VOL. 9 NO. 49 i Le Soleil de Colombie portera _»_. désormais le sous-titre suivant: = “Le mini-quotidien de langue francaise de la Colombie-Britan- nique”. L’introduction d’un tel sous-titre, 4 la suite de linitia- tive de “Iie Vovageur”. journal dévoué aux intéréts des Franco- Ontariens, a été décidé pour des raisons de rentabilité publici- - tainea oaee Soleil de Colombie est ~ membre de |’Association de la Presse FOE hors Québec AA PEHG LH}. eme... Maecemnbite e Orie ae debut du mois de mars.On sait que ‘ ~~ “PAPFHQ a adopté sa constitu- tion lors de sa premiére assem- ‘blée annuelle qui a eu lieu en ~~ novembre dernier. L’un des se principaux buts actuels de l’asso- a ciation est la promotion de la » publicité du Gouvernement fédé- ral, ministeres et agences dans ca la presse francophone hors Qué- bec. Le principe de l'association - pour une telle promotion repose’ sur la Tioi sur les langues officielles. I1e moven pour, une - telle promotion. d’autre part, est le passage des hebdos de langue _ minoritaire de la liste des hebdos a celle des quotidiens, au strict niveau des statuts. tout en demeurant en fait des hebdoma- daires. Ie Soleil de Colombie prend done le sous-titre de “mini-quotidien” tout en conti- nuant a paraftre chaque vendredi. ‘Qu’est-ce qu'un mini quotidien? Ce qu’on convient d’appeler “mini-quotidien” sont des hebdo- _Madaires couvrant. des territoi- res ot les quotidiens franco- phones n’ont pas de lecteurs ou ‘en trés petit nombre. Ces hebdos jouent done un ‘rdle de quoti- _diens” dans leur milieu... Une priorité: Vinflation - Le but principal des mini-quo- - tidiens est de rejoindre les francophones hors Québec et de les informer dans leur langue. _ maternelle au niveau local, ré- gional et national. Les franco- phones en milieu ot ils sont ’=minoritaires ont en effet le droit de recevoir toutes les informa-: tions gouvernementales dans i Pour une Caisse Populaire BS dans le West End... Sea Est- i possible que soit établie 7a le West End de Vancouver ES ae ee _breux lecteurs: nous deman- _dant pourquoi il n'y avait pas une Caisse Populaire dans le West End, nous avons pris dans Le Soleil, sollicitant les . intéressés a nous faire parvenir leurs noms, adresses et numéros de téléphone. Vinitiative de publier un coupon une Caisse Populaire? De nom- | En plus, des dizaines de ~ coupons gui nous sont paryenus, un de nos lecteurs a pris l’initia- ~ 2 ‘tive de lancer une pétition. ae _ Compte tenu quune soixantaine : _ de résidents francophones. ont témoigné de leur intérét a cette proposition, nous avons cru que l'action, se réunir et discuter ce projet d’établissement de Caisse Populaire. A cette fin, nous avons établi ces deux premiers - contacts: * Compte tenu qu'il existe deux Caisses Populaires dans la ré- ‘gion de Vancouver. nous leur avons envoyé une lettre les -réunion d’information. Nous _avons cru au ‘il n’y avait person- ~ pientét, il nous faudrait passer a invitant a ‘participer a ‘une - ne de mieux avisé sur les mouvements coopératifs et sur les services d’une Caisse Popu- laire que des personnes déja impliquées dans ce mouvement. * Puisgue cette rencontre se voudra une séance d'information: » et considérant que les deux Caisses sont membres de la -Fédération des Franco-Colom- biens, nous avons sollicité cet- organisme a nous fournir un ~ animateur pour Ja réunion. Avant que ne soit fixée la date et le lieu de Ja réunion, nous comptons recevoir une réponse des deux Caisses Populaires et. de la F.F.C. Les personnes nous ayant envoyé leur coupon ou ayant signé la pétition recevront | une invitation par écrit a la réunion. Cette rencontre se vou- dra trés informative et permet- _- tra aux gens intéressés de mieux — étre conscients des possibilités et des services qu offrirait l’éta- blissement d’une Caisse Populai- re dans: le West End de vane ‘couver. Entre temps, nous demandons aux personnes n’avant pas enco- re rempli leur coupon de le faire au plus tot. ; a LE MINI- QUOTIDIEN DE: LANGUE FRANCAISE DE LA COLOVED ARTANNIQUE leur langue maternelle. Parce que les hebdos franco- phones hors Québec sont les porte-parole des minorités, par- ce quiils ont done en fait un réle de quotidien et de par la loi sur — les langues officielles qui doit étre appliauée, en premier lieu par le Gouvernement fédéral, VAPFHQ espére que tous'les ministéres et toutes les agences