- wane A lVaffiche AU QUEEN ELIZABETH _THEATRE ‘tes Contes d’Hoffman’’, de Jacques Offenbach, avec pour distribution : John Alexander : Hoffman Ricki Turofsky : Olympia Joann Grillo : Giulietta Irene Salemka : Antonia Judith Forst :;Nicklausse John Reardon : Lindorf Coppelius Dappertutto Dr. Miracle Mise enscéne ;: Bliss Hebert. Chef d’orchestre : Samuel Krachmalnick Représentations : = Samedi ler mai. - Mercredi 5 mai. - Samedi 8 mai. Places de $ 4.00 4 $ 9.00. LE CAREME, TEMPS DE RECONCILIATION. Samedi 27 mars, 42:30p.m. plus de cent-cinquante reli- gieuses de l’archidiocése de Vancouver prenaient part a une célé bration péniten- tielle. Trente-six soeurs franco- phones se réunissaient dans la chapelle de la résidence Youville, sous la direction du Pére Lemire s.s.s. de la Paroisse St Sacrement, as- sisté du Pére Guy Michaud o.m.i. de Fatima, tandis que les soeurs anglophones se réunissaient en l’église Holy Name tout prés et sous la direction de l’abbé Verrall de Chilliwack assisté des abbés Campbell, Oliver et Léonard. ; Dans un climat recueilli chacune exprimait 4 Dieu sa joie, sa reconnaissance et lui demandait son pardon. **La vie religieuse, disait le conférencier, est un esprit de service, un esprit com- munautaire ou chacune doit donner de sa personne pour temoigner le véritable es- prit du Christ qui se retrou- ve, s’intériorise et s’inten- sifie dans une priére authen- tique et personnelle’’. La célébration Eucharisti- que couronnait cette union des esprits et des coeurs en ce jour de partage spi- rituel. L’aprés-midi se ter- mina par un gofdter ot l’oc- casion fut donnée A chacune de fraterniser. Nos remerciements les plus sincéres aux religieu- ses du Foyer pour leur accueil si chaleureux et A Soeur Béatrice Morin et Soeur Thelma Boutin, orga- nisatrices de ce temps fort .de notre vie. Soeur Thérése Michaud. CeoSeCe Le Club Canadien-Frang ais de Victoria organise une “Soirée-Rencontre’”’ a ‘la salle ‘*307’’ au coin des rues Richmond et Lilian, samedi 3 avril 1971 4 20h. Venez tous vous joindre A nous, pour jouer aux car- tes, aux échecs, au ping- pong, ou simplement pour rencontrer d’autres franco- phones et écouter des dis- ques de chansonnettes fran- caises. LE CONTEXTE CANADIEN Derniére conférence le sa- medi 3 avril, au Centre d’Education Continue (au carrefour du boulevard Chancellor et de Newton Crescent, prés de 1’U.B.C.), conférence sur l’histoire ca- nadienne par le professeur Alan Smith, du département d’histoire. La conférence sera suivie d’une discussion. De 7:30 4 10:00 p.m. Le café sera servi. Entrée gratuite. ‘*Le Danseur’’, statuette de bronze de Rodin, qui avait été dérobée A la Galerie d’Art de Vancouver, dans la nuit du 25 au 26 mars, a été ren- voyée A la Galerie, dans voyée A la Galerie, par la poste, dans un vieux carta- ble. PROGRAMMES CBUF-FM. Vendredi Saint 9 avril 1971. 08.00 - Musique 08.30 - Les Joyeux Trou- badours 09.00 - Tendrement 10.00 - Radiojournal 10.10 - vendredi Saint 71 10.30 - Choeur G.Little 11.00 - Le Pére Legault 11.30 - vendredi Saint 71 14.00 - Priére pour l’amour des autres 14.30 - Jérusalem 1971 15.00 - Nouvelles et sports 15.15 - Les Petits chanteurs de Mt Royal 16.15 - Orgue 16.30 - Oeuvre de Dupré 18.00 - Si le Christ reve- nait (Guy Mauf- fette) 20.00 - Les chefs d’oeuvre de la musique 21.05 - Vendredi Saint 71 22.00 - Méditation sur le régne du coeur 23.00 - Requiem Terezin 24.00 - Pensées de la nuit ABONNES | | - Avez-vous renouvelé votre ,abonnement au Soleil cette année ?Si ce n’est pas le cas, s’il vous plaft, faites-le