0 aia VIER 16 Le vendredi 20 mars 1998 a PEWSENEZVOUS sur les évinements, les areganisavions et Lee ressources dipponibles de fa communauté francgphone et autres WSTEZ heite CubteraleX press www. culturalexpress. com o /news news LISLE hs articles choisis — DECOUVREZ VREZ da Sobeit de Colombic, dag faite interessante sur lee religions, en frangaie hes cultures et differents patrimoines, La bangue d information par excellence des communautés culturelles de Ca Colowbie-Britannigue Pacific Cultural Services Ltd., CulturaleXpress offre un service spécialisé en commercialisation et en communications pour les comimunautés culturelles. Le SOLEIL Fas LA QUETE DU SAVOIR MARIE-CLAIRE RIOUX arie-Claire Rioux est née au Nouveau- Brunswick, d’une mére anglophone et d’un pére francophone. Mais entre Atlantique et le Pacifique, que de va-et-vient, que d’escales plus ou moins longues dans différentes pro- vinces canadiennes. Elle avait juste un an quand ses parents ont décidé de partir du Nouveau-Brunswick pour aller s’installer & Hamilton, en Ontario. Deux ans apres, elle retournait A Fredericton ot elle est restée jusqu’a l’Age de 6 ans. Elle a, depuis lors, vécu a plusieurs reprises dans les 3 métropoles canadiennes que sont Toronto, Montréal et Vancouver d’ot est originaire sa mére. Elle a été leader de la Chambre dans’ le Parlement franco-canadien de l’Quest. Elle est aussi membre du tout nouveau Parlement jeunesse francophone - de la Colombie-Britannique. « Ce -qui est formidable dans les parle- ments, ce, sont les débats passionnés, les échanges de points de vue. Les sessions me permettent de maintenir et d’amé- horer mon frangais étant donné que les occasions de parler frangais se font de plus en plus rares pour moi. » Mais d’ot’ lui vient ce penchant pour la politique ? « C’est au club-de Unesco, quand jétais 4 Montréal, que j ai commencé & m/intéresser a la politique. Par ailleurs, mon pere a longtemps tr le gouvernement du Nouveau- Brunswick. I] a fait partie des délégations de cette province au sommet des chefs d’Etat et de gouvernement ayant en com- mun l’usage du frangais. Mon environnement familial expli- que donc, en partie, l’attrait qu’exerce la politique sur ma personne. » Marie-Claire Rioux a été inscrite au programme franco- phone tant & Anne-Hébert qu’a Kitsilano. Elle a actuellement quitté le programme en question pour aller faire un baccalauréat international A Churchill. « L’éducation francophone en Colombie-Britannique n’est pas ce qu'elle devrait étre. A Kitsilano, les éléves d’une méme classe avaient des niveaux trés différents. Quand on veut suivre un programme sement, on est obligé’ d’aller a Pécole anglaise. J’étais insa- tisfaite. Voilé pourquoi j’ai changé d’école. Le programme de Churchill est un niveau avancé. I] est ’équivalent de la _premiére année universitaire. » travaillé pour | d’enrichis- le monde et. les Les projets immeédiats de Marie-Claire Rioux ? Etre étudiante au United World College. « J'ai une demande d’admission dans ce collége qui regroupe des gens venant de 90 pays différents. C’est une institution qui compte 10. éta- blissements dans le monde dont un a Victoria. Je voudrais étre acceptée dans celui < qui se trouve en Italie. Je pourrais ainsi faire Vapprentissage de la langue italienne. Mais ce ne sera pas facile puisqu’il n’y a que 9 places pour 135 candidats. » Le mot international est un mot magique pour Marie-Claire Rioux. Comment pouyait-il en étre autrement ? L’Unesco, un baccalauréat international, une mére qui travaille 4 Air Canada et un pére qui représente la délégation Canada-Nouyeau — Brunswick dans un sommet international. Aller en Italie ou ailleurs dans le monde est par conséquent quelque chose de tout a fait logique, surtout pour quelqu’un qui entend découvrir cultures. « Je trouve qu’il est important de se connaitre, de Sse -comprendre . eisai communiquer. » LiBASSE NIANG FEDERATION DES COMMUNAUTES FRANCOPHONES BT ACADIENNE DU CANADA officielles. Monsieur Gino LeBlanc, 450, rue Rideau, bureau 300 Ottawa ON KIN 5Z4 (613) 241-7600 Site web : w3.franco.ca/fcfa Président de la FCFA du Canada 1999 : Année de la francophonie canadienne « Lannée 1999 sera celle de la francophonie canadienne. On n’a qu’a jeter un coup d’ceil aux événements qui se dérouleront I’an prochain pour s’en rendre compte : le Sommet de la Francophonie en Acadie, le Congrés mondial acadien en Louisianne et le 30° anniversaire de la Loi canadienne sur les langues De nombreuses célébrations marqueront ces occasions. L’atmosphére sera donc aux rassemblements et a la féte. Mais 1999 sera aussi une année de réflexion sur !’éyolution courante et future de la francophonie cana- dienne. Avec un million de francophones vivant en situation minoritaire au pays, il est évident que cette communauté doit étre préservée, protégée et appuyée davantage qu’elle ne I’a été par le passé. Apres tout, nous formons, avec les francop ones du Québec, la francophonie canadienne. Nous habitons partout au pays depuis plusieurs générations. Nous sommes un des peuples fondateurs du Canada. Nous avons aidé a batir ce pays et nous continuons a jouer un réle de premier plan dans son développement. La Fédération des communautés francophones et acadienne (FCFA) du Canada travaille a la recon- naisse de'l’identité et des droits des communautés francophones et acadiennes par toute la société canadi- enne. Il ne fait aucun doute qu’en ttavaillant tous ensemble a |’ épanouissement de notre langue et de notre culture, nous gagnons le respect de nos concitoyens et de nos concitoyennes.» S Courrier électronique : d.bertrand @fcfa.franco.ca Téléphone: (604) 327-9686 Télécopieur: (604) 325-3802 différentes ad | 5 trap es Ms aii tintin Peasy