4 Le Soleil de Colombie-Britannique, vendredi 21 mars 1997 Yvon Ouellet photographe professionnel Evénements Portraits (604) 876-5014 Autrichienne, 40 ans, trilingue avec une expérience professionnelle en France eten Allemagne, dans le domaine des assurances, dans |’enseignement et comme traductrice notamment scientifique et juridique, cherche du travail en Colombie Britannique, dans une compagnie d’assurance ou comme traductrice ou comme enseignante. Maria Forté, Fax en Allemagne 49.89.448 99 34 adresse E-mail: 0896887423-0001 @T-ONLINE.DE Ingénieurchimiste et juriste, 40 ans, de nationalité francaise, trilingue avecexpérienceindustrielleet administrativeen France eten Allemagne, cherche du travail en Colombie Britannique, dans la chimie, les brevets, les traductions notamment scientifiques et juridiques, dans |’enseignement ou un poste d’administrateur. Jean Pierre Forté, Fax en Allemagne 49.89,.448 99 34 adresse E-mail: 089688742 3-OO00@T-ONLINE.DE Comptabilité, gestion, impdts pour petites et moyennes entreprises EWA EURO-WEST CONSULTING Ltd. Accounting & tax Gérard G. Darmon Président 325, 1130 rue Pender ouest, Vancouver C.-B. V6E 4A4 Tél.: (604) 688-9903 Fax: 688-9961 Cellulaire: 240-5810 «je peux appeler le samedi? Cest pratique!» Vous avez des questions au sujet de votre déclaration de revenus, et c’est samedi? Pas de probléme! Vous pouvez maintenant nous appeler de 9 h 4 13 h. N’hésitez pas : ayez vos documents a la portée de la main et appelez-nous, méme le samedi! Du 15 mars au 26 avril 1997 sauf le samedi 29 mars, veille de Paques de9hai3h Service en frangais : 1 800 959-1973 Service en anglais : 1 800 959-1971 Vous pouvez aussi utiliser notre Systéme électronique de renseignements par téléphone (SERT). Consultez votre trousse d’impét pour plus de renseignements sur le SERT. Revenue Revenu Canada Canada ed Canada De la visibilité francophone PAR LIBASSE NIANG Des organismes fédéraux com- me Revenu Canada, Patrimoine Cana- da, ou la Direction des Ressources humaines et plusieurs organisations francophones comme le Conseil Sco- laire francophone, Réseau-Femmes, Educacentre, ’ Association des Parents francophones ou encore la Fédération des francophones de la Colombie- Britannique ont profité de la semaine dela francophonie pour prendre d’as- saut ce haut temple du savoir que constitue la Bibliothéque centralede Vancouver, située au 300 rue Georgia Ouest, pour présenter au public les services qu’ils offrent 4 la commu- nauté francophone. I] était impossible, compte tenu de la qualité des kiosques, dese promener aux alentours du Library Square sans savoir ce que “Franco- phonie” veut dire. Nous vous présentons le dis- cours prononcé par Madame Barbara L. Fulton, sous-ministre adjoint, lors de cet événement.O L’Allocution de Barbara Fulton, Sous-ministre adjoint a Revenu Canada Pour célébrer la semaine de la francophonie, le sous-ministre adjoint 4 Revenu Canada, Mme Barbara Fulton a prononcé le dis- cours que nous présentons ici pour le bénéfice de nos lecteurs. “Chers francophones et francophiles de toute la province, c’est pourmoiun grand honneur et surtout untrés grand plaisir de par- ticiper au lancement de la Semaine nationale de la francophonie ici en Colombie-Britannique. A titre de représentante du gouvernement fédéral, au nom du Conseil des hauts fonctionnaires de la région du Pacifique eten tant que Sous-ministre adjoint de Revenu Canada, je tiens 4 réaffirmer a tous les francophones et francophiles de la province, l’engagement du gou- vernement et de la fonction publi- que fédérale envers la communauté francophone, plus particuliérement dans les trois domaines clés du dé- . veloppement économique, du dé- veloppementdes ressources humai- nes