EDITORIAL be mois passé,la F.J.C.a envoyé au gouvernement de la C.B. a Victoria,son rapport financier et ses amendements a la constitution.Ces documents sont ies réglements de la F.J.C. comme organisme et ils doivent étre enregistrés au gou- vernement provincial pour é6tre mis dans leur filiére.La F.J.C.fonctionne,comme vous le savez bien,en frangais.Le gouvernement de la C.B.n'accepte pas comme document officiel notre version frangaise de ce qu'on leur envoie. On envoie tout en frangais avec une traduction en anglais pour qu'ils comprennent(surtout pour @6tre gentils)et ils refusent de reconnafitre que la langue officielle de la F.J.C. est bel et bien le frangais. (front sec) Leur raison semble @tre que puisque ces documents sont pu- bliques,qu'ils doivent @étre en anglais.Le public canadien est quand méme officiellement bilingue.Mais la plupart des provinces,incluant la C.B.,pensent autrement.Pour eux,seu- lement l'anglais compte. Alors,la F.J.C.c'est trouvé un avocat pour nous aider.Ce dernier leur a envoyé une lettre disant que la F.J.C.est une société qui opére totalement en fran¢gais et que c'est normal que nos documents soient en francais.Le gouvernement provincial pense que notre langue est inconnue et qu'elle devrait rester inconnue.Ils ne réalisent pas peut étre que le nombre de francophones en C.B. n'est pas quand méme pas si petit qu'ils le pensent! La réponse finale de Victoria est qu'il accepterais les deux versions(frangaises et anglaises)comme copies officielles. C'est quand méme une victoire pour nous.I1l faut toujours pousser pour avoir ce qu'on veut et quand on réussit,c'est un autre pas vers 1'établissement de notre chére langue et culture dans notre chére BRITISH COLUMBIA! HOURRA: ! 3 michel laflamme. agent de communication