Courner Je ne puis qu’appuyer les propos de M. Léon Hurvitz (Le Soleil du 1Mieovier 1986) en réponse a de Francois Bourboulon ti Sommet Francophone”. Jajoursrai que bien que la situation socio-€conomique dicte | souvent - mais pas toujours - les conditions de l’épanouissement minoritaire ce qui -ment au Canada ‘“sttitude des francophon: repre langue. Less 3 priétairesd’unelangu: at ceux qui la parlent, ¢ ae ee a ee ee meme nme ers <= SOLEIL DE COLOMBIE Le a_i, Ralta VOL 18 Ne 36 VENDRED! 17 JANVIER 1986 Le seul journal de langue francaise de la Colombie-Britannique Ouvrez la francophonie soient leurs origines ethnique et religieuse, ou leur localisation géographique au pays. Loin donc de devoir se replier sur soi-méme, il faut élargir la pratique du francais, il faut ouvrir grand les portes de la francophonie et surtout quand elle est minoritaire ou hors-Québec. Ne voila-t-il pas une belle occasion pour le Québec, a plus grande échelle, et n’est-ce pas 1a aussi une condition préalable pour un bilinguisme véritable dont M. Hurvitz s'est fait 'avocat? Guy P. Buchholtzer