et du‘développement culturel | des minorités de langue officielle. Comme vous le savez, cet engagement de “favoriser l’épa- nouissement des minorités de lan- gue officielle du Canada, d’appuyer leur développement et de promou- voir la pleine reconnaissance des deux langues officielles dans la so- ciété canadienne” esténoncéal’Ar- ticle 41 de la Loi sur les langues officielles. Eneffet, la dualité linguisti- que et culturelle du Canada consti- tue un élément important de notre identité ainsi qu’un atout de taille pour notre pays sur le plan écono- mique. D’aprés le rapport annuel 1995-1996 surles langues officiel- pour Paris et Montréal. - DONNEZ AFFAIRES! > eo Le Soleil s‘envole avec AIR CANADA. DES AILES A VOS SOYEZ A BOR les dans les institutions fédérales déposé a la Chambre des commu- nes enoctobre dernier parle Prési- dent du Conseil du Trésor, Marcel Massé, dans la majoritédes bureaux fédéraux désignés bilingues, les services sont disponibles dans la langue officielle du client, les do- cuments de travail et la formation sont habituellement offerts auxem- ployés dans leur premiére langue officielle, et la proportion d’em- ployés d’ expression frangaise par rapport celle d’expression anglai- serefléte généralement la présence au Canada des deux collectivités de langue officielle. Monsieur Massé a égale- mentajouté que nous avons accom- pli, au cours d’une seule généra- tion, d’importants progrés en ma- tiére de bilinguisme institutionnel. Les progrés constants réali- sés chaque année par nos institu- tions fédérales représentent une réalisation remarquable qui témoi- gne du profond respect que les Ca- nadiens, tant d’expression fran¢ai- se que d’expression anglaise, ont les uns envers les autres. J’aimerais partager avec vous, aujourd’ hui, quelques pro- grés accomplis en 1995-1996: @ Capacité accrue de servir le pu- blic dans les deux langues officiel- les ¢ Quatre-vingt-onze pour cent des employés de la fonction publique fédérale dont le travail consiste 4 assurer des services aux Canadiens dans les deux langues officielles satisfont aux exigences linguisti- ques de leur poste ou excédent ces exigences. 4 Des plans d’ intervention ont été élaborés pour remédier aux lacu- nes. = : as +2, —_—— @ Participation équitable des Ca- nadiens d’ expression francaise et d’ expression anglaise. # Malgré la réduction importante des effectifs dans les institutions fédérales, la proportion d’em- ployés d’expression frangaise et d’ expression anglaise continue, de facon générale, de refléter la pro- portion relative au Canada des deux collectivités de langue officielle. Notre loisurles langues of- _ ficielles, ainsi que la reconnais- sance des droits linguistiques dans la Constitution, formentun modé- le du genre. L’ approche retenue par le Canada en matiére de bilinguisme est en effet une approche exem- plaire et unique, une approche typiquement canadienne, en ce ~ sens qu’elle n’est ni coercitive ni contraignante, mais qu’elle met plutst l’accent sur le respect, LV équité et |’ égalité. Ici, en Colombie-Britanni- que, nous avons une vitalité éco- nomique, démographique et so- ciale unique au Canada. En effet, les sondages de opinion publique nous indiquent que la population se préoccupe beaucoup des questions de droits de la personne et de l’équité. Par conséquent, nous de- vons constamment penser a de nouvelles fagons de faire face a ces défis et de mieux servir notre clien- téle trés diversifiée sur le plan cul- turel et linguistique. Notre utilisation dela tech- nologie constitue un bon exemple de notre capacité d’ adaptation. Dans notre région, l’enga- gement du gouvernement et de la (VOIR "FULTON" EN PAGE 5) D DANS LES PAGES DU SOLEIL! APPELEZ-NOUS AU 730-9575 Nt Ps