SET Pe eee FO RT Ne ee ; iy ~ I a 4 Ke Log AP = Communications ww y, .. tA aes Z : Sif” aS in. < x say SS 1 a x 4 LE} oA ae 2s = ~ < => FONDATEUR : ANDRE PIOLAT La Guerre des ondes Au début de l’année 130 pays ont envoyé des délégués en Suisse pour participer a une | rencontre visant a une juste répartition des programmes de radio envoyés sur ondes courtes. La rencontre a duré cing semaines, mais elle n’a pas résolu grand chose. Par André Lesire Tant dé programmes sont maintenant envoyé sur ondes courtes que cela a créé un véritable emboutaillage radio- phonique. Dans tout ce fouillis, il est devenu trés difficile pour quiconque d’obtenir une bonne réception. Les choses ne font qu’empirer. Il y a maintenant 31 pays qui envoient leurs programmes a. travers le mond en une Y'Allemagne de cela s'adonner a la propagande YOuest, la Grande-Bretagne et l’Albanie se sont taillé les parts du lion, ce qui ne laisse pas beaucoup de place pour les petits nouveaux comme P cst nts 7 A propos du recyclage Le recyclage des batiments est bien digne des livres de cuisine, comme «L’Art d’ac- commoder les restes». Pour- quotne pas éditer un recueil de recettes, didées originales pour limiter les pertes? -On pourrait prendre des exemples : les bdtiments d'Expo 86 seront vendus partout dans le monde et le site hébergera bient6t de nou- veaux logements et bureaux. Olympique de Montréal soit amené au PNE pour la prochaine saison : en accro- chant quelques sucreries ou gourmandises diverses ad son extrémité, les candidats, moyennant quelques dollars, pourraient l’escalader en quéte de la denrée nourriciére. Apres une étude de marché, il serait amorti en une dizaine dannées. J’en-profite au passage pour remercier larchitecte qui avait concu un bdtiment, a Paris, avec un stationnement sur le tozt. Il avait simplement oublié un accés routier au sol. Encore merci, sinon le musée de la Villette n’auratt peut- étre jamats vu le jour! Oncle Archibald , Jesuggére que le toit dustade } programmes par satellites 4 des stations mieux situées qui, elles, retransmettront ces programmes dans les environs ‘sur ondes courtes, moyennes ou grandes. Les guerres coatent cher. Les Etats-Unis s’apprétent a dépenser 1,3 milliards de dollars (U.S.) pour moderniser leurs installa- tions. La France construit des relais dans certaines des iles qu'elle posséde aux quatre coins du monde. Les Britanniques modernisent et assent des accords avec de nombreux pays, y Radio-Canada International. Les raisons qui poussent tous ces pays a dépenser des sommes folles, sont le désir de chaque pays de rehausser son prestige et étendre son influence. Si certains, comme la B.B.C. ou Radio Netherland International sont réputés pour leur indépen- dance, il n’en reste pas moins que la propagande et _ contre- propagande sont les raisons d’étre de ces services. Dés 1930, Radio Moscou préchait la Bonne Parole dans : i q une cinquantaine de langues. compris la Chine qui est d’accord Radio Tirana continue de lutter pour ne pas toucher aux contre les «chiens courant de installations de Hong Kong aprés limpérialisme». La «Voix de 1a décolonisation du territoire. PAmérique> et ses affiliés (Radio | Radio Netherland utilise un Free Europe, Radio Liberty et _ relais au Canada pour ses services Radio Marti) ne sont pas réputés nord-américains, en échange de pour leur objectivité, sans pour quoi Radio-Canada Internatio- nal. se sert d’un_relais en possibles ‘entre les U.S.A. et Y'URSS bien que les pourparlers a cet effet n’ont pas encore aboutis. La guerre des ondes ne fait que commencer, le nouveau direc- teur des services internationaux de la B.B.C., M. Tusa, réve déja ‘radios des pays totalitaires. Comme tous ces pays sont ‘incapables de s’entendre sur la répartition des ondes, la guerre radiophonique s’intensifie. Certains ont d’abord cherché a construire des émetteurs plus puissants. Mais, quand tout le de la B.B.C. TV couvrant le monde se met 4a crier plus fort, monde entier par satellite. Ses personne n’entend plus rien. La collégues étrangers doivent faire nouvelle solution est’ d’envoyer les aussi des réves semblables. 5M Ve Solel de Gotamber, vendvers yj hee 1987 | Ste \ 1 Sole (] | Tua ey soleil-Jeuness© . C’eit facile! QUE ¢ Janay "ENPRA Ton E tha, Jen Jo, Mbtiqties Baan Preduites bry tout la mosaique cana + Sous une forme agréable nous Voffrirons également des sujets WV ¥ comer ams |/ MD |e lessciences, lesgrancles découvertes, lexgrandes “> — : Le Soleil de Colombie DE COLOMBIE##* ; = Vancouver, C.B. VOL. 20 NO.23 VENDREDI 2 OCTOBRE 1987 x Hebdomadaire : 30 cts Courrier 2éme classe V5V 3M6 Canada. Second Class Mail Maillarduille 16 unités de logements pour retraités Par Heidi Parks Un nouveau projet d’habitation pour retraités marque le lancement du redéveloppement de Maillardville. En effet, un complexe ‘d'habitation de 16 logements pour personnes a la retraite, vient d’étre construit juste derriére la Caisse Populaire a Maillardville. Ce projet d’habitation a été lancé par la société Bi-Culturelle de Maillardville et confié a la Caisse Populaire pour le réaliser. Prévu depuis de nombreuses années, ce projet d’habitation n’avait pu voir le jour a cause du manque d’appui de la Centrale d’Hypothéque et de logement. En 1986, la Société Bi-Culturelle, propriétaire du terrain, décidait de reprendre le projet a son compte et de demander a la Caisse Populaire de mener le projet a terme. C’est le Directeur Général de la Caisse Populaire, M. Jean Aussant, qui a assumé la coordination du projet. = Le projet de 16 logements de 1 030 pieds carrés avec patio et balcon a té complété cet été. En plus des 16 logements, le projet comporte également une habitation supplémentaire commune pour recevoir des activités récréatives des résidents du projet. Le sous-sol de ce lieu commun comporte un atelier de travail disponible aux résidents. Selon M. Aussant, le complexe a été construit selon I’architecture Suite page 2 no. 0046