pourront anporter leur collabo- ration. En ce sens, M. Keith Spicer -Voicile budget d’un gouver- nement terrifié: Serrez-vous la ceinture, exhorte Donald:Macdo- nald; Le budget’ vise l'inflation avant d’attaquer le chOmage. Tels étaient quelques titres de la presse de Vancouver au lende- main de la présentation du ~ budget fédéral, le 31'mars. Le Ministre des Finances, M. Donald Macdonald. a inclus dans son budget de $42 milliards une aide de $1.2 -milliard destinée a _ stimuler I’économie souffrante. Mais il a également averti les Canadiens au’ils devront se ser- rer la ceinture et se préparer pour des temps rudes. La lutte contre l’inflation de- meure la priorité No. 1 de M. Un Comité dynamique... par Marc RELIVE AU Dans notre edueen du 4 Mars dernier, nous publiions que la Francoféte aurait lieu 4 Van- couver. Depuis ce temps 18a, le Comité de la Francoféte s’est _réuni le 18 Mars pour entendre une proposition d’un groupe de ‘personnes de Maillardville sug- gérant au Comité que la Franco- - féte 1977 ait lieu A Maillardville. - Devant le dynamisme et les moyens trés pratiques qu’of- fraient les gens de Maillardville, ila été décidé que le Comité de la Francoféte soit dissous et qu'un autre soit recomposé. L’exécutif du nouveau comité se compose des personnes suivantes: M. Yvan Malboeuf. président; Mme Jeannette Baillaut. vice-prési- dente; M. Jean Aussant, tréso- rier; Mile Suzanne Morin, secré-: taire. . Suite.a la réunion du'31 Mars: » dernier qui avait lieu a la Caisse Vendredi 8 Avril 1977 - recommande dans son 5e rap- Scars port annuel (p. 18. article 13) De s’assurer que. dorénavant, les organes de communication permettent de desservir équita- blement les deux communautés ~ linguistiques du pays, ce qui exige entre autres moyens qu'on se serve des hebdomadaires comme substituts dans les pro- vinces ou régions dépourvues de quotidien publié dans une des deux langues officielles.” L’excuse des ministéres et des agences pour ne pas publier dans DONALD MACDONALD Populate de Maillardvilie, le Comité de la Francoféte a décidé que les activités se dérouleront au complexe de I’école Centen- nial de Céquitlam. les 24-25-26 juin prochain. Cette proposition a ravi tous les membres pré- _ 20 CENTS Le Soleil devient “mini-quotidien” les hebdos francophones était souvent qu’ils ne publiaient que dans les quotidiens et que s’ils prenaient l’initiative de publier dans les hehdos francophones, 840 hebdos au pavs rapplique- raient. De par leur réle particu- lier, les hebdos prennent plutét le statut de “mini-quotidien” et s’assurent done un débouché logique de la publicité du gou- vernement fédéral dans les heb- dos francophones. au nom de la - Joi sur les langues officielles. / Macdonald. Cela lui a, c’était inévitable, attiré les critiques _ virulent®s de ceux qui jugent que le chémage, dont sont vieti- mes plus d’un million de Cana- diens, aurait dfi étre le premier objectif. \ Ie ministre 1 fait un tableau peut attravant de l’ave- nir immédiat: hausses des prix alimentaires et des combusti- bles, développement lent de l'économie dans son ensemble et des revenus réels.des Canadiens, et la création. cette année, de 150,000 nouveaux emplois seule- ment, ce aui ne sera pas suffi- sant pour empécher le chémage de s'accroitre. x A sents, tant les locdux qui seront utilisés permettront un évantail d'activités trés variées. iS Parmi les principales proposi- ‘tions adoptées par le comité lors de cette réunion. notons que les (Suite p.11) — ~ Les ee en 1976 Ottawa — a perte de temps- occasionnée par les arréts de travail dis aux gréves et lock- out s’est établie 4 10,624,130 jours-hommes en 1976, a indiqué Travail Canada. Ul vy eut 1,030 arréts de travail et ils ont touché 1,582,631 travailleurs (ce chiffre comprend 830,000: travailleurs impliqués dans la gréve générale du 14 octobre 1976). “ feck Les statistiques. correspon- dantes.. pour. |’année. 1975. Satnient établies a 1.171 arréts de travail, 506.443 travailleurs en cause of 10.908. 810 jours- hommes perdus. La perte de temns par rapport au total estimatif des jours ouvrables chez les travailleurs rémunérés dans les secteurs autres gue celui de l’agriculture équivalait 4 50 iours-hommes par 10,000 effectués en 1976. Cette proportion était légere- ment moindre qu’en 1975 quand - elle s’était établie A 53. peatikin cotton Eiasskicoailin Goin wr ee