les académiciens futurs. De ee Seer ree eee ears Te eee ne Pent See nn PO nn chica ee ’ - z % ae, FEN ROM LED BBAL 4 ; eee een me _ Les pionniers francophones du district de Kamloops Kamloops.A History of the dlstricl up to 1914. Mary Balf Recherches effectuées par ‘Katou Lévesque FORTIER, Charles: En 1860, il travaille pour la Cie de la B.H. et en 1870 il prospéra a son compte et s'installa prés de la bouche de lariviére Clearwater. Il prit aussi la tache de porteur durant l’arpentage duC.P.R. Ilse noyaen 1879, ‘quand la corde du traversier Savona se brisa. FRONTIER, Théo: Citoyen de Kamloops. I] ouvre un terrain de camping et attractions touristiques a l’est de la ville en 1927, suite 4 la campagne :Faisant de Kamloops le centre touristique de la C.B. En 1930, des complaintes parviennent 4 la ville au sujet du 0.50 de charge. Trop cher. En 1931, la ville ferma son terrain. (chambre de commerce). En 19381, Frontier déclare _ banqueroute comme agent de change. GENIER, Napoléon: II s’installa a Kamloops en 1896 et pie - le premier Bureau de Poste. Il est rapporté proprictaire de ranch en 1900. * GUILLAUME, Victor: En 1873, il avait une concession 3 milles au sud de la jonction de la riviére. Il acheta une partie de la propriété de Newman qui devint connue comme le Vic Ranch. En plus de son ranch, il prit la direction de l’'Hétel : Colonial en 1893.. Il mourut d’une attaque a cheval en se promenant sur sa meee en 1898. - [SUITE] ee Xavier: Employé comme messager express par le LAPRADE, Alexis: Fut donné la charge du Fort Ogden en 1841. Par la suite d’une forte discussion entre Samuel Black et le Chef Tranquillelechef meurt et sa famille attribue sa mort a la mauvaise “médecine” de Black, et ils envoient un neuveu pour tuer Black. Laprade prit le Fort en charge pour prévenir toute insurection ou pillage. Le meutrier fut capturé en peu de temps grice 4l’aide du chef Grand Gule et de Lolo St-Paul. LATREMOUILLE, Joseph: Arriva en 1908. En 1913 il ouvre l'Hétel Mount Olie, il opére une petite centrale hydro-électri- que pour le village. Son fils, J.E. conduit une diligence une fois par semaine a Kamloops. [A SUIVRE] t ¢ i) i é Devanes membre | " LEPAITFRANCAISER EN a tude appréfoadie de la’ ctticination: des Recopeees ti jpeenintion te SGee: 2 Traduction Costa ne Stade de lon Camiey, le _ [Université Simon Fraser. = $2.00 plus 1,00 pour les frais de poste. / Seciété Historique Franco-Colombienne, _ “ we. 8 armada elt pte a eae ale = neil, { Cotisation annuelle: | $4.00 membre individuel | dela Société Historique Franco-Colombienne if $10.00 membre groupe * : 1 NOM aes Shere See eee Ee ROREBSE oe wees CODE POSTAL Staak bese a a i q a mnttetsanett elt a I Pe Bet tA te FEET A ng A EO OE POSTION A AOC CO I A NT Sd Le Soleil de Colombie, vendredi 25 juillet 1980 13 Savier-vous qu'il ° : existait un journal en francais au début de la colonie? Le Courrier dela Nouvelle-Calédonie informait les premiers colons de la Colombie britannique 7 Piscuree eae les exemplaines” existent, du 11 septembre au 8 octobre 1858. *‘PRIX: $1.25.— $0.25 pour la poste. a Barved a: SOCIETE HISTORIQUE - FRANCO-COLOMBIENNE 9, Broadway Est, Vancouver, Cc B. V5T 1V4 Eo sects a iCiodense divisé en trois Maillardville: Fraser Mills, les premiers pionniers de 1909 et 1910 et les mariages célébrés pendant les 39 premiéres années d'implantation. $5.00 $0.50 [frais poste] - nom: read sur Maillardville ———y1 chapitres sur histoire de Adresse: Code postal: ~ ot Academie -Ravale des Arts du Canada La fondation de l'Académie des arts du Canada. En février 1879, Lucius O’Brien alors vice-président de l'Ontario Society of Artists, aprés John Fraser, se rend a Ottawa pour demander au gouverneur général et 4 son épouse de devenir protecteurs de la Société. Au cours de I’été et de l’automne de 1879, des réunions sont tenues a Toronto et 4 Montréal; en décembre, une constitution, fondée sur celle de la Royal Academy de Grande-Bretagne, était publiée; les . objectifs étant “d’encourager la conception en ce qu'elle a trait 4 la peinture, la sculpture, l’architecture, la gravure et’ les arts industriels, la promotion et l'aide a l'éducation favorisant la production de belles et excellentes oeuvres dans les manufactures”; les trois moyens d’y arriver avaient déja _ été précisés par le marquis a l'inauguration de la premiére _ exposition de I'Académie. La participation compren- drait 40 académiciens dont pas plus de 10 seraient _architectes, 3 graveurs et 6 dessinateurs industriels, les autres étant soit peintre, soit . -sculpteurs. On compterait également des académiciens associés dont le