Sur le cable ‘KELOWNA ‘KAMLOOPS TERRACE PRINCE GEORGE DAWSON CREEK em free free, KITIMAT CHILLIWACK CO bt OO CH Go GO DD mt pet Programmes de la télévision francaise de Radio-Canada VENDREDI 30 AOUT 1985 L’Irrésistible Magie Rose dimanche |* septembre 1985, 19h30 Les Beaux Dimanches Plus de 55 000 personnes ont répondu, 1’été dernier, a l’irré- sistible appel de la Magie Rose avec la reine du show-bizz qué- bécois Diane Dufresne au Stade Olympique de Montréal. Les téléspectateurs de Radio- Canada pourront étre témoins de ce spectacle 4 grand déploie- ment qui sera diffusé dans le cadre des Beaux Dimanches le 1* septembre 4 19h30. Toute de rose vétue, la déesse Dufresne nous offrira une féte magique et grandiose devant des milliers de spectateurs, eux aus- si gagnés a l’idée d'une soirée en rose. Par sa seule présence, Diane Dufresne exerce bien sar un immense pouvoir de séduc- tion auprés de ses fans et un ma- gnétisme indéniable. Lors de cette féerie unique qui s’est dé- roulée sous un ciel étoilé, nous revivous les meilleurs moments du spectacle auquel partici- paient également le chanteur frangais Jacques Higelin et le populaire groupe américain Manhattan Transfer. Au programme, Diane Du- fresne a inscrit les plus belles chansons de son répertoire: Oxygéne, Les Hauts et les bas d'une hétesse de lair, 20° étage, La Vie en rose, Holly- wood Freak, Survoltée, Le Parc Belmont, J'ai 12 ans, Disney- land, Laissez passer les clowns, Hymne a la beauté du monde, Week-end sur la lune et Je vou- lais te dire que je t’attends. En duo avec Jacques Higelin, elle chantera Champagne et Pour un ami condamné. Higelin seul in- terprétera Paris-New York- Paris et le groupe Manhattan chantera Route 66. L’entrée majestueuse et non moins spectaculaire de la reine du Stade se fait sous des effets visuels éblouissants grace aux techniques sophistiquées du la- ser. Les surprises les plus inat- Diane Dufresne, éblouissante, a la télévision de Radio-Canada tendues ne manquent pas dans les spectacles de Diane Du- fresne, mais cette fois personne ne pourra résister a |’envoite- ment de la Magie Rose le di- manche 1*' septembre a 19h30. Réal: Jean-Jacques Sheitoyan. A premiére vue dimanche I septembre 1985, A premiére vue Chantal Jolis et René Ho- mier-Roy nous parleront des ac- tivités du Festival des films du monde une derniére fois a 1’é- mission A premiére vue, le di- manche I" septembre a 18h30 et en reprise 4 23h35, a la télé- vision de Radio-Canada. Les téléspectateurs sont in- vités 4 suivre les imprévus de cette manifestation artistique exceptionnelle grace a des en- trevues réalisées sur le vif. Au Gala de cloture qui se dé- roulera au Théatre Maisonneuve 18h30 et 23h35 le 1* septembre en soirée, mais qui ne sera pas télévisé, on re- mettra le Prix des Amériques au meilleur long métrage et le Prix de Montréal au meilleur court métrage. Le Prix de la presse internationale Carlsberg est ré- servé au meilleur long métrage hors concours et le Prix Air Ca- nada au film le plus populaire du Festival. Il y a également les prix de la réalisation, du jury et ceux de la meilleure interpréta- tion masculine et féminine. ‘Réalisation: Gary Plaxton. — —1ADLIT-1 SEPTEMBRE 1985 Joan Sutherland chante Anna Bolena ‘dimanche |“ septembre 1985, 20h50 Les Beaux Dimanches Radio-Canada présentera, le 1* septembre a 20h50, dans le cadre des Beaux Dimanches, Popéra «Anna Bolena» de Gae- tano Donizetti avec la célébre soprano Joan Sutherland dans le role d’Anne Boleyn, la seconde femme d’Henry VIII, roi d’An- gleterre. Cette production du Canadian les costumes Michael Stennett. une Eclipse d’assez longue du- cachot de la Tour de Londres. : Opera Company de Toronto met Le chef des choeurs est Derek rée et c’est la Callas qui, dans Suite des également en vedette la mezzo- Bate. Au pupitre: Richard Bo- les années 1950, l’a remise A la Un triomphe pour Joan soprano canadienne Judith Forst nynge. Lofti Mansouri, le direc- mode. C’est dire qu’«Anna