r Raw } Murs de briques, carrelage de terre cuite, et poutres antiques en bois font de ce bistro un endroit chaleureux... Vous y reviendrez pour son excellente nourriture et ses bons prix. Déja une destination de choix... BISTRO! BISTRO! 162 rue Water, Vancouver 682-2162 Venez nous rencontrer! La Garde cdtiére canadienne visitera diverses localités de la Colombie- Britannique, dans le cadre d'une consultation publique concernantla mise en’ ceuvre de sa politique de retrait du personnel en poste dans les phares. Nous aimerions recueillir vos commentaires et suggestions. Profitez-vous des services offerts par les gardiens de phare ? Si oui, dans quelle mesure sont-ils utiles ? Quel effet ont-ils sur votre vie ? Peuvent-ils étre assurés par quelqu'un d'autre ou d'une facgon différente ? Notre tache consiste a déterminer ce qui doit étre fait avant de retirer le personnel de.chacun de nos pares. Nous examinerons l'impact qu’aura ce retrait de notre personnel sur les services actuellement offerts. Votre collaboration nous sera précieuse pour élaborer un plan d'application définitif du projet. Nous souhaitons donc vivement recevoir vos ions et vous invitons 4 venir nous rencontrer. Nous serons de passage dans votre localité afin de prendre connaissance de vos commentaires, lors de présentations qui se dérouleront au cours de la journée, de méme que pendant la soirée, a l'occasion d'une rencontre « portes ouvertes » suivie d'un atelier. Ces séances seront ouvertes a tous. Si vous désirez faire une présentation devant notre équipe de projet, veuillez composer le 1-800-665-4099 pour obtenir de plus amples renseignements. Canadd Garde cétiére Canadian te canadienne Coast Guard Transports Canada _ Transport Canada Aéroports Airports iv APPEL D’OFFRES OCCASION D’AFFAIRES AEROPORTUAIRES concession de comptoir alimentaire -AEROPORT FORT ST. JOHN DES OFFRES SOUS PLI CACHETE adressées au : Spécialiste ional, Services des contrats, Transports Canada, Canada Pace aeaane Gore 1, 9700, avenue Jasper, bureau 1100, Edmonton (Alberta) T5J 4E6, et portant la mention « CONCESSION DE COMPTOIR ALIMENTAIRE » seront reques jusqu’a 14 h, heure d'Edmonton, le 24 janvier 1995. Le présent appel d‘offres vise a fournir un service de comptoir alimentaire avec Spexcsne aux voyageurs al'aérogare de l'aéroport Fort St. John, Fort St. in (C.-B.). Les parties intéressées peuvent obtenir les documents relatifs al'appel d'offres auprés de : . M. Rick Proulx, directeur de l'aéroport Aéroport Fort St. John Transports Canada C.P. 6490 Fort St. John (C.-B.) Vid 4H9 Téléphone : (604) 787-0426 Une séance d'information concernant I'appel d'offres aura lieu le mardi 10 janvier 1995 a 10 h, heure locale, dans la salle de conférence située a la caserne de pompiers de l'aéroport Fort St. John, Fort St. John (C.-B.). Loffre devra étre soumise a l'aide des formulaires fournis par Transports Canada dans l'enveloppe prévue a cette fin. Canada Ballet West a Vancouver 14 - Le Soleil, venpRED! 16 DEcEmBRE 1994 a pis ef Spectacles Un Casse-Noisette feerique Ballet West, de Salt Lake Ctty, prolongeralamagie et la galeté des Fétes jJusqu’au 8 janvier avec une interprétation traditionnelle et spec- taculalre du Casse- Nolsette de Tchaikovski. Ce beau ballet de Noél, inspiré d’un conte d’ Hoffman, relate histoire de la petite Clara Stahlbaum et sa nuit de Noél, aux environs des années 1850. Un oncle un peu étrange, son parrain Herr Drosselmeyer, un fabricant de jouets, lui offre un énorme casse-noisettes, en forme de soldat, lors du Réveillon de Noél chez ses parents. _ La féte terminée, Clara s’endort sous |’immense sapin de Noél et réve 4 son Casse-Noisette devenu prince et a leurs aventures merveilleuses au royaume légendaire