Film de la Les Grands Films . jeudi 3, 20h00 «L’Autre Versant de la montagne» {1er de 2) Les Grands Films proposent aux téléspectateurs de Radio-Canada, le jeudi 3 décembre a 20 heures, /‘Au- we Versamt de la montagne (The Other Side of the Mountain), un drame réalisé par Larry Peerce d'aprés le livre A Long Way Up de E.G. Valens. Cette production améri- caine met en vedette Marilyn Has- sett, Beau Bridges, Belinda Mont- gomery, Nan Martin, William Bryant, Dabney Coleman et Bill Vint. Une jeune skieuse de Californie, Jill Kinmont, ambitionne de faire par- te de léquipe olympique améri- natowe, elle est cependant victime dun grave accident, a fa suite Guquel son corps reste paralysé a partir de la poitrine. Elle entreprend @vec Courage des exercices de réa- Gaptation Partelie et est soutenue dans ses efforts par !‘amour d‘un camarade. Celui-ci meurt avant de pouvoir |"épouser, mais Jill arrive, Qrace @ sa persévérance, a poursui- vre des études qui lui donnent accés @ un poste d’institutrice: Ce film raconte une expérience vécue et il met en valeur le courage et la générosité d'une jeune fille vic- time d'une ternible épreuve. En cette Année internationale des personnes handicapées, notons que ce film attire Iattention sur les injustices . qu'elles ont a subir. Vivre ici maintenant lund: 30, 22h00 Jacques Languirand, concepteur, animateur et réalisateur de la série Vivre ici maintenant, consacre son émission du lundi 30 novembre a 22 heures au Principe féminin. Selon Languirand: «ll s‘agit aujour- d’hui de redécouvrir le principe fémi- nin dans la société comme en cha- cun de nous et de redécouvrir la femme. C‘est une question de sur- Societe Radio- Canada; 23h00 A toi Jean-Maurice 2:4n00: Pensées de la nuit Lecteur: Jean Deshcamps > Baillargeon”_” Texte et int. André Gaulin. Lect Yes Mas, sicotte et Ronald France. woveteterererenerarers sratetere! ~ ata ee sae oo cee = de Hockey opposant. les équipes de Montréal a Edmonton et diffusé 4 17h30. - 20800 L’Art d’aujourd’hui Mercredi 2 vie: Ou I‘humanité se tourne vers les valeurs féminines de coopération, d’entraide, de communauté, ou nous sommes condamnés a dispa- raitre @ plus ou moins breve échéance.» Languirand_croit qu’a une étape de son évolution, |’espéce favorise le principe masculin et les valeurs qui fui sont associées, de contrainte, de compétition, de pouvoir, et qu’a une autre étape, l’espéce favorise le prin- cipe féminin et ses valeurs d’empire sur soi, de coopération, d‘avantages mutuels. Il resume sa pensée en disant: «Avec le principe masculin, c’est la survivance du plus fort; avec le principe féminin, la survivance du plus sage.» Languirand affirme ea qu‘une société reposant sur le prin- cipe féminin serait bien différente de la ndtre et il précise qu’a certaines époques, les femmes pratiquaient le mariage communautaire et élevaient leurs enfants en commun, au. point d’en venir a les confondre. II lui sem- ble que les peuples adorateurs de la ‘Déesse-mére, groupés autour des sanctuaires, étaient souvent organi- sés selon le modéle communautaire. Et il poursuit son idée en affirmant que la mise en commun des ressour- ces, le partage des responsabilités en matiére d’éducation, comme aussi bien le probleme plus prosai- que de la garde des enfants et de leur regroupement en fonction de |’age, débouchent _naturellement sur le modéle communautaire, modéle qui répond le mieux, dit-il, aux besoins des femmes. En conclusion, Languirand résu- me sa pensée en ces mots: «La femme ne doit devenir I’ égale de per- sonne. Elle doit s’appartenir. Elle doit se libérer de l'image que lui impose une société dominée par les valeurs masculines. Elle doit aussi surtout ne pas faire de l'homme le modéle de sa libération. C’est ainsi qu'elle va créer une société nouvelle. Quant a ‘homme, qu’il contribue a libérer la femme, d’abord et avant tout en acceptant la part féminine en lui. En reconnaissant les valeurs féminines qui demandent a s’épanouir, en lui, comme