NOUVEL EXECUTIF La Fédération Canadien- ne-frangaise de 1l’Ouest a tenu le samedi 11 novem- bre son assemblée annuelle & Régina. Au cours de la réunion, l’exécutif suivant a été choisi par les représen- tants des quatre associa- tions culturelles de 1’Ouest: Société Franco-Manitobai- ne ; Association Culturelle Egenco-Canedienne de la Saskatchewan ; Association Canadienne- -frangaise deri? Alberta ; Fédération des Franco-Colombiens. Président : Dr Roger Motut (Alberta) ; Vice-Président : M. Georges Paquin (Mani- toba) ; Conseillers : Mes- sieurs Joseph Jeanneau (Saskatchewan) et Nestor Therrien (Colombie Britan- nique) ; Secrétaire-tréso- rier : M. René Rottiers (Saskatchewan). Au cours de la réunion, Monsieur René Préfontai- ne a présenté son succes- seur A la direction de l’Ac- tion Socio-culturelle du Se- crétariat d’Etat A Ottawa : Madame Rita Cadieux, ainsi que le Directeur-adjoint : Mademoiselle Monica Fra- ser. Les questions suivantes ont été discutées : la presse francophone de 1’Ouest ; 1’ Animation Sociale ;1’Educa- tion, et les relations de la fédération avec le Secréta- riat d’Etat. L’Exécutif aura A trouver des moyens de financer un nombre de projets spécifi- ques qui devront aider la francophonie de 1l’Ouest ca- _nadien. |JJEUX D’ETE C’est pour préparer plus complétement le Québec aux prochains Jeux Olympiques de 1976 que le haut-commis- sariat 4 la Jeunesse, aux Loisirs et aux Sports pré- pare activement la partici- pation de l’équipe du Québec aux Jeux d’été du Canada qui se disputeront du 4 au 12 aott prochain. Le site choisi est la banlieue de Vancouver, plus précisément les muni- cipalités de New-Westmins- ter et Burnaby qui sont voi- sines en bordure du Pacifique. La Colombie-Britannique assurera la continuité de la manifestation sportive in- terprovinciale que consti- tuent les Jeux d’été cana- diens. Si le Québec engage des concurrents dans toutes les épreuves, sa délégation devra grouper au moias 25) personnes, soit presque au- tant que le Canada en a dé- ff. légué 4 Munich 1’été der- nier. LES |\CANADIENS VOYAGENT Selon un résumé statisti- que sur les voyages, le tou- risme et les loisirs de plein air remis par Statistique Canada, les Canadiens sont les détenteurs du record du monde des dépenses par ha- bitant au chapitre des voya- ges internationaux. Dans le cas du tourisme international, les Canadiens ont dépensé $ 68.30 par habi- tant en 1970, soit les dépen- ses les plus élevées au monde ; les Suédois venaient au deuxiéme rang avec $ 62.40 par personne et les Américains, trés loin der- riére, avec $ 19.90. Par contre, les Canadiens ont re- et en moyenne $ 58 par ha- itant en 1970 au chapitre du tourisme international, contre $ 12 aux Etats-Unis, mais certains pays les ont plus que déclassés : 1’Au- triche A obtenu $ 141 par rsonne et les Bahamas, 1,441. A l’intérieur du pays, les Canadiens ont effectué 6.4 millions de voyages de va- -cances en 1970, soit une -hausse par rapport A 1’an- née précédente (5.4 mil- -lions). En 1971, 1 mil- lion des 6 millions de mé- nages canadiens possédaient du matériel de camping pour la nuit et 716,000 possé-= daient des embarcations, dont 463,000 possédaient une embarcation 4 moteur hors- bord. En 1971, 361,000 ménages possédaient une motoneige et 60,000 autres en avaient deux ou plus. Peu de rési- dents de la majorité des régions métropolitaines possédaient une motoneige : seulement 4.0% des ménages en possédaient 4 Montréal, contre 9.8 %dans l’ensemble du Québec, seulement 3.3 % des familles torontoises étaient propriétaires d’une motoneige, contre 7.4 % en Ontario. Les fabricants ont livré 363,119 motonei- ges neuves en 1970 alors qu’ils en avaient livré 35,695 en 1965. UN MESSAGE DE GEMINI PHOTO Cette année, permettez-nous de vous aider A envoyer un petit supplément d’amour grace & nos cartes de voeux-portraits. Il vous suffit de nous appeler au263-4851. Venez voir notre sélection. REMUNERER EGALEMENT Ottawa- Le ministre du Travail, l’*honorable Martin O’Connell, a annoncé que le ment des provinces aux fins de la ratification de la convention internationale du travail concernant l’égalité de rémunération entre la main-d’oeuvre féminine et la main-d’oeuvre masculine pour un travail oe valeur égale. La Convention no 100 de -VOIT vise A favoriser 1’ application du principe se- lon lequel il faut éviter les differences fondées sur le sexe dans la rémunération, sous quelque forme que ce soit, 4 accorder 4 la main- d’oeuvre masculine et A la main-d’oeuvre féminine pour un travail de valeur égale. ‘La principale obligation as- sumée par un pays ratifi- cateur consiste dans 1’adop- tion de politiques visant 4 la réalisation des objectifs énoncés dans la convention. Le principe de l’égalité de rémunération a été légale- ment établi: au niveau de l’administration fédérale, en 1956, par l’adoption de la loi sur l’égalité de salaire pour les femmes. Cette loi Canada a l’agré-_ a été révoquée et rempla- cée, en 1971, par des dis- positions plus fermes con- tenues dans la partie Ill du Code canadien du tra- vail (Normes du travail). Toutes les provinces ont reconnu et appuyé les prin- cipes énoncés dans la con- vention,aumoyen de mesures législatives, et elles ont fait savoir officiellement au gou- . vernement fédéral qu’elles se conforment aux exigen- ces de la convention. La ratification de.cette con- vention par le Canada fi- gurait parmi les recommen- dations contenues dans le rapport de la Commission royale d’enquéte sur la con- dition de la femme au Ca- nada. z Plus tdt, cette année, le Canada a ratifié une autre convention fondamentale de l?OIT sur les droits de |’ homme, soit la Convention | no 87 concernant la liber- té syndicale et la protec- tion du droit syndical, a- prés avoir consulté les pro- vinces. Les accords fédéraux-pro- vinciaux A propos de ces conventions sont le fruit d’ études communes et de con- sultations réciproques qui -ont.cours depuis trois ans. CJVB 1470 LA RADIO _COSMOPOLITE DE VANCOUVER i "SALON LUCIEN -BELUN | COMFFEUR FRANCAIS 3212, rue Denman{coin ivehends VANCOUVER. “Tel: 683-4622° a