Seaistnleiaghrtlasd sc ouceemnapcimeennaabicetedeianmremsaeccm . Patri L‘A.P.P.C.F. La deuxiéme réunion pro- vinciale de l'association des parents du programme cadre de francais a eu lieu les 7 et 8 mai derniers sur le campus de U.B.C. a Vancouver. Dans son rapport, la prési- dente, Mile Anne-Marie-Ange Wauthy, a félicité tous les délégués pour leur ardeur au travail 4 promouvoir le pro- gramme cadre de francais: “Le succés, en effet appartient a ceux qui sont a |’avant- garde”. Mile Wauthy a remer- cié également tous les mem- bres de l’exécutif pour leur dévouement et pour leur excel- lent travail pendant l'année 81-82. Cing nouvelles régions étaient représentées: Mission, Prince Rupert, Vanderhoof, Coquitlam, et Sooke. Nous avons lieu de croire que le _P.C.D.F, sera partie intégran- te des régions de Mission et de Vanderhoof; peut-étre dans celles de Prince Rupert et de Sooke. Mimi Bohémier malgré tous ses efforts a Maillard- ville, ne réussit pas a réunir assez de parents francophones. La plupart ont leurs enfants inscrits a l’école privée, Notre- Dame de Fatima. Par contre, M. Jack Ethier a vu ses efforts bien récompensés 4 Mission; quatre-vingt-huit (88) éléves ‘ont été recrutés et inscrits 4 8 niveaux. M. Ethier nous a déclaré: “Au début nous avons adopté une politique de frappe sans répit. Plus avertis main- tenant, nous cherchons:a éta- blir de meilleures; relations, une meilleure coopération avec le Conseil scolaire.” _En derniére heure, on ap- prend qu’un groupe de parents de Burnaby demande le pro- gramme pour septembre. Malheureusement, ]’intran- sigeance des conseils scolaires vis-a-vis des parents du pro- gramme cadre n’est pas un phénomeéne isolé. En outre, trois conseils: scolaires orien- Mairie de la 16e [Suite dela p.1] dais de naissance, puisque je suis né le jour de la St- . Comme §antécé- dents, il a déja fait de la politique lors de la période troublée en Algérie, et a travaillé dans les coulisses pour élire le maire d’Alger. Actuollerpend il travaille a V’hépital de Shaugnessy “j’a- chéte tout ce qui est a vendre”. Sa premiére promesse: “en tant que maire diici, je pousserai mes concitoyens a développer et embellir le “French Quarter” entre Cambie et Oak avec possibili- ' té de I’étendre jusqu’a l’ave- nue Main et Granville; que la 16éme devienne les Champs Elysées ou la Ste-Catherine de Vancouver: c’est-a-dire développement et embellis- sement des maisons autour de St-Sacrement, remplacer les deux épiceries chinoises par des centres d’achat.” de dire M. Chenoll. Celui-ci a de grands*projets en téte, en voici encore quelques exem- ples: - “A la place du centre de dépét des autobus, au coin de la 16me:et Cambie, je vois un hétel Méridien avec un centre d’achat, genre “com- plexe Desjardins”: en un mot donner & ce quartier de la 16éme un développement économique et en faire un quartier luxueux. “Naturellement, je ferai en sorte qu'il y ait une loi pour interdire toute barricade, dans le quartier St-Sacre- ment. Qu’on se rappelle — d’enchainer M. Chenoll — la ee —————E—eE—EeEeEee ee » een Plusieurs propositions tent vers l'immersion les pa- rents d'enfants qui désiraient les inscrire au programme cadre 1a ow il existe déja. D’autres rendent le transport si difficile qu’il devient impossi- ble pour certains enfants de venir au programme. Malgré tous les revers on estime une augmentation des inscriptions au niveau provincial de 30%. Pour résoudre leurs proble- mes et s’entraider, les délégués ont élaboré dintéressantes propositions. En voici quel- ques-unes: 1) Que l’APPCF recherche avec le ministére la meilleure méthode pour inciter les com- missions scolaires voisines a s'unir pour implanter le Pro- gramme Cadre aux niveaux élémentaire et secondaire (dans un seul district, le plus central (. 2) Que l’APPCF collabore avec le ministére de 1’Educa- tion a la conception et a la réalisation d’un document au- dio-visuel servant a la promo- tion du PCDF au _ niveau provincial et en faisant bien la différence entre les program- mes cadre et immersion. 