nombre Y artiste et architecte mont- réalais, Napoléon Bourassy vice-président. La premiére exposition de Académie des arts du Ca- nada. Tous les neue les dessins et les sculptures - maisily aurait un nombre - minimal de 20 membres - tistes étrangers distingués = oeuvre d'art représentative - connue comme le “morceau _ -architectes nommés sur un ~ total possible de 40, le conseil : seam académicien devrait devaient se trouver a Diiawk le 28 février 1880 pour permettre au Comité de sélection et du placement des tableaux, composé de Napo- léon Bourassa, Henry Sandham, Thomas Seton Scott(1836-1895), Robert Harris (1849-1919) et James Griffiths (1814-1896) de com- mencer son travail. Les artistes participant a la premiére exposition peu- vent @étre classés dans 2 groupes généraux: les pein- tres de paysages en vue de Toronto et de Montréal a la fin des années 1860 et au cours des années 1870 et les peintres de personnages qui annongaient I’évolution futu- re de l'art canadien. ’ Un des tableaux les plus en vue de l’exposition est le maximal n’était pas fixe, parmi lesquels on choisirait méme, il y aurait des acadé- micien s étrangers, “des ar- n’habitant pas le dominion”. Le gouverneur général se- crait chargé des premiéres nominations d’académiciens. ‘omme critére de sélection, - faire don a Ja nation d’une -du métier qu'il ou qu'elle avait choisi et qui serait de réception”. Parmi les 25 artistes et - de ja nouvelle académie cana- ~ dienne a été choisi. Lucius ar Brien fut nommé président Lever de soleil sur le Sague- nayde Lucius O’Brien. C’é- tait son morceau de récep- tion et il est peut étre le plus remarquable par ses cou- leurs délicates, semblables a celles de joyaux, et dont la lumiére perce la brume du matin voilant les rochers.: L’oeuvre de Napoléon Bou- rassa La peinture mystique réalisée vers 1896, témoigne de son engagement 4 une tradition mystique chrétien- ne inspirée par l’art du début de la Renaissance italienne. Cette idée, que l’artiste-de- vait mainte nir le contact _ avec les traditions du passé, était chére 4 l’Académie. La lutte continuelle pour l’art canadien. Bien que la contribution finale del’Académie al’art canadien soit évidemment fonction de la production des membres individuels, en tant qu’organisme, |’ Académie s’efforca de plus en plus de ’ promouvoir les intéréts de tous Jes artistes canadiens. La Galerie d’Art de Van- couver souligne le 100e anni- versaire de la Galerie Natio- nale du Canada et de l’Acadé- mie Royale. des Arts du Canada, par une exposition dont le théme est ‘‘Fonder une Galerie Nationale”. ~ Cette collection de 110 oeuvres comprenant dessins, sculptures, tableaux, etc... retrace l’histoire des arts de 1880 a 1913. Qn peut y admirer un tableau canadien intitulé “Le. lever du_soleil sur le Sague- nay”, Cette peinture -1880- de Lucius O’Brien, premier président de 1’A.R.A.C. a servi de modéle pour !’émis- sion d’un timbre tiré a 34 Ye millions. Fait aussi partie de cette exposition, une sculpture en 1980 bronze de Louis Philippe Hébert. Cette exposition dont l’en- trée est gratuite, se tient ala Galerie d'Art de Vancouver, 1145 Georgia ouest, du 26 juillet au 24 aofit. “Diamantose © sur 33 tours : Suite de la p. 1 Un premier disque est toujours attendu avec impa- tience, tant par le public que par les musiciens. On a peur de décevoir! Le groupe “Diamantose” présentera le 31 juillet pro- chain son premier album au public dans les locaux du Centre Culture] Colombien ancouver. Jacques St-Laurent, Sylvie Loiseau et Rémi Tremblay forment ce trio de trouba- dours modernes. Ce groupe Folk canadien frangais. “Diamantose” est né “dans la rue” en novembre 76 a Edmonton. De coins de rues en coins de rue, des trottoirs canadiens en boulevard U.S. “Diamantose” a chanté sa musique; Seattle, San Fran- cisco, Los Angeles, Santa Cruz, aprés Vancouver et Victoria, voild une des routes de ces musiciens-voyageurs. C’est au cours dé voyages rythmé et coloré est a la fois que le groupe a ‘modulé sa musique. “Diamantose” est un mé- lange de folklore traditionnel anglais, écossais, irlandais, francais et canadien francais. Leur folklore moderne instrumental et vocal. Jacques, Sylvie et Rémi ont , également participé a de nombreux festivals: en 78 au “New Orleans Art festival”.a Ottawa, Winnipeg, Calgary et puis... Vancouver “Van- couver - selon le groupe - est l'une des villes des plus réceptives a notre musique de rue.” “Les 9:et 10 mai dernier, le ‘groupe a. donc enregisiré son ler album au Soft Rock Café.. un album “live”. “Diamanto- se” est.aussi le nom de ce disque de la maison des Productions Namaid Magik.