Association Francophone de Nanaimo Attention a toute personne intéressée a l’improvisation! Vous étes invités 4 la premiére rencontre d’improvisation a association, le vendredi 23 février 4 19 h 30. Le but de cette soirée est de rassembler les intéressés afin de mettre sur pied des matchs d’improvisation. Et si vous désirez planifier vos activités .... réservez, votre billet pour la Cabane a Sucre de I’association, le 7 avril prochain, au parc Bowen. Pour plus de détails, communiquez avec Joél Prévost au 754-5732. Le Centre culturel francais de l'Okanagan Le Centre nous présente un apercu de sa programmation des prochaines semaines: «Souper de la St-Valentin»: 17 février 1990; «Salon du livre»: 21 et 22 février 1990; «Cabane a sucre»: 10 mars 1990; Présentation de la piéce: «Comment devenir parfait en 3 jours» du théatre des Confettis: 31 mars 1990; Assemblée générale annuelle: 15 mai 1990. S’ajoutent a cette programmation, les activités réguiliéres: le vendredi A 16 heures: rencontre, musique et chansons entre amis, au Club Rendez-vous; le vendredi 4 22 heures: la Ligue d‘improvisation; le mercredi 4 19 h 30: parties de cartes. L’Association des Parents du Programme Cadre de Francais Ecoles/Centres communautaires en Colombie-Britannique L’A.P.P.CF., organisme intervenant du milieu éducatif, fut mandatée par ses membres lors de sa derniére Assemblée générale annuelle de juin 1989, de se pencher sur l’établissement et le développement d’un lien étroit entre l’école et la communauté. Dans plusieurs régions de la province, les gens se sont regroupés et ont mis sur pied des centres communautaires. Dans certains en- droits, on vise la mise sur pied d’écoles pouvant répon- dre aux besoins de la communauté francophone. Souvent, les mémes personnes ceuvrent au sein des deux instances. Le ministére de I’Education voit d’un bon ceil cet intérét grandissant du concept «éducation communau- taire», surtout qu’il répond bien aux recommandations de la Commission Royal Sullivan en éducation pour I’an 2000. Il y a d’ailleurs tout un réseau bien établi de «community schools» anglophones réparti a travers la Colombie-Britannique. Ce systéme, adapté d’un concept américain, suggere deux directeurs: un scolaire et un communautaire. Le directeur scolaire s’occupe évidemment de I’administra- Trait d’‘union page 4 tion de son école, de ses enseignants, de son curriculum et de ses étudiants. Le coordonnateur communautaire opére différemment: mandaté par les parents de l’école, il contréle ses propres budgets et gére le cété para- scolaire et socio-culturel de I’école. Les parents, guidés par son expertise, décident des cours et loisirs offerts a la communauté et visent l’autofinancement éventuelle du volet communautaire de I’école. La flexibilité exercée lors de la planification et la mise en place de notre premiére école communautaire de la Colombie- Britannique, nous porte a croire que chaque région intéressée d’établir un tel centre scolaire, pourrait facilement tailler un tel projet pour répondre adéqua- tement a leurs besoins spécifiques. Il ne s‘agit pas en effet de détruire des établissements communautaires et/ou préscolaires qui fonctionnent bien mais plutot de les incorporer, de les regrouper dans un concept unifica- teur qui réduirait l’assimilation et permettrait un rayon- nement sur toute la communauté de la région. UAP.P.CF. a soumis récemment au ministére de Education de la Colombie-Britannique, un projet d’étude des besoins et des attentes des francophones dans sept communautés sur le concept d’école/centre commu- nautaire. Le projet fut recu avec enthousiasme: on nous promet un montant de 20 000 $ de démarrage et leur appui intégral pour le financement total du projet. Deux phases distinctes seront intégrées au projet soit: 1. Sensibilisation et information. 2. Sondage auprés de la population cible: a) parents du P.C.D-F. b) membres d’associations. La premiére étape consistera en une série de rencontres organisées a I‘aide de spécialistes traitant de l’importance de I’école en langue frangaise et du réle de la commu- nauté dans le maintien de la langue et de la culture francaise. On sensibilisera également les individus au sondage a venir. Dans une deuxiéme perspective, un questionnaire sera élaboré portant sur les besoins des parents et résidents francophones des communautés ciblées en rapport a \école et aux activités de la communauté. Ce question- naire sera distribué, recueilli et analysé pour présenta- tion. Enfin, les résultats de ce sondage seront présentés sous forme de rapport qui comprendra des recommandations claires, précises et avec options, sur la mise en ceuvre du projet. Par la suite, I’A.P.P.C.F. jouera un rdle de facilitateur pour l’obtention des fonds nécessaires pour chacune des régions concernées. Les communautés devront se prendre en main afin de contréler leurs propres destinées pour le développement scolaire et communautaire. L’étude permettra 4 I’A.P.P.C-F. et aux instances locales de préciser une politique pour l’ensemble de la province