2:1) Que ce document soit donné a l’APPCF en plusieurs exemplaires afin que 1’Asso- ciation puisse le distribuer aux comités de parents qui en font la demande. 3) Que l'APPCF organise. un concours de francais pour les enfants du niveau inter- meédiaire en collaboration avec la Fondation du Soleil de Colombie qui.est préte a offrir des prix d'une valeur de $200.00 aux gagnants et aux gagnantes. 4) Que chaque comité local de parents étudie la possibilité d’avoir des camps de jour pour les enfants du PCDF sur une base hebdomadaire ou saison- niére. Il est ainsi proposé que chaque comité fasse rapport de cette étude a la prochaine réunion provinciale. — Commune 1848 et les barrica- des d’Alger en 1960. Toutes ses barricades ont amené la destruction et la dissension entre gens de _ bonnes moeurs. Donec occupons-nous d'autres choses et laissons les moeurs ov elles sont.” souligne M. Chenoll. Pour éclaircir plus d’un— Lors de la derniére assem- blée de la FFC, plusieurs personnes de l'Ontario et d’ailleurs (preuve que le. Soleil passe les Rocheuses — m’ont demandé des explica- tions sur cette campagne. Ce nouveau maire de la 16éeme devra faire en sorte que -jamais le quartier St-Sacre- ment. ne connaisse. les problémes que Vancouver connait actuellement: -la prostitution et les barricades qui détournent le trafic dans plusieurs quartiers. M. René Chenoll a une grande réforme: apprendre a tous les francophones de Vancouver a s’unir et il veut donner a cette francophonie vancouvéroise une solidité et une fierté . Et comme dans toute élection, le troisiéme candidat offrira une tournée. Peut-étre veut eROYERS les indécis?- —+' “; A MEDITER Si vous étes un conducteur paresseux que la ceinture de sécurité embéte, ima- ginez-vous, un seul instant, attaché dans un fauteuil roulant. EK Tout le monde veut un ami, mais per- sonne ne s’en occupe den étre un. Baronne de Krudener 5) Que l'on identifie les régions qui ont besoin d’assis- tance particuliére afin que lexécutif envoie quelqu’un le plus tét possible pour les aider. 6) Que I’on trouve une meilleure formulation pour désigner le programme-cadre (ex: école francaise, program- me francais) auprés de la population. Aprés avoir rencontré les délégués présents a la réunion, M. Geoff Mills explique ses vues sur l’implantation du Pro- gramme Cadre de Frangais au niveau secondaire. Le docteur Mills, successeur au docteur Nick Ardanaz aux Services des langues modernes souligne la multitude de pro- grammes dont il est responsa- ble et la largesse de son “mandat. Quoique nouveau a son poste, M. Mills a oeuvré depuis plusieurs années au développement de l'éducation francaise en Colombie britan- nique, notamment au conseil scolaire de Victoria. Le ministére de ]’Education évalue a 650 le nombre d’étu- diants présentement inscrits au P.C.D.F.- Aux dires du docteur Mills, le nombre d’éle- ves est fort important pour la rentabilité “pédagogique” du programme. Concernant la politique d’implantation du PCDF au secondaire, M. Mills nous informe que le document est encore en discussion. Cepen- dant, il semble que, jusqu’a présent, la politique du secon- daire demeure trés similaire au document 146 (PCDF, mater- nelle a la 7iéine année). Nous sommes informés que le programme d’étude est déja en place et que tout le maté- riel est identifié. Donc les guides pédagogiques sont préts et un certain nombre de pro- fesseurs serait sous réserve. M. Mills mentionne qu'une note de service, qu'il rédigera, sera envoyée au député et au ministre pour accélérer le pro- cessus. Mme Suzanne Horie (Van- couver) mentionne qu'il est difficile de baser nos prévi- sions d'implantation sur le nombre d’étudiants présente- ment inscrits en 6iéme et 7iéme année, puisque plu- sieurs parents, face a l’impos- sibilité de poursuivre ]’éduca- _ tion en francais au niveau secondaire, retirent