de la Colombie-Britannique au sein de la province sont toujours méconnus des institutions fédérales. De plus, peu savent que la communauté franco-colombienne est devenue la troisiéme en importance, a l'extérieur du Québec, aprés celles de l'Ontario et du Nouveau-Brunswick. En plus de ne pas bien connaitre la communauté francophone qu'ils desservent, plusieurs ministéres ne possédent pas encore une bonne connaissance de la Partie VII de la Loi sur les langues officielles. Il y a encore des gestionnaires qui ne savent pas que leur ministére est visé par l'interministérielle et produit un plan d'action pour la mise en oeuvre de cette initiative. Il est étonnant qu'aprés plus de quatre ans, un tel manque d'information et de sensibilisation au sein des institutions fédérales visées persiste toujours. Heureusement, certains ministéres oeuvrent dans le sens contraire et travaillent activement au développement de la communauté. I1 faut dire que ces ministéres sont dirigés par des hauts fonctionnaires qui ont compris les obligations conférées par la Partie VII et les ont incorporés dans leurs opérations. RECOMMANDATIONS QUE LE MINISTERE DU PATRIMOINE CANADIEN COORDONNE PLUS ACTIVEMENT LA PARTIE VII DE LA LOI ET ENCOURAGE LES INSTITUTIONS VISEES A RESPECTER L'ENGAGEMENT DU GOUVERNEMENT FEDERAL ENVERS LES COMMUNAUTES LINGUISTIQUES EN SITUATION MINORITAIRE. QUE TOUTES LES INSTITUTIONS VISEES OFFRENT DES SESSIONS D' INFORMATION A TOUS LEURS GESTIONNAIRES QUANT AUX OBLIGATIONS CONFEREES PAR LA PARTIE VII DE LA LOI AINSI QU'AU CONTENU DE LEUR PLAN D'ACTION. 14