voir le francais en Colombie-Britanique est trés forte et c'est cette volonté qui donne la force de déplacer les montagnes ou mieux encore de parler et de vivre en frangais. Je sais que ce n'est pas facile de vivre en minorité, je fais partie moi aussi de la minorité francophone du Canada. I1 faut par- fois jouer des coudes pour réclamer le respect de nos droits et ce n'est pas toujours trés dréle, l'histoire des canadiens-francais est la pour le prouver. Nais si depuis trois cents ans le francais a réussi a survivre, je ne vois pas pourquoi il devrait disparaitre aujourd'huioo.s Et il ne faut surtout pas oublier que le francais est une langue officielle au méme titre que la langue anglaise au Canada. Alors a nous d'en profiter, n'est-ce-pas? Je lance personnellement un appel aux interessé(e)s... j'ai- merais savoir ce qui se passe dans la téte et dans le coeur des Franco-Colombiens et Franco-Colombiennes. J'aimerais savoir autre- ment que par des chiffres et des statistiques comment la F.J.C. est percgue, si ses efforts pour promouvoir le francais portent ses fruits et ‘si le francais en Colombie-Britanique est un réve ou une Réalité. Aidez-moi, je suis ignorante...| . a, ) Adressez a: Chantal Rouleau Lhare| [vot * 3030 Ontario St. ibe SA. kane Vancouver, B.C. ; V5T 2Y7 Q) Ve \y LA