des adultes. Une rencontre avec les dirigeants des maternelles a été recommandée afin d’uniformiser les Lip acs pour la province. Les Comités de parents du Nouveau-Brunswick concluent l’année 1990 en parlant surtout du préscolaire. Jusqu’a voici un an, le sujet n’était pratiquement pas traité, exception faite de quelques résolutions par lesquelles était appuyée, occasionnellement, toute démarche en faveur d’un réseau de maternelles publiques. L’annonce récente du gouvernement provincial d’implanter un systéme de maternelles publiques dés l’année scolaire prochaine a pris un peu tout le monde par surprise et méme un peu au dépourvu. Pour les C.P.N.B., il s’agit d’une bonne nouvelle malgré les modifications qu’ils doivent apporter a leur échéancier. Le grand défi des C.P.N.B. est donc de répondre a l’urgence en apportant toutes les retouches nécessaires 4 son engrenage sans pour autant délaisser ou ignorer la base du mouvement 4 laquelle il est fait référence le plus souvent comme le maintien des CPNB par opposition au développement. Lors de la réunion du conseil d’administration au mois de novembre 1990, la Fédération des parents francophones de Terre- Neuve et du Labrador a pu constater que son objectif d’unifier les communautés avait été atteint. Un esprit de corps était nettement perceptible, la question juridique était 4 l’ordre du jour et Pimmobilisme gouvernemental, il est vrai, est un catalyseur efficace de rassemblement. La loi scolaire se fait toujours attendre et le rapport final sur étude ministérielle des besoins scolaires des francophones de la Péninsule n’est toujours pas disponible. L’alternative des classes portatives a été refusée. En ce qui concerne la gestion, les modalités d’implantation du comité de travail sont toujours en discussion. Du cété préscolaire ce dossier avance bien et devait étre finalisé en décembre. La Fédération provinciale des comités de parents du Manitoba a effectué une tournée afin de connaitre les intervenants des écoles 16