| . - sur le Le Billet feminin de marie - madefeine Mesdames Connaissons-nous la nécessité de faire suivre des cours de natation a nos enfants?. Pour nous qui demeurons a Vancouver, presque dans lteau, je dirais que c'est un devoir strict. A mon avis de tels cours devraient faire parti du programme scolaire, Prenons comme example 1tinstance de ce couple a Richmond ,dont la voiture plongea dans un fossé du a un accident de la route. La dame fut rescapée par un passant courageux. Son compagnon malheureusement coula.....et pourtant parait-il les spectateurs étaient nom- breux. Le sauveteur semble blamer ces gens de ntavoir pas porté secours ‘a cet homme. Je dois avouer que, ayant été un de ceux—ci je n'taurais pu étre dtaucun secours a ce malheureux, Ne sachant nager il aurait été ridicule de se jeter a lteau....et de faire une noyée de plus. La morale de cette histoire :appre- nons a nager, Voyons a ce que Pes —~enfarts aprennent et pratiquent ~ sport bienfaisant a tout point de die Ainsi ils seront en mesure de remplir leur devoir de citoyen si l'occasion se presente. Qu'en pensez—vous?. Bonne semaine et bonne nage! _ SALON LUCIEN BELLIN COIFFEUR FRANCAIS. ‘VANCOUVER Teles 683-4622 ETUDES . la princesse Anne,dix—huit ans, fille de la reine Elisabeth II, est - int de commencer six semai- nes d'etudes intenses en vue de pou- voir parler francais. couramment ' Elle suivra ce cours cing jours par semaine, dix heures par jour, - dans une ecole de langues de Londres. PIERRE PARIS & oa i. Tele,: :Mi-5-0061 51 Ouest Hastang,Vancouver,,3 “cette solution pendant cing a 1212 rue DENMAN (coin avenue Beach) - -|Deux amies mont en train de bavardez. MONTREAL | Une plaque commemorant la fon- dation de Ville-Marie, aujourd'hui Montreal, en 1642, par *Paul de Cho= medey de. Maisonneuve, fut devoilée a Paris, dans la maison meme ou ila vecu, _ Au nombre des presonnes presen- tes a cet évenenent,, on remarquait monsieur Jules Léger, * ambassadeur du Canada en France,monsieur Jean Chap- delaine, Me Jean "Drapeau, maire de Montreal. FRASER JEWELLERS | Bijouteries et trophees Petits secrets Avec le temps,la plupart des enduits "Teflon" peuvent devenir taches: — surtout les couleurs claires — cepen- dant,cela n'affecte pas le rendement de la casserole, Dans certains cas, vous pouvez faire palir les taches ou meme les faire disparaitre de la facon suivante: melangez deux cuill- erees a table de soda a pate avec une demi-tasse d'un produit de blan- chissement liquide (eau de javelle) et une tasse d'eau. Faites bouillir six minutes dans 1'ustensile tache.Apres ce traitement,lavez soigneusement, rincez et sechez, Avant de vous en servir de nouveau,passez un peu d'huile a salade . Des poignées renouvelables de ‘ligge Si une poignée starrache du couvercle de votre poele & frire uo d'un chau- dron, glissez une vis a travers le trou, latéte de la vis penétrant 2. ltinterieur du couvercle.Puis vissez un bouchon de liége sur 1'extrémité saillante.Ce genre de poignée ne sera pas conducteur de chaleur et pourra facilement étre renouvelée quand elle sera sale. sur la , -Je Saas Nicole, dit l'une. Jamais vu une fille aussi menteuse. C'est bien vrai,repond 1'autre elle dit toujours le contraire de ce quielle pense. Arrive Nicole. —Comment allez-vous,toutes les deux? Vous étes ravissantes ce matin! déldégue géneral a Paris et- Le Soleil,page 9,le 1 Novembre ,1968 A la défense de |l’enseignement de la théorie de |’évolution WASHINGTON: La Cour ‘supreme des E- tats-Unis a commence 1'audition de la cause de Mme Susan Epperson, an- cien professeur de biologie a l1'eco- le superieure de Little Rock ( Ar- kansas ), qui conteste la lei de l'Arkansas prohibant 1'enseignement dans les écoles publiques de la theéo- rie de 1'évolution, M.H.H,Blanchard, secretaire ad- joint de l'Association des éduca— teurs d'Arkansas, s'est joint a Mme Epperson pour demander a la Cour su- préme de déterminer jusqu'a quel point le gouvernement d'un Etat peut restreindre la recherche du savoir et de la verite, ainsi que le desir de renseigner les generations futures, " Si l1'Etat d'Arkansas peut de- fendre d'enseigner la theorie de 1'e- volution, argumente Mme Epperson, il peut aussi bien prohiber 1'enseigne- ment de n'importe quel sujet ou theo- rie, qu'il s'tagisse de progression geometrique, dthistoire, de fission nucléaire, de littérature anglaise ou de toute autre matiere ", Le procureur *Leneral Joe Purcell representant 1'Arkansas, soutient au _contraire que 1'Etat, comme tout em ployeur, a le droit de dicter une li- gne de conduite a son personnel. Mne Epperson et M,Blanchard sont appuyes par l'Universite americaine pour les libertes civiles, le Congres juif americain, l'Association nationa- le des éducateurs et 1"Association nationale des professeurs de sciences. Les petits doigts agiles ne travailleront plus” TEHERAN: Le Chah a demande le 15 oc- tobre aux bureaux des deux assem blees parlementaires iraniennes de faire disparafitre la pratique qui consiste a employer dans les fabri- ques de tapis, des enfants agés de 5 a 12 ans. . Selon -_une tradition ancienne, plus de 170.000 enfants de cet age travaillent en effet dans les fabri- ques de tapis iraniennes ou est tres appreciée la finesse de leurs doigts pour serrer les noeuds avec pre= cision et rapidite, ( Certains tapis comportant plusieurs centaines de milliers de points et exigent des annees de travail. Or, depuis deux ans, le gouver— nement cherche a faire appliquer strictement la loi du travail de 1959 qui interdit " d*embaucher des enfants de moins de 12 ans, meme comme apprentis ", Dans le secteur des tapis, a te tentative s'est heurtee jusquta - present a la résistance des chefs d'entreprise qui ntentendent pas re- moncer a ce-qui constitue a leurs yeux la condition meme de la survie en Iran de l'industrie artisanale du tapis. Apres la ‘declaration de Chah du 15 octobre, M, Amir Abbas Hoveyda, premier ministre iranien a -eonvoque a Téhéran les representant s de 1'in- dustrie du tapis afin d'etudier les possibilités de remplacer le travail des enfants par une main-—d'oeuvre feminine normalement retribuee.( Les enfants travaillant dans les fabri- ques de tapis ne bénéficient d'taucu- ne protection sociale et gagnent seulement 5 ou 6 rials par jour, soit a peu pres 0.25 canadiens. | RAR LARA ARR A AAS gaps ™ LALA AAL NR LA A A ome DODO OOOO ad OO a a on et Be Sey BINA A