uite a la non-nomi- nation d’un ou d’une francophone au comité de l’unité nationale de la Colombie-Britannique et au refus du Premier ministre de cette province d’accuser récep- tion des -réflexions de sa communauté de langue offi- cielle dans ce dossier, la FEC.B. a invité les franco- phones a s’inscrire dans ce débat en participant 4 la consultation qui s’est tenue en Colombie- Briinique au cours des mois de novembre et de décembre 1997. En plus de participer aux rencontres publiques, les britanno-colombiens étaient in- CRU ANASULLALIULND PAU EXCLALELS OUR L’UNITE NATIONALE vités 4 téléphoner et a écrire au comité de l’unité nationale afin de partager observations et commentaires sur le texte de la Déclaration de Calgary. Au total, neuf rencontres publiques ont eu lieu dans chaque région de la province : Prince George, Kamloops, Kelowna,Nanaimo, Cranbrook,Chiliwack, Victoria et Vancouver. Bon nombre de francophones, dont la présidente ce la FEC.B., se sont présentés 4 chacune de ces rencontres et ont clairement signalé que le texte de la Déclaration de Calgary ne répond nullement aux aspirations de la commu- * Calendrier ales grandes" - réunions de la F. F.C.B. LES 16, 17 ET 18 JANVIER 1998 CONSEIL D’ ADMINISTRATION TSS 27 Bak DS me ce IQ x 1 oa CONSEIL D’ ADMINISTRATION LES 17, 18 ET 19 avrm 1998 CONSEIL D’ ADMINISTRATION LE 5 guin 1953 CONSEIL D’ADMINISTRATION LESS, 6 ET 7 JUIN 1998 53*® ASSEMBLEE GENERALE ANNUELLE LE 7 suis 1988 CONSEIL D’ADMINISTRATION nauté francophone = colombienne. Bien que positive cette initiative, qu’est a Déclaration de Calgary, se doit ! d’apporter une attention parti- culiére aux aspirations de la Colombie-Britannique en tenant compte de sa croissance démo- | graphique et de ses véalités| sectorielles (péche, arrivée ' massive d’immigrants, etc.). De | plus, bien qu’il soit de premiére - importance de reconnaitre les | peuples autochtones et le carac- tére multiculturel du Canada, la FEC.B. juge inconcevable que } le texte de cette déclaration ne fasse aucunement mention de la présence de communautés fran- cophones et acadienne dyna- miques et de deux communautés de langue officielle dans toutes les provinces et dans tous les territoires. Enfin, il appert Judicieux de faire mention de Ia | responsabilité du gouvernement | fédéral dans la protection des acquis des communautés de langue officielle lors du transfert de responsabilités aux provinces. En plus de participer aux démarches mentionnées ci-haut, | la Fédération des francophones de la Colombie-Britannique a adressé un mémoire 4 ce comité provincial de {’unité nationale. | ; Ce processus de consultation | prendra fin le 31 décembre 1997 et le comité devra sournettre son | rapport au Premier ministre | avant le 15 février 1997. 2