Bo- Sutherland qui interpréte de ma- programmes TV (Jane Seymour), la mezzo- teur-général de la Canadian lena» a bénéficié du renouveau niére hallucinante les'airs de dé- soprano torontoise Janet Stubbs Opera Company a signé la mise d’intérét pour le bel canto autant . _sespoir et de folie de ce grand page 10 opéra romantique. (Smeaton, le page de la reine), la basse américaine James Mor- ris (le roi Henry VIII), la basse israélienne Gidon Saks (Lord Rochefort, le frére d’Anne), le ténor américain Michael Myers (Lord Percy, comte de Nor- thumberland) et le ténor cana- dien Ben Heppner (Hervey, un personnage de la cour). Les dé- cors sont signés John Pascoe, en scéne de cette production. Donizetti a composé plus de soixante-dix opéras et parmi ceux qui ont assuré sa gloire et sa renommée on compte «Anna Bolena», «L’Elisir d’amore», «Lucia di Lammermoor, «Don Pasquale» et «La Favorita». Si «Anna Bolena» fut trés ap- préciée au temps de Donizetti, il faut avouer que l’oeuvre connut que des interprétations souve- raines de la regrettée diva. L’action se situe en Angle- terre, en 1536, au chateau de Windsor et a la Tour de Londres. L’ oeuvre est inspirée de l’Henri VIII de Shakespeare et raconte la malheureuse his- toire d’Anne Boleyn, la seconde femme du roi, qui, sombra dans la folie avant de mourir dans son Un mauvais fils jeudi 5 septembre 1985, 20h00 Les Grands Films C'est une comédie dramati- que que la télévision de Radio- Canada propose aux téléspecta- teurs des Grands Films du jeu- di 5 septembre a 20h00 Un mauvais fils, une réalisa- tion classique de Claude Sautet, est une oeuvre profondément humaine et pleine de notations psychologiques sur les rapports pére-fils et aussi sur les pro- blémes engendrés par la drogue. Pour s’étre adonné au trafic de la drogue, Bruno doit purger une sentence de six ans dans une prison des Etats-Unis. De retour en France, il se dirige tout natu- rellement chez son pére qui I’ ac- cueille chaleureusement mais sans plus. Bruno pratique un peu tous les métiers et fera la connaissance de Catherine chez qui il s’installera. Patrick Dewaere incarne le role du mauvais fils Bruno, Bri- gitte Fossey celui de Catherine et Yves Robert joue le person- nage de René. Les Chariots de feu samedi 7 septembre 1985, 19h30 Cinéma Les Chariots de feu, une re- constitution fort intéressante et trés réussie du réalisateur Hugh Hudson, glorifie le courage de deux remarquables athlétes de la course a pied: Harold Abrahams et Eric Liddell. : Le samedi 7 septembre a 19h30, la télévision de Radio- Canada présentera ce film dans lequel on raconte la vie de Ha- rold Abrahams, illustre doyen des athlétes anglais. Fils d’un usurier juif, le jeune athléte doit lutter contre I"hypocrisie, le snobisme et les préjugés. Eric Liddell, pour sa part, a déja une réputation établie dans la course a pied et, comme pré- dicateur, il pratique ce sport pour une toute autre raison: il veut vaincre au nom de la foi. Les deux hommes seront sélec- tionnés pour les Jeux olympi- ques de 1924, a Paris. Les principaux rdles sont te- nus par Ben Cross, lan Carleson et Ian Holm. L’Arme a Poeil samedi 31 aoat 1985, 19h30 Cinéma Le drame d’espionnage L’Arme a I’ oeil, réalisé a partir de faits historiques, sera a |’ af- fiche de la télévision de Radio- Canada le samedi 31 aoit a 19h30. Cette production britannique, inspirée du roman «Eye of the Needle» de Ken Follett, relate Vhistoire de l’espion allemand Henry Faber que le chef du contre-espionnage anglais pour- suivra a travers toute ]’Angle- terre. En 1944, le haut commande- ment allié prépare le débarque- ment de Normandie. Cherchant a dérouter |’état-major alle- mand, les. alliés décident alors de construire une base entiére- ment factice pour faire croire a l’ennemi que le débarquement se fera dans le Pas-de-Calais et non en Normandie. La distribution comprend l’excellent comédien Donald Sutherland, Kate Nelligan, Christopher Cazenove et Ian Bannen. Réalisation: Richard Marquand