BOGOTA lees membre du College de la defense nationale di: Canada out passé quelques jours, durant lesquels ds ont assiste aedes réceptions et des contérences, is reviendiont an Canada. Parmi les conférences, ils out écoute le Colone! Chartos Narvaez présenter une causeric sur la lutte anti puewilla en Colombic. Hone serait pas surprenant qi’on entende pare Apres leur recente visite a Bogots. ou ler Pune visite en Irlande du Nord parce mere college pour assister a des causenies simulates. AVCC CN plus des demonstrations comme il sen déroule contnitetlement depuis défi plusieurs rhois dans Ulster ayant cause plus de 600 morts. OTTAWA — La discussion a été lances par Prere Juneau. le président du Consiel de ta Radio Télévision Canadienne. sur Pimportance et Putilité de la diberte Werxpicssie Wa. prés Juneau, on peut se demander “Jusquaequel point est-il juste qu'une personne ait Ie monopole des ondes plusieurs heures par jour, eu par semaine, ou duvaniave, ct que cette personne emploic-ce monopole de Ja fagon desi elle Pentend?” Cette discussion durera probablement vassez longtemps car une fois qu’un proprictaire dun paste radiophonique posséde une license, il est libre Cengage Panimateur ou Pannonceur qu'il désire. Les programmes dits: “Lignes ouvertes” (ou “Hot lines”) ne sont qu'un truc pour attirer les auditeurs qui ont la chance occasion nellement de s’entendre parler a la radio, ou encore Pop- portunité de questionner une personnalité. Sclon Juneau “cette ligne ouverte est.un rare moyen expression”; par ailleurs cela peut devenir également un abus incroyable de stupidité. NEW YORK ~ Aprés une série d’événements mouvemen- tés, le Docteur Salvador Allende, le président du Chilé. a rétissi a se rendre a New York, ou il a prononcé devant les membres des Nations Unies une série de conlérences sur le fait que son pays avait subi une agression continue par les pays capitalistes. II est intéressant de noter que le président chilien est venu a New York, Vendroit ou les compagnies telles que LLT.T. (International Telephone and Telegraph) de meme que Barden & Kennecott Corp.. et aussi la filiale de celle-ci soit Cerro Corp., ont leur bureaux. Ce sont les mines de cuivre appartenant a ces deux compagnies qui ont été étatisées par le gouverne- ment chilien et ces mines sont les principales richesses du pays. Allende affirme qu'un pays a le-droit de racheter ses propres richesses naturelles:et c’est le geste qu'il est venu poser devant les Nations Unies. LONDRES ~— Voila maintenant que le parlement london- | -nien s’en prend aux grands producteurs de “comics”. Ft ce sont les populaires “Tom et Jerry”, ce chat sur- nois et malin qui court toujours aprés la souris mignonne laquelle réussit toujours a se tirer daffaires. D’aprés les informations obtenues, le député William Price, a envoyé un meémoire a Sir John Eden, le chargé d’affaires de’la B.B.C. (British Broadcasting Corp.) ordonnant ta cessation de la série “Tom et Jerry”. D’aprés Price, ’exemple par ces deux “personnages” d’une série de caricatures montre aux enfants Paspect hostile qui régne entre les deux caté- gories soit les chiens et les chats. Price a signalé dans son mémo que la production technique trés bien faite vient évidemment des Etats Unis ou affirme-t-il “la loi de la violence” est fort connue et appréciée. Peut-on s’attendre prochainement a un débat, méme aux Nations Unies, sur la question a savoir: “Est-ce que “Tom et Jerry” pour- ront continuer leurs attaques continuelles 4 la télévision”? HARTFORD ~— Si vous devez avoir un accident d’auto- mobile, Vendroit par excellence est certes cette ville du Connecticut, ot la majorité des maisons d’assurances ont établi leurs quartiers-généraux. L’autre matin, une bonne dame conduisait sa voiture dans un stationne- ment, pour aller faire son marché: et elle gravissait les cing étages de ce stationnement avec deux autres personnes a bord, une amie du méme age, et un garconnet. Mais, quand deux femmes vont magasiner ensemble, elles causent, n’est ce pas, et méme en stationnant, lon a bien le droit de’ discuter chapeaux, robes et autres accoutrements. Mais, voila que d’un léger recul, la voiture dépassait la rampe et enfoncait la muraille: puis dans un gigantesque bond, la voiture tom-— bait de cing (5) étages, pour se retrouver sur le toit de deux autres voitures, stationnées dans la rue. Juger de la surprise des deux dames et du garconnet! Mais par mi- racle aprés un rapide examen médical, les occupants de la voiture étaient autorisés 4 quitter [hopital, et la compagnie d’assurance réglait aussitot le probléme, car le batiment ou la dame avait sauté par dessus la rampe se trouvait en face des quartiers généraux de ja Compagnie d’Assurances. XII, LE SOLEIL, 15 DECEMBRE 1972 Ce qu'il faut savoir sur le fourisme en Gréce Bien des “Québécois, qui ne tedoutenl aucunement les Vacanees a Phe du Prince- Pdoutard, craiznent de se sen- tir dépaysés en se rendant dans un pays loigné comme la Grece Les appels affluent aux centres de renscigne- Tourisme “Peut-on compter sur un bon ments du PTEG: fepas en Grece?."