinaison équivalente d’expérience et de formation. Vous possédez également une expérience de la gestion des biens immobiliers incluant I’établissement de plans, la préparation de cahier de charges, de contrats et de programmes de maintenance, ainsi que |’'administration de baux. Vous devez également connaitre les procédures relatives a la construction, & la maintenance, aux baux et a l'immobilier, et savoir analyser les informations en vue de la rédaction de rapports et de la préparation de plans, de devis estimatifs et de cahier de charges. La connaissance de |’anglais est essentielle. Une vérification de la fiabilité sera effectuée avant la nomination. ~ Nous prévoyons combler plus d’un poste. Pour postuler, acheminez votre demande d’emploi et(ou) votre curriculum vitae avant le 16 mars 1990, en indiquant le numéro de référence S-90-71-9642-0510(W9F) a Clifford Scott, Commission de la fonction publique du Canada, 757, rue Hastings ouest, bureau 500, Vancouver (Colombie-Britannique) V6C 3G4. Les renseignements personnels sont protégés par la Loi sur la protections des renseignements personnels. Ils seront conservés dans le fichier de renseignements personnels This information is available in English. Canada * Public Service Commission of Canada re