VOLUME 3, NUMERO 5 PAGE 5 Les plantes et leurs vertus (soi-disant) miraculeuses II ne se passe pas un jour sans qu’on nous vante, a la télévision, les vertus curatives de telle ou telle plante qui est censée redonner santé et bien étre. Rien n’est plus faux, car il n’en existe aucune capable d’accomplir des miracles. Si cela existait, on en synthétiserait la substance essentielle, de fagon 4 produire des médicaments sur lesquels on pourrait exercer un contréle rigoureux. Chaque année, a travers le monde, des millions de personnes font confiance a des gens sans scrupules ou incompétents qui vendent des produits qui n’ont aucun effet sur la santé ou presque, autres que de rendre malade ou pire (des centaines de cas sont rapportés chaque année). Les plantes, les vraies, qui ‘veillent’ sur notre santé, sont connues depuis la plus haute antiquité: légumes de toutes sortes, fruits frais, noix, etc., contiennent tout ce que l’organisme a besoin pour se maintenir en bonne forme. Quand la ‘machine’ cesse de fonctionner et que cela perdure, alors on doit voir le médecin qui procédera a des examens minutieux: analyses diverses, tests, radiographie, etc., afin de ne rien laisser au hasard. II ne faut pas oublier qu’en cas d’accident di 4 un médicament, les compagnies pharmaceutiques sont tenues responsables, alors qu’avec l’herboriste, on a aucun recours. Est-ce dire que le tilleul, la menthe, et autres tisanes sont mauvaises pour la santé? Non, car prendre une tasse de tisane aide a la digestion et, dans certains cas, a un effet bienfaisant sur l’organisme... mais de courte durée. Pourquoi est-on en bonne santé alors que d’autres ne le sont pas? II y a tant de facteurs, qu’il est impossible de les énumérer tous. En premier lieu, on pense a l’hérédité (bagage génétique), aux habitudes de vie, a la profession qu’on exerce, a l’hygiéne alimentaire, au stress, etc. Ce qu’il ne faut jamais perdre de vue c’est que |’étre humain, pour s’épanouir, a besoin de repos, de tendresse, de compréhension — comme les plantes, d’ailleurs — que malheureuse- ment il ne trouve pas toujours, mais de la 4 confier aveuglément sa santé 4 n’importe quelle plante .... R.Momer o,u a, » hoch ts eae « Luniwers de Chantelidemimuit » # Un cadeau, un déclic, puis un réve. Lart m’a imprégné d’une vision depuis l’age ba de deux ans. Mon premier souvenir, une femme, ma marraine, celle qui a dirigé & “7 mes mains pour dessiner, aprés m’avoir offert une poupée, d’ol mon premier pas inoubliable sur le chemin de l’art. Je me reconnais dans une discipline: l' expressionnisme, un style dans lequel est interpréte I'expression du visage. Une pensée, la peinture qui extériorise les sentiments du coeur; on y lit des choses silencieusement, sans aucune phrase, aucun mot. C’est la la valeur de I’art. Sinon a quoi servirait une ceuvre d’art si elle ne parle pas d’elle-méme cn Ci C) Ae he 2 © © Cl ire gh a Oa he o re HW 5 eee ty ni aro a ors cer se « o senes : Bae ne Je win née aw Montréal et, pressée de vivre avec le d&sir de comnuaitre la beauté dw Monde et de VAre, tant et si bien que ma mére wa pay ew le tempy Warrier w Vhépital quand je six née. Je vous wwite dany mow univers, me Seer oe > * <3 ae oe a a a CH