a ee TT oe a aa Ia oe F SAL} je Solel le wet S y.. S Man ay Mt sau! Aw, e —_ M. Bennet a peur du bilinguisme Monsieur. le Premier Ministre W.A.C. Bennet (...) a rendu publique la teneur du mémoire qu’il présentera a la conférence des premiers ministres sur les réformes constitutionnelles en février 1969. Dans ce bref de 4700 mots, il s'oppose formellement au projet de “Loi sur les langues officielles” tel que Proposé par le gouvernement . fédéral. Il dit que cette loi | sera un obstacle a 1’ embauchage : et a. ta =promotion des anglophones unilingues dans le Service Civil. Donnant droit a un accusé d’étre jugé en francais, il se demande comment cela pourra étre le cas en Colombie, puisque pas un seul des quarante et quelque juges de la province sont incapables d’ entendre une cause dans cette langue. (20 décembre 1968) nique photo Jean-Pierre DAOUST = LE SOLELde VANCOUVER = Rencontre entre deux fondateurs Lors de la conférence du Parti libéral du Canada, a Harrison Hot Springs, M. Pierre Elliott-Trudeau, premier ministre, et M. André Piolat, directeur du journal "Le Soleil de Vancouver", se sont entretenus de l'avenir du seul journal francais en Colombie-Britan- (28 novembre te VERS LE QUART I 1969) JARDIN D’ENFA NTS 13 septembre 1968 Les classes, ont commence jeudi le 5 septembre 1968 au premier jar- din dtenfants frangais de la Colom bie a l'ecole primaire Alderson, a Coquitlam, Quarante-—deux écoliers,a- gés de cing ans, recoivent leur ins- truction dans la lafigue francaise en- seignée par Madame Phyllis Robb.A re- marquer que ce fait est un début et se produit pour la premitre fois en Colombie, — Madame Robb, issue d'une famille anglophone du Quebec, dit que les en- fants parleront frangais, non seule~ ment dans la salle ou ils suivent les classes,mais aussi en jouant avec les autres enfants, Les cours qui sont divises en deux perioges de deux heures et demie chacune,preparera les enfants a ete voir l'enseignement francais dans les premiéres anneés de l1'ecole primaire ainsi que dans les années subsequen- *|PERENDE2 Vous tes, La Commission Scolaire de coquit lam a recu du Gouvernement Provincial l'autorisation dtetablir un tel jar- din d'enfants, mais avec quelques re— servess Premierement, au_moins une demi- heure par jour doit “étre consacree a l'enseignement dans la langue anglai- se. Deuxiemement, le progranme actu- ellement en vigueur dans les autres ecoles primaires doit étre suivi tel quel, x _ : Troisiemement, aucun ecolier ne sera admis au cours sans le consente- ment de ses parents: et tout le mate- riel scolaire servant a 1'enseigne- ment doit “etre celui approuve par le Ministere de 1'Education. Mission: Programme scolaire: Pensionnat: Campus moderne ‘COLLEGE MATHIEU Sac 20, Gravelbourg (Saskatchewan) SOH 1X0 Education francaise et catholique de qualité cours secondaire - 8¢ a la 12 année (préparatoire a I'université) résidences séparées pour garcons et filles (10 salles de classes, 2 labos, bibliothéque, micro-informatique, salles (306) 648-3105 ou telécopieur (306) 648-2604 TELEVISION AVEC LES PROGRAMMES FRANCAIS DE LA SEMAINE,A CBUT-VANCOUVER REGARDEZ_ Bien REGARDGZ 11:45 DU FEU S.V.P.-(c) 12:15 MOI ET L’AUTRE (c) DIMANCHE, LUNDIS SS -. Pien MARDI,. . . . rien MERCREDI, . . , JEUDI, « 6 «2 VENDREDI, ©. « eo SAMEDI. .« « » rien La télévision francaise n'existait pas encore mais Le Soleil adressait chaque semaine ce pied de nez au canal 2 de CBC qui diffusait quelques heures d'émis- sion en frangais le dimanche matin... rien rien rien CONPSRSNCS FEDERAL: Un parti sé€pa Enfin, c Britannique a chef et fondat ‘de restaurant qui a vu la { avait été < resteraient représailles que des grou Victoria, Pow (7 mars 1969) PROGES EN FRANGAIS REFUSE : Le juge en chef H.WL Davey de la cour d'appel de la Colombie-—Britan- nigiie a rejeté l'appel de Mlle Su- zganne Poulin, qui, par 1'intermédiai- ‘ré de son avocat Me Gérard Goeujon, avait fait appel contre le jugement du juge D.R. Verchere de la Cour Su- preme de la Colombie Britannique, Ce dernier appuyait le refus du Magis- trat Alfred Watts de West Vancouver, d'entendre son proces en francais, Me Gérard Goeujon, défenseur de Mile Poulin, avait insisté, lorsqu'el- d'études . . .) le comparut devant le magistrat: Alfred Installations: —chapelle, cafétéria, auditorium, gymnase, piscine, musique, radio- Watts, pour répondre ‘a une accusation étudiante, photographie, théatre, haltérophilie . . . de vol a 1'étalage de moins de $50.00 Services: pastorale, orthopédagogie, francisation, orientation, méthodologie pour que’ le proces soit entendu en | de travail, accueil et suivi personnalisés, etc. francais, L'accusée et les témoins ; ‘étant de langue francaise, Devant Demandez une trousse d'information sans tarder! le refus du Magistrat, il demanda 2 la Cour Supréme de la Colombie-Britan- Renseignements et inscriptions: ee ee en ao Magiotret Watts d'entendre la cause autrement qu'en francais, Cette demande étant ‘refusee par le juge D.R. Verchere, ‘Ll porta la: ca Le juge en Me Goeujon, & L'Amerique du citoyen canadi avait le droit te langue, eta Wotre argumen méme pas plaus droit de nous ments raisonné avez soumis ne plaidoirie ¢ valeur,!' Me Goeujon, leil, a declar appel ‘a la Cou: mais il se dit a prendre pour cessaires, La siegent.2 Ottar suivre, trés Cc cout d'un appe] L'accusée est s