leurs en- fants du PCDF a ces niveaux. M. Mills espére avoir l’ap- probation finale des politiques au mois de mai et mentionne que cet échéancier donnera suffisamment de temps pour implanter des classes 8-12 d'ici septembre prochain. Période de questions. Mme Pauline Bélanger (Campbell River) mentionne son probléme de négociations avec son conseil scolaire pour Yobtention d'une deuxiéme classe. M. Mills affirme que le nombre de 25 étudiants (do- cument 146) est certes, négo- ciable, dépendant de la situa- tion pédagogique actuelle dans la salle de, classe. Se réfé- rant ici au nombre de niveaux dans la méme classe. Plusieurs délégués_ souli- gnent le probléme du trans- port. des é€coliers, mention- nant que dans certaines ré- gions ce probléme suscite une baisse des inscriptions. I] est aussi mentionné que pour ces raisons le PCDF n'est pas aussi accessible que le programme anglais. M. Mills suggére les solu- tions suivantes: 1) Intégrer le transport -PCDF avec celui du program- me anglais. ~. 2). Rembourser les parents des frais encourus pour le transport des étudiants (im- possible quand les n’ont pas de voiture). 3) Un conseil scolaire qui n’a pas le PCDF peut défrayer Je transport des écoliers pour rendre disponible le program- me dans un conseil scolaire avoisinant (pas de succés au- jourd’hui). M. Jean-Pierre Leblanc (Vancouver) incite le ministre de l’Education a fournir aux conseils scolaires la documen- tation promotionnelle néces- saire afin de garantir la per- manence de __|'information dans les diverses régions de la province. M. Mills informe I’Assem- blée de la disponibilité des Services des langues modernes a se rendre dans les régions pour informer les parents de la _ présence du PCDF en C.B. Concernant la définition du _ terme “francophone”,M. Mills souligne l’importance d’éviter les. zones grises et d’étre constant dans l’interprétation du terme. Il considére que Taccés au PCDF devrait étre axé sur la compétence des - étudiants. Felcrc row e . e @ & @ ® Oui une carriére dans la GRC m ‘intéresse e @ e @ e e e ING MS oes oe sy age hee ae RE ssee nce nt aes Sees MEEES: CODE POSTAL: e. --No. 79° f Coeoceaeeceeeceeoeeseeooeoeeeeeeeees Les Le Commissaire - PROVINCE:. . N° DETEL:.. (Prévoir un délai d'acceptation de quelques mois) ’ Gendarmerie royale du Canada Ottawa (Ontario) K1A 0R2 A tattention de l'officier recruteur ibilités d'emploi isont oomerarans dans sia GRC. Vous tes peut-étre le candidat idéal pour un poste auquel vous n’avez jamais songé: enquéter sur des délits commerciaux, prévenir la_ contrebande organisée...voila seulement quelques exemples. Si vous \\ _» Tépondez aux conditions ci-dessous et si un salaire de départ de $23:128 vous intéresse, vous pourriez vous tailler un avenir de choix au-sein de la GRC. Vous devez, a cette fin: : — —€tre citoyen canadien et agé d’au moins 18 ans —avoir terminé vos études secondaires ou l’équivalent —posséder un permis de conduire valide —avoir une conduite exemplaire et tre en bonne santé — posséder une acuité visuelle minimum de 6/12-6/30, corrigible a 6/6-6/9 — posséder une connaissance pratique du francais ou de |'anglais —étre prét a travailler partout au pays La connaissance de la deuxiéme langue officielle constituera par ailleurs un atout précieux sur le plan des perspectives d’embauche et des possibilités de carriére. Une fois accepté, vous recevrez une formation intensive dans tous les aspects du. travail policier: # droit, enquétes, premiers soins et relations communautaires, par exemple. C'est une possibilité d'avenir 4 ne pas manquer. Si une carriére au sein de la GRC vous intéresse, remplissez le coupon I-dessous et postez-le ou téléphonez au bureau de la GRC le plus prés de chez vous. Cette offre d'emploi s'adresse également aux hommes et aux femmes. C'EST PEUT-ETRE © CE QUE VOUS RECHERCHIEZ! Canada Sooo | aie bento Senger’ wrong is @ - Le Soleil de Colombie, vendredi 28 mai 1982 7 | | |