Par H. Adrien Jaland Le mardi 23 avril nous avons eu notre déjeuner-conférence bi- mestriel. Monsieur George Garai, Directeur des comptes pour la Société pour l’Expansion de l’Ex- portation, nous a entretenu du réle de la Société dans l’aide aux échanges commerciaux entre le Canadaet ses partenaires. Il nous a fait part de la gestion des risques et des programmes du gouvernement fédéral pour aider les exportateurs canadiens. Le mercredi 1° mai nous aurons notre assemblée générale. Nous invitons cordialement tous nos membres et non-membres 4 assis- ter a cette réunion. Nous vous présenterons les nouveaux membres du conseil d’administra- tion et vous soumettrons la nou- velle orientation de la Chambre de commerce franco-colombienne. Comme nous |’avions annoncé précédemment, désormais le bul- letin Nos Affaires sera publiée une fois tous les deux mois dans Le Soleil de Colombie (dans une sec- tion distincte). Cette collaboration nous donnera accés a4 un public élargi (3 600 exemplaires) pour notre revue. Cette association 4 long terme dépend évidemment de notre capacité financiére et donc de l’appui de nos membres. BULLETIN DE LA CHAMBRE DE COMMERCE FRANCO-COLOMBIENNE Par André Gour Au cours des derniéres années, nous avons maintes fois entendu nos mentors fédéraux et provin- ciaux utiliser de nouveaux termes dans leurs discours économiques. Au moins quatre mots-clés ressur- -gissent de fagon réguliére: diversi- fication, globalisation, privatisa- tion et régionalisation. Ces termes apparaissent dans différents contextes. Parfois la ter- minologie est utilisée pour justi- fier notre manque de dynamisme économique. Dans d’autres cas, pour définir les occasions de crois- sance économique et sociale qui s’offrent 4 nous. Sur la scéne nationale et interna- tionale, la Colombie-Britannique est reconnue principalement pour deux choses: son environnement «supernaturel», et son économie de «pate et papier». Bien qu’au cours des derniéres années, la Colombie-Britannique ai su se distinguer dans des domaines non- traditionnels tels que le secteur de la haute technologie et celui de la transformation industrielle des matiéres premiéres, notre province souffre toujours d’un probléme d’image! suite page 3 Par James B. Musgrove VOL 8 N°6 La Loi canadienne sur la concur- rence a été substantiellement remaniée en 1986 4 la fois pour décriminaliser certaines pratiques, telle lamonopolisation, que le droit criminel ne pouvait efficacement limiter, et pour tenter de rendre la Loi conforme a la Charte des droits et libertés. L’an dernier, divers aspects du droit de la concurrence ont été contestés, ce qui a donné lieu a beaucoup d’incertitude. suite page 7 Message du. président _ Diversification | économique _ illusion ou réalité — Les incertitudes de la Loi surlaconcurrence L'équipe Concours Evénements 4G venir