— “Les hotels sont-ils dotés du con-’ fort moderne? ” Une chose vient al esprit, Pévocation de monuments auciens. Et, par association didée sans dou- te, ils tirent lu conclusion que les hotels de Gréce, comme le standard de vie la-bas, sont le reflet de ces ruines vénéra- bles. On leur répond que la Gréce peut se vanter d’avoir les hotels les plus modernes au monde. La plupart étant de construction récente, la moyenne des chambres avec salles de bains est l’une des plus élevée d’Europe. Tous les hotels fréquentés par la plupart des francophones — de France, de Suisse ou du Canada -- ont un personnel qui parle frangais. Mais, ce qui est encore plus important, c’est que partout au pays, on y parle le langage de la ““Xenia”’, c’est- a-dire celui de lhospitalité. Et méme si en dehors d’Athé- nes, biendes Grecs ne parle- ront pas votre langue, ils feront des prodiges pour vous étre utiles. Une fois le futur touriste rassuré sur ces points, il apprend avec étonnement que dans le domaine des divertissements, artistiques ou autres, la Gréce est un pays hautement sophistiqué. Le Festival d’Athéne recoit’ ; . = des troupes internationales de ballet, d’opéra et de théa- - tre, outre les productions adimirables du Théatre Grec National, de l’Opéra Natio- nal (Lyriki Skene) et de l’orchestre symphonique d’Athene; tandis qu’au festi- val d’Epidaure, on présente les chefs-d’oeuvre de la tragé- die et de la comédie antiques. Mentionnons aussi la troupe des danseurs de Dora Stratou qui présente un éven- tail pittoresque des danses folkloriques de chaque région. Les cinémas mettent. a Vaffiche les primeurs du film frangais et international. Pour ceux qui aiment flirter. avec Dame Fortune, il y ales — élégants casinos de Rhodes et | de Corfou. Des boites de nuit présentent des spectacles ri- valisant avec les Folies Bergé- res et de nombreuses disco- théques résonnent au rvthme du rock le plus endiablé. Enfin, pour compléter le bagage de connaissances des voyageurs qui hésiteraient encore, on leur conseille de se livrer corps et 4me aux joies de !'impromptu et du naturel que peut offrir un voyage en Gréce. C’est l’en- droit idéal pour ‘‘se décon- tracter”, jeter le décorum a tous vents et vraiment ‘‘vivre | sa vie’’ pour quelque temps. Bien str, ne pas manquer l’Acropole, une pure merveil- le qui vous étonnera tout autant par un aprés-midi en- soleillé que baignée des pales teflets d’un clair de lune. Mais que dire des joyeuses “tavernes”, du Marché aux Puces, et des adorables villa- ges de montagne. Le charme et le naturel chaleureux des habitants sont vraiment com- municatifs. Les voyageurs résistent peu longtemps au plaisir de danser le “Syrtaki’’, de mar- chander habilement leurs achats, et, chose impensable au Canada, de se livrer a la volupté d’une sieste aprés le déjeuner. QUELQUES CONSEILS La consultation avec le futur visiteur se- termine, comme il se doit, par quel- _ ques conseils d’ordre:prati- que: A table, éloigez-vous des sentiers battus et faites Pexpérience de la cuisine locale; amuse-gueule exoti- ques et poissons qui viennent tout juste de sortir de la mer feront vos délices. En Gréce, “habit” n’est jamais de rigueur, vous pour- rez donc adopter le vétement sport et confortable. Tout au plus -exigera-t-on, dais les restaurants et casinos les plus chics, le port du veston et parfois, dela cravate. A moins de faire du camping, réservez sans faute vos chambres d’hétel durant Vété, sauf en province. Le service est inclus sur votre facture d’hdtel et de restau- rant; il est toutefois de tradi- tion de laisser un pourboire de 5 ou 10 p. 100 au garcon. Attendez-vous a4 diner tard le soir, la plupart des restaurants ne commengant pas le service avant 8 heures. L’on dine, en général, vers 10 heures. Votre dollar cana- dien vaut son pesant d’or, donc ne manquez pas les aubaines, souvent extraordi- naires, qui s’offrent a vous. Et vous pouvez faire con- fiance aux boutiquiers qui pourront expédier vos achats -directement au Canada. Les vétements “‘lavables et in- froissables” sont a recom- mander, ils vous rendront plus mobiles. Cosmétiques et articles de toilette‘ font le poids dans vos bagages; i] serait plus pratique d’en faire Vachat en territoire grec, car vous y trouverez la plupart de vos marques préférées. N°’oubliez surtout pas que la Gréce.a beaucoup a offrir a la gent féminine. En premier lieu, mentionnons Créte ot les fresques splendides et merveilleusement conservées du palais de Minos, perle de la civilisation qui florissait a Knossos il y a 4,000 ans, inspirent encore les créateurs modernes de la coiffure, du maquillage, de la joaillerievet du costume. Il y aussi Del- phes, ott l’oracle . savait se ‘faire écouter des hommes. bien sir, la sibylle était fem- me. Et que dire des les enchanteresses aux plages nombreuses mais isolées ov on “‘lézarde” paresseurement sous le soleil méditerranéen. UN MESSAGE DE GEMINI PHOTO — Me PSR Cette année, permettez-nous de vous aider 4 envoyer un petit supplément d’amour grace & nos cartes de voeux-portraits. Il vous suffit de nous appeler au263-4851. Venez voir notre sélection. . DU TAC AU TAC..... Au cours de la visite quwil fit un jour aux Etats-Unis, le maréchal Foch fut invité a un diner a Denver. L’un des convives se mit a discuter la politesse francaise. — Ce n’est que du vent, déclara-t-il avec un gout contes- table. ~ Qv’y a-t-i] d’autre dans un pneumatique, rétorqua le Maréchal, et cependant, n’est-ce pas cela qui amortit si bien les durs cahots de l’existence?