UN DON A CARE CANADA POUR UNE MEILLEURE EDUCATION CARE’ CARE Can 1312 Bank, Ottawa K1S 5H7 € aie Défense National 2 nationale Defence AVIS AU PUBLIC CHAMP DE TIR DE VERNON Des exercices de tir auront lieu pendant le jour au champ de tir de Vernon jusqu’a nouvel ordre. Le champ de tir est une propriété administrée par le MDN et située & 2*/2 milles environ au sud de la ville de Vernon, a ]'ouest de la route no 97 et a l’est de la route Mission. Au besoin, il est possible d’en obtenir une description détaillée en s’adressant au chef du Génie construction de la BFC Chilliwack. Toutes les entrées du champ de tir, toutes les routes et tous les sentiers qui y donnent accés sont marqués par des poteaux indicateurs ov il est écrit en francais et en anglais qu'il est interdit d’y pénétrer. MUNITIONS ET OBJETS EXPLOSIFS PERDUS Les bombes, grenades, obus et autres objets explosifs semblables sont dangereux. I] ne faut pas en ramasser ni en garder comme souvenirs. Si vous trouvez ou si vous avez en votre possession tout objet que vous croyez étre un explosif, veuillez le signaler a la police locale; on veillera alors 4 son enlévement. Il est interdit 4 toute personne non autorisée de pénétrer dans ce secteur. PAR ORDRE Sous-ministre Ministére de la Défense nationale OTTAWA, Canada Canada National i Ww Become Defence AVIS AU PUBLIC CHAMP DE TIR POUR ARMES PORTATIVES DE HEAL Des exercices de tir auront lieu pendant le jour au champ de tir pour armes portatives de Heal jusqu’a nouvel ordre. Le champ de tir est une propriété administrée par le MDN et située dans la péninsule de Saanich (ile de Vancouver), a 1: milles environ au sud-est de la Brentwood Bay. Au besoin, il est possible d en obtenir une description détaillée en s’adressant au chef du Génie construction de la BFC Esquimalt. Toutes les entrées du champ de tir, toutes les routes et tous les sentiers qui y donnent accés sont marqués par des poteaux indicateurs oi i] est écrit en anglais qu'il est interdit d’y pénétrer. MUNITIONS ET OBJETS EXPLOSIFS PERDUS Les bombes, grenades, obus et autres objets explosifs semblables sont dangereux. II ne faut pas en ramasser ni en garder comme souvenirs. Si vous trouvez ou si vous avez en votre possession tout objet que vous croyez étre un explosif, veuillez le signaler a la Police locale; on veillera alors 4 son enlévement. Il est interdit de pénétrer dans ce secteur sans autorisation. PAR ORDRE Sous-ministre Ministére de la Défense nationale ivi Canadit PARLONS SPORT avec Gordon Sawyer de Radio-Canada Pat Quinn ou «Lafiliére Irlandaise» Parlons sport! En cette premiere, j'ai choisi un sujet plat, difficile et ennuyant: les CANUCKS. Vous en conviendrez qu'il est plutét ardu de rendre un tel sujet intéressant. Pourtant, si l'on regarde de plus prés, il y a matiére a discussions. Méme si cette équipe se moque des _ amateurs depuis plusieurs années déja. Il n'y a aucun doute, la 18éme saison de l’€quipe vancouvéroise sera déterminante pour la famille GRIFFITHS, propriétaire de l’équipe. Le message est clair. Seulement 9 500 amateurs ont assisté au match d’ouverture des «nouveaux CANUCKS», jeudi soir dernier au Colisée du Pacifique. Et il faudra plus qu'une victoire spectaculaire de 8 - 2, contre les BLUES de St-Louis, pour convaincre les vancouverois d’accorder une nouvelle chance 4a leurs «favoris». Les gens en ont marre, et avec raison. Mis a part une superbe saison en 1982, ov ils avaient atteint la finale de la Coupe Stanley contre les ISLANDERS, les CANUCKS n’ont rien fait qui vaille depuis ce temps. Et ils devaient connattre lhumiliation supréme 4 la fin du dernier calendrier: ]’exclusion des séries éliminatoires. Acculés au pied du mur, les propriétaires n’avaient plus le choix, le grand ménage du printemps s'imposait. C’est pour cette raison que dans un geste surprise, avant la fin de la derniére saison, ARTHUR GRIFFITHS s’est