I eee Rt TC LE SOLEIL til Vol. 6 No. 15 «* Je déclare les Jeux du Canada ouverts’, M. Marc Lalonde, Ministre de la Santé nationale et du Bien-étre social , représentant le premier de vancouver “LE SEUL JOURNAL DE LANGUE FRANCAISE DE LA COLOMBIE—BRITANNIQUE a ee a ae ow ass as 00 vendredi 10 aoft 1973 M. Pierre Trudeau, retenu A Ottawa par la réunion des premiers ministres des pays du Commonwealth. a a a -20F | ministre La 2e explosion atomique Quebec: Tout S’annonce Bien! Wellington - Le ministére néo-zélandais de la Défense a annoncé que la France a largué une bombe 4 hydro- géne de faible puissance au- dessus de l’atoll de Murvroa Un certain mystére prévaut au sujet de cette explosion. Les Neo- Zélandais rappor- tent que des difficultés tech- niques ont 4 trois reprises interrompu le compte 4 re- bours de 1’explosion. Selon les observateurs 4 bord de la frégate néo-zé- landaise Canterbury, qui é- tait stationnée 4 20 miles au large de l’atoll de Mururoa au moment de 1l’explosion, celle-ci n’a comporté ni é- clair, ni boule de feu, ni nuage en forme de champi- gnon. Les témoins 4-bord du Can- terbury décrivent le phéno- méne qui a suivi l’explosion commeune bouffée de poudre qui s’est lentement élevée au-dessus de lourds nuages qui couvraient déja, avant l’expérience, le site de Mu- ruroa. francaise serait un échec La vitesse du vent était a- lors de prés de 21 miles 4 l’heure. Un spécialiste 4 bord du Canterbury s’est dit incapa- ble de déterminer la puis- sance de l’explosif mis 4 l’essai par la France. Les autorités néo-zélandaises assurent cependant qu’ils’a- git d’une explosion de faible puissance. On se dit certain que cette explosion-ci était de moindre puissance que celle de la précédente, qui aurait été de l’ordre de cing 4 six kilotonnes. Cette fois encore, la charge qui a explosée était suspen- due 4 un ballon. Les observateurs de Can- terbury ne sont méme pas sars d’avoir entendu une dé- tonation avant d’apercevoir la bouffée de poudre qui se dispersa en dix minutes. La frégate s’est ensuite rapide ment éloignée, pour se ren- dre 4 60 milles du site de I’ explosion. En Israél, gare a celui qui n‘attachera pas sa ceinture Le parlement isralélien a adopté une loi qui rend o- bligatoire le port de la cein- ture de sécurité pour le con- ducteur et pour le passager du siége avant et qui pré- voit de lourdes sanctions pour les conducteurs con- trevenants. Le conducteur surpris 4 ne pas utiliser sa ceinture de sécurité est passible d’u- ne amende de 1.000 livres israéliennes (ce qui repré- sente le salaire mensuel moyen en Israel) ou d’un mois de prison. Si le passa- ger du siége avant est, lui aussi en infraction, le con- ducteur en est tenu pour responsable, et son amende est doublée. La loi entrera en vigueur le ler janvier, pour une pé- riode d’essai d’un an, et s’applique 4 tous les véhi- cules mis en circulation de- puis 1967. par Réjean Boivin Le premier groupe d’athlé- tes canadiens arrivés sur le site des Jeux du Canada est celui de la province de Qué- bec. L’équipe de baseball, di- rigée par le Chef de mission, M. Richard Bélec, s’est en effet posée mercredi soir 4 l’aéroport international de - Vancouver. Les athlétes québécois ont été fort impressionnés par les Rochegises et par l’ac- cueil qu’on leur a réservé & Burnaby et 4 New Westmins- ter. Aprés une bonne nuit de repos, ils ont louangé les or- ganisateurs des Jeux et se sont dit préts pour les com- pétitions. Un fait 4 noter : lanonpar- ticipation des porte - cou- leurs de la ligue ‘‘ Montréal- Junior’’. Soulignons égale- ment que la Fédération du baseball amateur de Québec a posé un geste importanten retenant les services de M- Paul Martin pour diriger le club. Autrefois des Yankees de New York, Martin n’ense- ~ LES QUEBECOIS SONT ICI! ra pas 4 sa premiére ex- périence A diriger l’équipe du Québec. Ila mené son club A la victoire, notamment 4 North Battleford (Saskatche- td et 4 Carmen (Manito- ba). Selon M. Bélec, l’équipe québécoise ade bonnes chan- ces de se classer sinon pre- miére , honorablement,mé- me si ses joueurs connaf- tront pour la premiére fois l’expérience d’une compéti- tion au niveau national. ee ee a a a a A FL | —_ —— a ~~ | -_ —, — —_ pa 7 a real eer ee re bi np i a i a a ns fl th yin pian hte ps. sing lc i a_i BRS a pe ee a a A I a