oe aie i il " Sg aA ae Les accidents constituent une des principales plaies sociales de la société canadienne Ils repré- sentent la plus importante cause de décés chez les moins de quarante-cing ans. soit prés de 30 000 personnes par année. De plus, 15,000 lits d’hépitaux sont occupés par des accidentés. En- fin les accidents cofitent au pays quelque 11 millions de dollars par année. Il est par. suite facile d’en déduire que les accidents sont plus gu’un probléme social. Ils ont une-dimension économique trés forte. I.e monde des affai- res, l'industrie et le simple contribuable paient les pots cas- sés. Mais les statistiques ne font pas connaitre la profondeur de la souffrance, la douleur d’un bles- sé et la détresse des familles dont un memhre manque a ‘Yappel, tout cela ne se mesure pas avec une régle ou une balance. Tl faut agir, i] faut canaliser les ressources disponibles en des programmes de prévention et d’éducation. I.es recherches doi- vent se poursuivre. les lois _ doivent s’adapter aux besoins. ~ i= : Le tendre et le vert Deux oOuvrages aussi at- tachants *qu'originaux feront les beaux jours des _ amateurs de «verdure»: Tout. savoir sur les. plantes d’intérieur de Marc Meloche (éditions internationales - _ Alain Stanké) et Du potager a la table de Paul Pouliot et Pol Martin (éditions de I'Homme). Incontestable-- ment, disons-le tout de Suite, il est certain que ces livres ne décevront per- -sonne. 5 \ Pe . t f os RE eN 4 Mare Meloche Tout Savoir sur les planteSy, 3 ‘goo ~P » Bs d interiet i Stank’ ¥ 4 Celui de Marc Meloche, le plus précieux, est orienté sur des plantes auxquelles on ne songe habituellement pas, depuis |’échalotte et le > figuier jusqu’aux ananas, la carotte et le caféier. Car, cela est un fait — comme le | démontre l’auteur — qu'il est possible d’en faire des plantes d'intérieur fort: ap- préciées de quiconque vous visitera. A cette cuvée d’in- formation trés -spéciale, -Meloche intégre une foule de renseignements géneé- raux sur l'art de vivre et de se multiplier des plantes. Un bijou! wie eee L'ouvrage que Pouliot et Martin -ont écrit en colla- “boration est aussi fort in- téressant. Il est né du désir. de «revenir & une alimenta- tidn naturelle en faisant une plus large place aux fruits et légumes». Faites des éco- nomies, cultivez: ici, bon jar- - dinage est associé a bonne table! . ; s JeL. B. | a : ‘ C’est vital. Voila pourquoi il existe un Conseil canadien de la sécurité. Organisation et objectifs ‘Le Conseil est le seul organisme national qui coordon- ne les travaux de prévention au Canada. A la fois privé et non-lucratif, ila été formé en 1968 quand trois amr ge ar we a oe oy I] faut garder hors de la por- tée des enfants tous les appareils électriques. - ae organismes ont fusionné: la Li- gue canadienne de la sécurité, le Conseil canadien de la sécurité: _routiére’ et |’Association cana- dienne de la sécurité industriel- le. L’appui financier du Conseil provient de diverses compa- gnies, de l'industrie. du gouver- nement fédéral et des gouver- nements provinciaux. des Com- missions des accidents de tra- vail, des svndicats. des associa-. tions nationales et d’autres orga- nisations volontaires. Le Conseil subvient.a4 ses besoins finan- ciers en préparant et en distri- buant du matériel didactique sur la prévention. aie Des Canadiens bien connus dans les domaines de !a sécurité publique, routiére et au travail _ Pourquoi un Conseil de la sécurité forment le Conseil d’administra- tion. Celui-ci établit la ligne de conduite, conseille et répond aux demandes du Conseil, La rédvection du nombre de décés, de blessures et de biens endommagés sont ses princi- paux objectifs qu’il atteint grace a une conception meilleure de la sécurité, 4 l’amendement et a Yencouragement 4 |'application de nouveaux procédés et métho- des de prévention. de protection et d’hygiéne. Champ d’opération L’enseignement et l'information: le Conseil croit que le meilleur moyen de comhattre la hausse croissante des accidents est de planifier et de mettre en marche un programme d’enseignement et d'information publics. Le Conseil prépare des program- art Attention aux jonets dange- reux... il suffit d’une seconde. mes nationavx auxquels travail- lent des milliers de Canadiens et il participe 4 des campagnes de sécurité, en collaboration avec. plusieurs organismes De plus, il publie une revue mensuelle inti- tulée Ia prévention au Canada, des dépliants et des manuels d'information sur plusieurs su- jets. sea nuellement des innovations ca- nadiennes et ¢trangéres dans le domaine de Ja sécurité et il participe aux travaux des comi- tés nationavx-de recherche. _Mise en garde! Consommation et Corpora- tions Canada a mis les consom- mateurs en garde contre cer- tains pares pour enfants présen- tement sur le marché et qui peuvent causer de graves bles- _ sures aux doigts d’un enfant. Il s’agit des pares en filet ‘qui se plient av milieu et dont deux cétés s’ahaissent laissant a découvert deux supports a char- niére. — ‘ % L’enfant qui se trouve dans le parc, lorsque les cdtés sont* abaissés, peut se glisser