AS l accompagnent dont. six sont des Voyageurs canadiens, Uy francais (Doucette, Landry, Beaulieux, Bisson, Beauchamp et y Contois).. : LaBonté, LaPensée, boise, Landry pour n’en nommer que quelques-uns. we eéexpédition.de Simon Fraser. Il est accompagné y par neuf Voyageurs :.La Malice, Basile; LaLonde, LaGarde, Wannanshich. Ils aident.4 la fondation de Fort St- James et Fort. Fraser. 18 07 Un groupe de Voyageurs, fonde Fort George, aujourd’hui Prince George.>- ccuieace de dix- neuf Voyageurs, parmi lesquelt de des noms ‘francophones comme LaChapelle, ‘Proveau, LaCerte, .D’ Alaire, Garrier, LaGarde. L612 Début de la colonisation par les Voyageurs ! 1840-42 La population de Fort Victoria est de 700 habitants, composée de 25 anglophones et 100 ‘Canadiens frangais spebice sa de leur famille.’ étaient destinées aux amérindiens, aux métis, aux francophones,’ | _ accommoder les enfants anglophones. 1860 Sur une pétiode de trente ans, les religieux et Es religieuses (Soeurs Sainte-Anne de Québec). francophones | établissent des écoles 4 divers endroits de la province (Kelowna, Mission, wien Lake, paces et Sonik). — at Menard, St-Pierre, Jancier, Gagnon, Gervais, Rivard et _ ke g 48-4 9 Au départ, les écoles religieuses:francaises dep g puis 4 la demande des autorités, les écoles doivent | aussi - 1946 7 aor [as 1861 Plusieurs francophones quittent Victoria, attirés par la Ruée. ‘vers l’or, ce qui engendre par la méme occasion une diminution du bassin francophone. L’école frangaise devient une école bilingue. 186 3 ouverture ¢ du- Collége St-Louis-a Victoria par les Peres Oblats. 187 Lcréation du systéme d’école publique en | Colombie- _ Britannique.. 1872 Loi scolaire pour les écoles publignes, 18 81 Face a l’injustice de payer pour des écoles qu’ils n’utilisaient pas, le Pere Durieu revendique la reconnaissance des écoles catholiques en envoyant une pétition a la législature. provinciale. Cela reste sans effet et le statu quo demeure. Des le 19e sidcle V’éducation francaise était une priorité pour les francophones de Colombie- - Britannique. Ceux qui désiraient faire instruire leurs enfants dans les écoles catholiques frangaises—.devaient © financer leurs propres écoles en plus de ‘payer des impéts pour le soutien des - écoles publiques. Malgré cette difficulté, EE Plisten écoles catholiques francaises oe ont vu le j Jour. Se ane La he ‘Canadian Western Lumber Co. Ltd encourage les travailleurs de Montréal 4 déménager vers. l’ouest avec leurs familles. En échange, ils promettent un bon salaire, une - église et une école. Environ.30 familles et quelques célibataires se joignent au groupe. Arrivée massive de francophones qui s’intallent. ’ a Fraser Mills iQuarset Maillardville a Coquitlam) 1 9 1 0 Plusieurs francophones arrivend de PEst Ouverture de la premiére école catholique frangaise de Maillardville, l’école Notre- Dame de Lourdes, qui ouvre ses portes aux enfants francophones de la communauté. Soeur St-Augustin y.a enseigné pendant 43 ans. 1918 Les habitants de Maillardville essaient.d’obtenir la reconnaissance de leur école par le conseil municipal de Coquitiess “= qui refuse. deuxiéme école catholique francaise de Maillardville. Elle regroupe une pecole primaire et un lycée. 1 950 Une délégation de Maillardville se rend a Victoria et ‘demande au gouvernement que le transport pour les éléves, les manuels scolaires et les services médicaux soient gratuits, ainsi qu’une exemption d’impét foncier. Résultat, le gouvernement n “accepte de payer que les manuels scolaires. — 1 951 Pour obliger le gouvernement provincial a céder a leurs demandes, les deux écoles catholiques frangaises de: Maillardville — décident de faire la gréve : 840 éléves, soit 24 classes sont mis aux soins des écoles publiques. L’école Notre-Dame dé Fatima est fondée. C’est la = am