“oN y “Vicionas 3 et 8 Chilliwack: 14 Keio: 21 iGxnlobes: 50 Ty Sees 4 Terrace: 11 Programme de la télévision frangaise de Radio-Canada VOL.6 No.14 — VENDREDI ler OCTOBRE 1982 La saison réguliére de la Ligne na- tionale de baseball se concluera au cours du week-end du 2 octobre. Les Expos seront alors au stade ‘Three Rivers de-Pittsburgh pour y affronter les Pirates. Le Baseball des Expos met a I'affiche la partie du: samedi 2 octobre a 1§ heures. Comme par les années passées, il est possible que les matchs du ven- dredi 1er octobre et du dimanche 3 ctobre soient télédiffusés si les Expos sont encore dans la course au. Championnat. _Statisticien: Pierre Murphy; réalisateurs: Michel Qui- doz et Jacques Primeau: réalisateur-coordonnateur: Gaston. Dagenais. Baseball: fin de la saison réguliere_ Nos commentateurs vous donneront plus de détails en temps opportun. Les matchs du Ba-’ seball des Expos sont décrits par Raymond Lebrun en compagnie de Jean-Pierre Roy. Soccer pee-wee Dans fe cadre de la coupe Di Ca- prio, les Héros du samedi presen- tent, le 2 octobre 4 19 heures, une partie de soccer pee-wee. Commentateur: Jean Pagé; ana- lyste: Francis Millien. Réalisateur: Jacques Bérubé; reéalisateur- coordonnateur: J. Henn Parizeau. baseball, soccer, semaine du 2 A Second regard, le dimanche 26 septembre a 17 heures, on propo- Sait Ja troisieme emission sur /’Af- faire Jésus avec Henri Guillemin. Dans cet entretien intitulé Ce que nous savons, \'auteur, aprés avoir parlé des faits mal attestés sur Jésus, comme sa naissance a Na- zareth qu le massacre des Innocents par Hérode qui n’était pas possible, il conteste le fait que Marie ait été vierge a la naissance du Christ. Apres avoir apporté son avis étayé par des écrits de saint Paul, Henn Guillemin affirme que Jésus eut bel et bien des fréres et des soeurs qui, d‘ailleurs, ne croyaient pas en lui. plutot une année mais non pas trois comme on laffirme et Jean le Bap- tiste n’aurait pas été si sir qu’on le dit que Jésus fut vraiment ie Messie attendu. La-mission du Christ aurait duré’ L’ Affaire Jésus: les obstacles Aprés avoir parlé du caractére de ’ Jésus, dont le Concile de Chalcé- doine a affirmé et confirmé-la di- mension réeilement humaine, Henri Guillemin explique que, selon lui, le Chirst s’est voulu chaste afin de mieux employer toute sa puissance au service de Dieu. Second regard dimanche 3, 17h00 L'auteur de/l‘Affaire Jésus signale que le Christ n‘était en rien un Essé- nien et qu'il n’était pas un résistant nationaliste. mais bien plut6t un anti-totalitaire ferme et absolu. Henn Guillemin terminait cette troi- siéme émission en rappelant et en commentant queiques-uns des faits ~ primordiaux du procés et du cruci- fiement de Jésus sur le Golgotha qui, en fait, était le depotoir de Jéru- salem. ‘Leontyne Price et ’OSM”’ A lémission les Beaux Diman- ches, télévisée le 3 octobre a 21h50 a la chaine frangaise de Radio- Canada, l'animateur Henri Bergeron aura le plaisir de nous présenter une partie du concert de aala du célébre soprano américain Leontyne Price et FOrchestre symphonique de Montréal sous la direction de son chef attitré Charles Dutoit, enregis- tré a la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des arts de Montréal le 30 mars dernier. Leontyne Price et ‘OSM le 3 octobre, 21h50 L'émission commencera par deux airs chantés par madame Leontyne > Price: Ernani, Ernani, involami, de l‘opéra Ernani de Giuseppe Verdi et Un bel di, vedremo, de Madama Butterfly de Giacomo Puccini, deux airs fameux que madame Price in- terpréte avec un éclat et un EUS indicibles. Une entrevue d‘Henri Bergeron avec madame Leontyne Price compléte cette emission réali- sée par Evelyne Robidas. Son interprétation lui a valu une ova- tion de 42 minutes, ce qui ne s’était jamais vu au Met. Time Magazine (1981) I'a acclamée comme €tant la «diva di tutte le dive», suite a sa performance au 100e anniversaire de |’'Orchestre symphonique de Boston, alors qu'elle a chanté «avec une chaleur et une fraicheur res- plendissantes» des airs de Verdi, Ri- chard Strauss et Puccini. Décrite comme possédant «le Stradivarius des voix», Leontyne Price a fait preuve d'une étonnante musicalité dans des opéras comme Aida, Don Giovanni, Tosca, Il Trovatore, Ma- dama Butterfly, Girl of Golden West, Turandot, Ernani, La Forza Del-Des- tino, Un ballo in Maschera, Manon Lescaut, Louise et Ariadne auf Naxos.» On connait Lise Payette ou du moins on croit la connaitre. On sait qu'elle n‘a pas la langue dans sa poche, qu’elle est franche et directe et qu'elle peut fermement mais doucement remettre quelqu’un a sa place. On sait aussi, évidemment, qu'elle a été. longtemps une des ve- sion nationale, ministre au gouver- nement du Québec ensuite, auteur d'un livre intitulé le Pouvoir, connais pas et enfin aujourd'hui, auteur d‘un téléroman qui s‘appelle la Bonne aventure. ‘Ce qu’on sait sans doute moins, et c'est dommage pour son image de femme et d’auteur, c'est qu'elle est d’‘une ponctualité