de la Reine des Neiges et de la fée «Sugar Plum». L’ Orchestre Symphonique de Vancouver accompagnera cette chorégraphie de William F. Christensen,,.fondateur de Ballet West (1963) et duplus ancien corps de ballet américain, le San Francisco Ballet (1937). Plus de 80 danseurs seront présents sur scéne chaque soir. Parmi eux, 76 jeunes danseurs de la région vancouvéroise interpréteront, 4 tour de réle, des souris, des soldats, des bouffons et des danseurs orientaux. Ballet West, une compagnie de 40 danseurs, est réputée pour sa vivacité et la fougue avec laquelle Un «vrai» spectacle du temps des fétes. ils dansent le Casse-Noisette de leur créateur. La musique de Tchaikovski, les costumes et les décors fabuleux ainsi queles effets spéciaux rendent encore plus envoiitant ce ballet pour tout Age. Marie-Agnés Michaud Au Queen Elizabeth Theatre, du3 au 8 janvier. Billets 280-3311 (30% de rabais pour les moins de 15 ans). Chronique du Patrimoine Québec, le 25 décembre. «C est dans le temps du jour de l’an, on se donne la main, on s’embrasse, c’est le bon temps d'enprofiter, gaarrive rien qu'une Jois par année!» chantait la Bolduc qui décrivait si bien, avec cette chanson, I’atmosphére qui régnait autrefois en cette période de festivités et de retrouvailles familiales. - Nos ancétres commencaient a préparer les victuailles du «temps des fétes» plusieurs jours 4 l’avance: gateaux, tourtiéres, beignes, confection du vin... On prévoyait de longues et gargantuesques réjouisssances. L’arbre de Noél, une tradition venue d’ Alsace, n’a commencé a faire partie des célébrations qu’au début du siécle. Puis, le 24 au soir, c’était l’expédition en carriole pour se rendre a la traditionnelle messe de minuit. Les familles, dans leurs plus beaux atours, pénétraient dans Véglise ot la créche occupait une place importante. De retour a la maison, c’était le réveillon en famille. La mére sortait la «belle Dans le temps des fétes! vaisselle» et les nombreux plats se succédaient. Entre Noél et le jour de Lan, c’était la «guignolée», une tradition québécoise qui a débuté au XIXe siécle pour se perpétuer sous d’autres formes encore aujourd’hui. A 1’époque, des hommes passaient de maison en maison pour ramasser des biens et des denrées afin d’en faire don aux familles moins bien nanties. IIs arrivaient en chantant de la Guignolée. Le premier del’ an débutait, pour les familles chrétiennes, par la bénédiction paternelle que réclamait généralement I’ainé au pére. Puis, les enfants recevaient leurs étrennes apportées par _ Enfant Jésus au cours de la nuit. Il s’agissait souvent de fruits et de bonbons qui, graduellement, ont été remplacés par des jouets au cours dela seconde moitié du XIXe siécle. Au XVile siécle, dans le Journal des Jésuites, on rapporte que les célébrations du jour de!’ an commengaient tét le matin par l’échange de voeux et de cadeaux. «Les Ursulines nous envoyérent Jorce belles étrennes avec bougies, chapelets, crucifix, etc. et sur le diner, deux belles piéces de tourtiéres. On nous envoya de M. Le gouverneur quatre chapons, deux outardes et 8 pigeonneaux», tapporte le Journal des Jésuites, en 1649. Outre cette tradition des cadeaux, il y a celle des visites de — maison en maison pour faire les — salutations. Au XVIIle siécle, c’était la mode que les hommes rendent visite aux femmes pour offrir des voeux du nouvel an. «Le tout se terminait souvent en renvoyant chez eux dans un état chancelant des gens tres respectueux», araconté un témoin de l’époque. A Noél, c’est la famille immédiate qui se réunissait et au jour de 1’ an, le cercle s’élargissait aux grands-parents, aux cousins, cousines, aux belles-soeurs, aux — oncles et tantes. Et que la féte commence au tythme des rigodons!