uvelle inédite, par Sophie Bélanger La Tour Eiffel a Venverg é des Gitans guster. Nous vions croisé a ps, Shawn arrive. Je esticule la présence de me est dans les égouts. r ne pas me contrarier a cet e kiosques; nord, sud, est, ses donc, je retourne sur le Marie est prise au dépourvu, f instant. Je plane autour du s ouest. Mes trois premiéres site de mon anneau perdu prise dans une avalanche d’ dernier kiosque, celui du nord. attentivement débobiner l'histoir ‘d'or culbuté. Pris au piége par égout en question. ement revenir accompagnée d'un reaux pour tenter de constater la aseule chose que l'on peut percevoir est un vieux paquet de « chewing . Le géant, Victor, remarque mon soupir camouflé. Avec lair de mijo 1a ou au truc, il retourne a son kiosque. En I'attendant, je sens que Marie c : farfelue et exagérée. Shawn, lui, e € me convaincre que mon anneau est seulement un petit bout d'or parmi t autres. Pour m/’aider 4 fuir leurs regards sensés, je joue avec les boutons mal outonnés de mon chandail. Heureusement, Victor revient vite. Il est quasime issable avec ses longues bottes de caoutchouc, son imperméable jaune ynts 4 vaisselle oranges. Mes amis Mes amis semblent surpris costaud gendarme. II se penche a camoufler leur honte et embarras. Avec un air confiant, Victor saute ieds, la circonférence de son corps &transforme aussi en fou rire. Je me x e gendarme déterminé 4 vouloir me La situation semble tourner a droit dans le trou de ’égout. Au fon frotte contre celle du trou. Mon esp sens coupable d'avoir été 4 la rescéu satisfaire. Mes amis essaient de™ eur mécontentement face a mes fantaisies sans limites. Je fixe le gendarme avec toutes les précautions du monde pour éviter des gesticulations de Marie*et Sawn. Je sais que mon anneau est en dessous des pieds de ce géant. Je suis*tuche bée. Pourtant l’enthousiasme et 10