exemplaire. Sait-on assez également qu'elle est charmante, qu'elle n’éléve pas la voix sans raison, qu'elle repond aux questions calmement, posément comme si elle conversait avec un vieil ami. Chose certaine, Lise Payette a appris a se maitriser, ase prendre en mains. Lors de notre rendez-vous, elle avouait avoir le trac: c’était le jour de la «premiére» de la Bonne aventure... Pourtant, elle paraissait parfaitement calme, sire d’elle dettes les plus écoutées de la télévi- - Auteur de la Bonne aventure Une femme directe, franche et ponctuelle. Son réve: rejoindre le plus vaste public possible. comme si tout était fini déja. A propos du titre de son téléro- man elle déciare: «J'ai appelé mon histoire la Bonne aventure parce que dans la vie de la plupart des femmes, la benne aventure se vit dans la vingtaine. Quand elles pren- nent la trentaine, déja elles se de- mandent si l'aventure est si bonne qu’elles l'avaient cru; alors elles se reprennent en mains et souvent changent d'orientation.» L’idée-force, I'idée maitresse du texte de Mme Payette: «prouver _ aux gens qué lamitié entre femmes est possible. Je tends un miroir aux femmes et je leur dis: regardez- vous; Comparez-vous. Les femmes que je mets en scéne sont de votre époque; des Montréalaises de 1982, des femmes actuelles, et méme si mes quatre heroines sont extrémement différentes les unes des autres, vous pouvez certaine- ment vous identifier a l'une d’entre elles.» * Quant au réle et a la place que prennent les hommes dans Ia vie de ces femmes Lise Payette précise que pour deux d’entre elles, céliba- taires, la présence de l'homme ne se pose pas en termes de problémes: que pour la plus jeune, mariée a un gargon qu'elle aime, tout va fort bien. Reste la quatrieme: épouse d‘un photographe appelé a voyager souvent. Voila le hic: le probleme de = Ps ~ é la femme, la plupart du temps seule pour élever les enfants, voir a la mai- son et assumer toutes les respon- sabilités. C'est un cas qui se pré- sente frequemment surtout chez les professionnels qui ont réussi et qui sont forcément moins disponibles a la maison, a leur épouse, a leurs en- fants. C'est de Michéle Dalpé- Martin qu'il s‘agit. Elle a 6pousé son grand amour d’adolescence, devenu depuis photographe de mode trés couru. Jacques passe le plus clair de son.temps a New York, Toronto ou Paris. Toujou's absent, it ne se sou- cie guére de sa femme et de son fils sur lequel Michéle a Feu toute son affection. Anne, de son cété, a épousé Be- noit Leroux, bachelier en éducation physique. Ils sont mafiés depuis six. ans et apparemment heureux, du moins pour le moment. Héléne pour sa part travaille dans un bureau d'avocats. Elle est disciplinée et - analyse non sans humour le monde masculin ow elle vit; elle se dit sou- vent a elle-méme: «Héléne, il faut que tu fasses un homme de toi». Martine enfin a longtemps séjourné en Europe, en France et en Belgique notamment, d’ou elle écrivait sou- vent a ses trois amies. A son retour définitif au pays c'est elle qui ci- mente l’amitié entre les quatre femmes. Elle croit 4 l'amitié entre femmes et c’est elle qui sera I’arti- sane des liens qui uniront les quatre amies. : Madame Payette nous dit que son intrigue sera un véritable téléroman au sens classique du terme. Elle entend par la que l’intrigue se ‘nouera dés les premiers épisodes et qu'il faudra suivre ses personnages de semaine en semaine pour savoir ce qui leur arrive. Elle précise méme: «Les quatre femmes feront toujours-partie de la distribution, a chacune des emissions. Parce que je n’ai pas voulu me disperser; me concentrer sur une pendant deux ou trois semaines au détriment des trois autres. Elles sont également importantes et elles doivent appa- “ raitre ensemble a chacun des €piso- des de la série. D’ailleurs tout ce qui arrive a l'une concerne les trois au- tres, tellement elles sont étroite- ment unies.» Il était une fois...l’espace il était une fois... espace Une grande partie de notre public se rappelle sans doute de la magni- fique série // était une fois... ‘homme qui retragait l'histoire de Ihumanité en dessins animeés. Eh bien; chaque mercredi, vous pour- rez suivre il était une fois... l’es- Pace, une série congue et réalisée par Albert Barillé qui saura intégrer information et divertissement d'une maniére tout aussi engageante. Adieu monsieur le professeur? Repéres ‘ le vendredi 8, 21h30 Le vendredi 8 octobre 4 21h30, sur les ondes de Radio-Canada, Re- peres, entre autres sujets, s’inté- ressera a un probléme qui prend de plus en plus d‘importance dans le monde de |'éducation: le déplace- ment ou la mise en disponibilité de nombreux professeurs Suite au Sur- plus d’enseignants et aux Coupures budgétaires. On verra comment les professeurs impliqués vivent cette Situation et aussi Comment certains projets spéciaux sont abandonnes parce que Ceux qui s’en occupent sont déplacés au profit de collegues possédant plus d’anciennete. Un reportage d’lsabelle Albert réalisé par Suzanne Mercure. bh un GREE STO