les doigts a l'intérieur de ces sup- ports et s’écraser on perdre un, doigt lorsque ‘les cétés sont ~ remontés. - -. Parmi les accidents signalés ‘aux Etats-Unis, au moins un concernait la perte d’un doigt dans ce genre de parcs. _ Le ministére prend les mesu- _ res appropriées pour retirer ces - pares du marché mais il se -préoccupe surtout de ceux qui ~ sont déja en usage. Les parents. qui ont un de-ces pares a la maison sont avertis i - Faites bouillir tout reste.de café. ~ d’en remonter les c6t4s avant d’y — placer l'enfant. Is ne doivent pas monter ou abaisser les cédtés lorsque l'enfant se trouve dans le — pare. : Les pares en filet qui se plient au milieu et dont les supports sont recouverts, les pares en — filet. dont les cétés sont fixes et les pares en hois ne présentent — pas un tel danger. frais jusqu’a ce qu'il réduise en sirop, conservez-le dans un bocal hermétique et utilisez-le pour aromatiser les crémes au beurre, les glacages, Jes biscuits, les gateaux, les crémes glacées, etc. Pour étaler de la meringue, utilisez le dos d’une cuiller en - “métal. Cette méthode est plus rapide, plus facile et vous obtien- drez une meilleure forme. Pour extraire le maximum de jus d’un citron, chauffez-le avant de™ le presser. : Le Soleil de Colombie, Vendredi 15 Juillet 1977 13 ~ Préparation: 30 minutes Cuisson de la garniture: 20 mninutes Cuisson de la pizza: 15 mninutes Ingrédients: 750 g de pate a pain, 3 cuillerées a soupe d’huile. : ; coquilles. préparation du feu. vive. . —La bonne cuisine— Pizza aux thons et aux moules 1) Préparer la garniture: triez, grattez et lavez les moules; faites-les ouvrir 4 feu vif dans un fait-tout sans aucun liquide, ' en les secouant fréquemment; égouttez-les; passez le jus de cuisson et mettez-le de cdté; retirez les moules de leurs 2) Emincez les oignons et faites-les fondre dans 3 cuillerées a soupe d’huile, 4 feu trés doux; ajoutez l’ail écrasé; égouttez les tomates en les pressant légérement pour en extraire toute l'eau; hachez-les grossiérement; ajoutez-les a la fondue d’oignons; laissez cuire 4 feu doux et bien réduire, en mouillant avec 243 cuillerées 4 soupe du jus de cuisson des moules; cette préparation doit étre épaisse et assez séche; assaisonnez-la d'un peu de sel et d’une bonne quantité de poivre; émiettez le thon a l’huile; incorporez-le a cette fondue; retirez la 3) Préparez la pate 4 pain et étalez-la; coupez le morceau de parmesan en lamelles fines et garnissez-en le dessus de la pate; versez la préparation oignons, tomates, thon sur ce fromage; disposez sur celle-ci les moules et recouvrez le tout avec les tomates coupées en rondelles; saupoudrez le dessus avec Yorigan, puis avec le parmesan rapé; arrosez avec le res d’huile; faites cuire a four trés chaud. : CONSEILS D’ORGANISATION Les pizzas se font cuire au moment d’étre servies; préparez donc la pate a l’avance; roulez la pate de chaque pizza en une boule; préparez les différents éléments des garnitures dans de petites écuelles; ternzixzez la préparation des pizzas au dernier moment et faites-les cuire pendant que vous. servez les hors-d’oeuvre — ceux-ci seront également: ode petits raviers en faience rustique od les convives piqueront — sans facon; dressez le couvert sur une nappe rustique de teinte Pour la garniture: 1 litre de moules, 1 boite movenne de thon a lhuile, 1 hoite 4 4 de tomates pelées, entiéres, 4 tomates bien fermes 4 gros oignons, 2 gousses d’ail, 4 cuillerées 4 soupe d’huile, 1/2 cuillerée a café d’origan, 40 g de parmesanrapé 75 ¢ de ‘parmesan en un seul mor- ceau, se] et poivre. Une canadienne est élue au Conseil International ~~ Mme Verna Huffman Spla- — ne, une infirmiére cinadienne dont l’excellente réputation dé- borde largement nos frontiéres, a été élue seconde vice-prési- dente du Conseil international des infirmiéres (C.7 T ): ’élection a eu lieu dans Je eadre du 16e Congrés quadriennal du C.L.I. tenu récemment 4 Tokyo, et plus de 500 infirmiers et. infirmiéres du Canada y ont assisté. Originaire. de Peterborough (Ontario), Mme Splane détient un baccalauréat en sciences de | l’Université Columbia, et une maitrise en hygiéne publique de -. PUniversité du Michigan. Au cours d'une carriére- infirmiére trés variée, elle s’est vue confier ‘plusieurs missions nationales et — L_ des Infirmiéres’ Le Conseil s’informe conti- - internationales au service d’or- ganismes tels que la Fondation . du Commonwealth. l’Organisa- tion mondiale de la santé, le gouvernement du Canada et le . Conseil international des _infir- miéres. Fin outre. elle a repré- senté le C.I.J. 4 la Conférence des Nations Unies sur les éta- blissements humains en 1976, ainsi qu’a la Conférence des Nations Unies tennie 4 Mexico en _ 1975, a loeeasion de l’Année internationale de In femme. Infirmiére-conseil' principale au ministére de la Santé et du Bien-étre social du Canada de . 1968 4 1972, Mme Splane est . aussi membre de nombreuses autres associations. MNariprance _ Lignes dela main, _ C MiacetCaticg<: Enregistrement sur cassette — 15 ans d’expérience Tél. 732-6269 TROUVEZ- NOUS UN NOUVEL ABONNE!