envolé pour Los Angeles, le désespoir en téte, mais bien décidé a revenir avec une promesse de contrat en poche. C’est sur ce contrat, selon ARTHUR, qu’on retrouvait la signature de l’homme qui allait sauver son équipe du marasme. Son nom: PAT QUINN. Ce cher ARTHUR allait donc pouvoir dormir en paix tout ]’été. Désormais, l’avenir des CANUCKS reposait sur les €paules de son nouveau président et directeur - gérant, cet ancien joueur et entraineur qui aime bien rappeler ses origines irlandaises. Mais pourquoi QUINN? Question stupide. QUINN est un bagarreur, un gagnant, et un fier compétiteur. Et il conait la musique. C’est en tant que défenseur que cet ontarien, qui a vu le jour en 1943, a débuté sa carriére dans la Ligue Nationale. Tout d’abord avec Philadelphie, et par la suite 4 Vancouver. 600 matches et 9 saisons plus tard, il prenait le chemin du Maine, ov il tentasa chance a titre d’entraineur des MARINERS, de la Ligue Américaine. Ses aptitudes de meneur d’hommes furent rapidement décelées par ses supérieurs, qui lui donnérent le poste convoité d’entraineur - chef des FLYERS de Philadelphie, en 1978. Les résultats ne se firent pas attendre. En 1979 - 80, les FLYERS atteignirent la finale de la Coupe Stanley, contre les puissants ISLANDERS de New York, qui eurent besoin de 6 matches pour remporter le précieux trophée. En 1984, QUINN accepta une offre alléchante du docteur JERRY BUSS, et il se retrouva a la barre des KINGS de Los Angeles, ot 14 également, malgré une équipe médiocre, il remporta un certain succés. Iln’en fallait pas plus pour convaincre ARTHUR que QUINN était son homme. Un homme de hockey. Un vrai. Doit-on partager les convictions de la famille GRIFFITHS? La réponse est oui. PAT QUINN fera revivre la fiévre du hockey 4 Vancouver. Bien sar, ce ne sera pas facile. Mais le nouveau président aime les défis. Le premier a relever, ce fut de trouver un homme capable de le seconder adéquatement. BRIAN BURKE. Le choix est judicieux. Le diplomé en droit de Harvard est un vice-président révé. Bien que n’ayant jamais évolué dans la Ligue Nationale, cet irlandais de Boston connait bien les joueurs, puisqu’il en a représenté plusieurs en tant qu’agent négociateur durant quelques années. Quant a l’entraineur, il était difficile de trouver mieux que BOB MCCAMMON, qui l’année derniére s‘occupait du développement des joueurs chez les champions de la Coupe Stanley, les OILERS d’Edmonton. Tout comme QUINN, MCCAMMON a appris les rudiments du métier dans l’organisation des FLYERS, et les 2 hommes se sont cotoyés derriére le banc de l’€quipe au début des années 80. Il est évident que les 2 irlandais (et oui, un autre!) partagent les mémes idées en ce qui a trait a notre sport national. QUINN, BURKE et MCCAMMON. Les trois feuilles du tréfle sont en place. Le passé de ces hommes est éloquent. Le succés. La victoire. La fierté. La «filiére irlandaise» nous décevra-t-elle? Si oui, l'autre roi des CANUCKS, non pas RICHARD mais ARTHUR, risque d’y laisser sa chemise. Mais parions que pour une fois, le roi ARTHUR ne s'est pas trompé, puisqu’une autre erreur le ferait monter sur la guillotine. C’est probablement pour y échapper et s’en protéger qu'il a accepté de payer le gros prix... pour trois chevaliers irlandais! BLOC NOTES... Quant a l’amende de 310 000 dollars que les CANUCKS devront payer a la Ligue Nationale pour avoir courtisé QUINN alors qu'il était toujours a l’emploi des KINGS, la famille GRIFFITHS tente actuellement de la faire annuler en Cour supréme de la Colombie-Britannique... MICHAEL OLAJIDE est un excellent boxeur, mais FRANK TATE lui a donné toute une lecon samedi dernier 4 Las Vegas... Rien ne va plus pour les LIONS. Leur troisiéme défaite d’affilée, celle-la contre Calgary, ne pardonnera pas. A moins d’un miracle, ils peuvent dire adieu 4 la finale de la Coupe Grey... A la semaine prochaine! OLOM 8B! Es===