dans le monde, afin qu'‘en- semble nous batissions une société nouvelle. Cette civilisation, elle ne sera jamais si nous ne permettons pas aux femmes de la créer. L’avenir est l’affaire des femmes, parce qu’elles l’interrogent par les yeux de leurs enfants.» Culture et information Cosmos samedi 28, 20h35 «L’Harmonie des mondes» Lors de la présentation du troi- siéme épisode de la série Cosmos, le grand astronome et vulgarisateur scientifique américain Carl Sagan nous dira qu’il y a deux fagons de voir les étoiles: comme elles sont réellement et comme nous vou- drions qu’elles soient. A cet effet, il établit un paralléle entre les découvertes et les interpré- tations du monde des é€toiles par.les ‘astronomes et ce qu’y voient depuis toujours les astrologues. Les astronomes, par exemple, voient la planéte Saturne comme un immense globe d‘hydrogéne et d’hé- lium entouré d’un «anneau» de blocs de glace large de 50 000 km. Et la zone rouge sur Jupiter comme une énorme tempéte qui fait rage depuis ~ L'horaire-radio de CBUF-FM ores _ L’actualité ‘littéraire placée -sous le double signe de la lecture et de l'information. Part.M.-J. Thériault et Fran- cois Ricard. Anim. Wilfrid Lemoine. discutent ag ee = actualté cultaclle. Un refiet de la vie artistique de notre société. Hes n. et ani. Jacques Fol Rite coe ‘20h30 Bane d’essai ‘Carmen Charron, fi., Stéphane Laberge, ve., Jocelyne Laberge. clv.: Concerto en do peut-étre un million d’années. En revanche, les astrologues, eux, nous diront que les planétes affec- tent le caractére et la destinée humaine. Certes, durant la’ plus grande partie de l'histoire de homme, l'astronomie et I’astrolo- gie n‘ont pas été séparées; au con- traire, elles furent constamment associées. Puis, un jour, l'astrono- mie s‘est émancipée de I‘astrologie et, avec Johannes Kepler, surtout, elle est allée son propre chemin. . C’est en effet ce grand astronome qui démystifia les cieux en décou- vrant qu‘une force était a l’origine du mouvement planétaire. Il fut le pre- mier astrophysicien, ou le dernier des astrologues scientifiques. Les fondements de I‘astrologie furent donc renversés il y a 300 ans. Et pourtant, elle a encore de nom- breux adeptes. Selon Carl Sagan, il s‘agit d'une pseudo-science qui ne mérite aucune crédibilité. il y voit surtout un désir inconscient des hommes d’étre rattachés au cos- mos. e Aprés nous avoir expliqué en quo: consistait le systeme astronomique de Ptolémée, et comment ’Eglise du Moyen Age empécha I’astronomie de progresser pendant 1 500 ans, Carl Sagan nous parle de ceux qui ont fait changer les choses: Nicolas Copernic, Johannes Kepler, Tycho Brahé. Le génial Kepler, par exemple, aimait tellement la géométrie qu’il y voyait l'image de la_ perfection divine. C’est grace, d’ailleurs, 2 cette science que lui-méme et. les autres astronomes aprés lui décou- vrirent le mouvement orbital des pla- nétes autour du soleil et, enfin, Ja gravitation. 07h30 Concert intime 08h00 Folklore (Vivaldi) Sonate en ré min. (Telemann) -Ani.: “Jean Trudel — Extr. Sonate en ré min. (Francoeuz). 21h00 Les goats réunis Le mouvement-des passions. Extr Messe “Lhomme armé” (Busnois): Pre Cantione et Antiqua de Londres, dir. Bruno Tumer —- “Saltarollo” et “Piva” iniseac lode, aaa Shame de. Calgary «a René Montréal et diffusé 4 17h00. Viau, Richard Gay. Cécile Chic. 21800 Orchestres i fine Chi Y Michaud, Orch. symph. de Toronto, dir. Yarujan ee fo Poe Suzanne Giqure et Michel Vals. Ani. Gaé- Kojian: Yefim Posen: p-: Sec Ani.: Janine Paquet | tan Lemay. brandebourgeois no 3 (Bach) —— Cencerto 23h00 Samedi soir, dimanche 3 oS a ee. : Dise-jockey animé par Vin- cent Joly : "a ana a anew - Dimanche 6 ‘09h00 Le Monde maintenant @h15 L’é Lévénement - Ani: marie-Héléne Poirier ‘11h00 Dossiers ‘12h00 Courant d'ondes Ani.: Lise Maynard 16h00 Ils sont des nétres Ani.: Paul Legendre & Montéal: “La consultation” de Paul Toupin. Distr, 1700 Le 5 & 6 du sport , Gistle Schmidt, Madeleine amateur