maintenant ! VOUS INTERESSEZ-VOUS AU JOURNALISME 9 Le Soleil commencera \bientOt sa seconde phase ‘d’expansion, et il lui sera lontaires, A temps partiel, parmi ceux quis’intéressent 4 la promotion de la langue francaise et au journalisme. En particulier, si vous dé- sirez écrire, nous serons heureux de publier votre tra- vail, surtout si vos écrits reflétent les événements lo- cauxX ou provinciaux. D’autre part, nous recher- chons une dactylographe ex- périmentée, pour un emploi 4 temps partiel. possible d’employer des vo-]. Populaire ou intellectuel « Cette semaine, j’ai assisté A deux spectacles amateurs 1 totalement différents. L’un était une féerie sur glace donnée par l’école de pati- nage deWhite Rock et 1’au- tre était ‘*Aprés la pluie’’ piéce insolite de John Bowen, jouée par les Burnaby Pla- yers au Centre James Co- wan. ‘‘Ice Capers’’ a été réalisée par les professeurs Faye Strutt et Richard Gilbert, eux-mémes patineurs pro- fessionnels, qui ont terminé le programme par un pas- ‘de-deux éclatant, rempli de ponts audacieux. A la grace de la danse, le patinage ajou- te de la vitesse et semble permettre au corps d’échap- per aux lois de lapesanteur. Lorsqu’il y a aussi des cos- tumes attrayants, des dé- cors imaginatifs, des effets de lumiére et le charme de la jeunesse, on a une réussite certaine. Deux numéros surtout m’ ont plu : d’abord celui des petits clowns A pois groupés autour d’une tente frangée descendue du plafond. Un Pierrot soliste en est sorti, la jeune Miranda Driedger. _L?autre numéro amusant était l’entrée de quatre pe- tits hommes 4 grands cha- peaux et aux visages fardés qui gonflaient et dégonflaient de fagon bizarre. Ce n’est qu’a la fin que j’ai compris. Tous les quatre ont enlevé leurs chapeaux pour révéler des adultes avec des visa- ges peints sur le ventre. Je ferai un’ reproche A ce spectacle ; pourquoi utiliser toujours de la musique po- pulaire et souvent de mau- vaise qualité Les enfants peuvent aussi bien patiner accompagnés par de la mu- sique classique. ' Le nombreux public témoi- petit lapin trébuchant sur ses patins en montrant un der- riére empailletté. Par contre, les Burnaby Players ont perdu une som- me assez importante avec leur derniére production : ‘‘After the Rain’’ est une piéce emboftée dans une au- tre. prisonniers de l’an 2170, hypnotisés pour rejouer un événement du passé (1974). Avec une uniformité de cos- tumes, un manque presque total de décors, les acteurs s’effor¢aient de créer l’am- 'biance de la vie sur un ra- ‘deaue Les personnages, qui sont des survivants d’un dé- luge nucléaire, se posent tout au long de la piéce des ques- tions trés profondes sur l’existence, quine sont d’ail- leurs jamais résolues. Ce n’est pas une piéce dont la réussite est certaine et les salles dégarnies ont démon- tré l’audace du choix. Pendant la derniére repré- sentation, la concentration des acteurs a été troublée par le bruit assourdissant d’un banquet pour neuf cents Elks dans une salle voisine. ‘Par dessus le marché, ily avait un orchestre électro- nique. La faute en incombe totalement 4 1l’administra- teur du centre, James Cowan qui savait que la cloison de séparation n’était pas inso- norisee. = L’argent parle le plus fort comme toujours, mais il faut espérer que les petites trou- pes comme les Burnaby Pla- yers ne s’arréteront pas de faire du théatre expérimen- tal, A l’avenir. Il est dommage que les en- couragements semblent faire défaut. gnait de 1’éternel attrait d’un ‘ Les acteurs sont des ~ wats cathe nn were ae reo ee si on es Seats eee See ee