hates See AMS 8 OF as «fh A ERE Y \ > GS SIN 3c, ais Me I = z S Ope La u TIBZINZI MY? 8 7 WF Nn aN Bi ; 7 Ww = NAS S:% : Sas ‘ vy: Ss = 2H 5, RA a + sr bt Ss Pw > % = “AN ey NZ? WY 7WY og =~ FS - &s AS 2 GS 2S > % ye WZ? MM ~ Ras SJ Bw ey \ IK) DT PRERRL Rawsy Le Soleil de Colombie _Vendredi 13 Mai 7a = MW 3 PIN FM > Robert Young et ses fils, Ben [violon] et Jake [kazoo] . Reconnaissance universitaire Le Samedi 28 mai, Betsy Lane, un personnage distingué de la scéne culturelle provincia- le, recevra'un doctorat honoraire en droit de |'Université Simon - Fraser. D’aprés les gens qui ont travaillé avec elle pendant beau- coup d’années de.contribution volontaire, c’est une femme qui s'est rendue aussi bien informée et disponible qu’accessible et efficace. Fille était la Présidente du Conseil Communautaire des Arts de Vancouver en 1964, présidente du Musée et de l'association planétaire en 1968, membre de la convocation du Sénat de U.B.C. de 1969 4 1978, membre du Conseil Canada de 1970 a 1973, un des directeurs de la compagnie de Théatre Play- house, la Société pour le Festival de Vancouver et du comité pour le centenaire de Vancouver. Elle a été présidente du (interim) B.C. Arts Board depuis 1974 et a été récemment nom- - mée pour servir comme prési- dente, une deuxiéme fois, de la conférence canadienne des arts. En dépit de cette impression- nante histoire de services, elle insiste pour que 1’on considére ’ e - —— ‘i ' >\t son degré honoraire comme sym- bolique de tous les volontaires qui ont travaillé pour une connaissance des Arts dans cette province. Betsy Lane est infatigable, dit Chris Wootten, directeur du Centre Culture] de Vancouver Est. Ce quil’impressionne, en particulier, c’est qu’elle “va par- tout”. ce n’est pas une bureau- crate des arts du type “tour d'ivoire” qui a trés peu de connaissances des nécessités quotidiennes de la vie théatrale ou de la vie d’atelier. Elle s’est fait responsable d’une connais- sance découverte des véritables problémes et elle y répond a mesure. C’est une triste vérité, par exemple, qu’en dépit de toute l’énergie des administra- teurs pour améliorer la scéne artistique au Canada. la plupart des artistes ne savent pas encore ov aller pour avoir de l’argent et du soutien. Ils éprouvent de - grandes difficultés A gagner de quoi vivre. Peut-étre que le systéme de subventions lui-mé- me est patriarcal. un éeran pour cacher leur besoin d’étre payé décemment-et directement pour leur travail. Ils mettent des étiquettes sur leurs voitures: SOUTENEZ VOTRE ARTISTE LOCAL. Quelqu’un — était-ce John Newlove —a dit que l’on peut faire la distinction entre artistes amateurs et profes- sionnels par le-fait que les amateurs discutent de questions artistiques, tandis que les pro- fessionnels parlent. des questions financiéres. Betsy Lane, par la CCA en particulier, s’est penchée sur ces problémes. s) Ses collégues et elle-méme ont préparé ensemble un livret trés utile et direct, intitulé ‘“Quia l’argent: Guide pour les pro- grammes fédéraux et provin- ciaux de soutien aux arts. Ce livret donne la liste de tous les fonds disponibles. (Vous pouvez écrire pour le demander a Cana- dian Conference of the Arts, 3 Church St., Suite 47. Toronto, Ontario M5F 1M2.) Elle a aidé a organiser une conférence CCA a Vhétel Devonshire durant la fin de semaine du 29 Avril dont le but était d’examiner comment les gouvernements municipaux Robert Young est né 4 Vancouver en 1938, il est diplémé des Beaux-Arts de l'Université de la Colombie-Britannique (1962); ila été éléve a l’école d’Art City & Guilds de Londres, 1962-64; et de l’école d’Art de Vancouver, 1964-66; il a vécu et a peint a Londres, 1966-76; il est revenu 4 Vancouver, ou il vit maintenant, en juin 1976. peuvent mieux utiliser les fonds disponibles en ces temps de’ restrictions économiques. Plus généralement. elle trou- ve que nous sommes dans un moment délicat du développe- ment de notre histoire culturel- le, si délicat qu'elle l’appellerait une situation de crise, et elle demande donc une “une enquéte complete de la situation des arts au Canada”. Fille juge déplorable que, juste au moment ou la sensibilité nationale a commencé a reconnaitre ce que cela signifie pour nos esprits d’avoir des images culturelles de nous-mé- mes, afin de contribuer a aug- menter notre sens de nous-mé- mes et de notre place. que juste ace moment le gouvernement décide de réduire les dépenses. Au moment méme oi nous commencons a nous' rendre compte de la richesse que nous pouvons trouver dans l’influence de l’art dans la vie. Je gouverne- ment renonce a sa promesse de rechercher les véritables mo- yens d’améliorer le sort de l'artiste. : EXPOSITIONS * Etudes et autres oeuvres initiales. Jusqu’au 5 Juin. * Paterson Ewen: Oeuvres ré- centes. Jusqu’au 5 JuinJ * Dessins d’Emily Carr. Jus- qu’au 3 Juillet. POUR RESERVER UNE VISITE GUIDEE: tél.- a la Galerie, 682-5621. local 26 ou 25. HORAIRES DE LA GALERIE de 10h 8. 17h — Mardi. Mercredi, Jeudi, Samedi (fermé le Lundi) De 10h a 22h — Vendredi De 13h 4 17h — Dimanche. ENTREE GRATUITE HORAIRES DE LA BIBLIOTHEQUE De 10h a midi et de 13h 4 16h — Du Mardi au Samedi.