Le Soleil de Colombie-Britannique, vendredi 14 férier 1997 9 Kamloops Wawa ft of . SEA vemioges banc, 2. dhysiht Kamloops, 1891 if seerdin deilet iu cola net aa priate Penden gen bh ma tne paral wr ise. pee vtorepe ae Se Esaki a Thaw saraaitehe! metal nas abide a, ohee] teripaye fen 2m SR tel rete per ve el te we zi wd eptiens Pet pape Un 9 siens et aux indiens de feuilles jaunes, bleues ‘ Le premier numéro du Saeed aa Kamloops Wawa «L‘Echo de : Kamloops» paraitle 2 mai1891. sulbaee oats ako ll est fondé par le pére et s‘adresse a la fois aux parois- Lejeune la com- mune. Chaque page est gravée au stylet puis imprimée sur des ou bru- nes selon les stocks du pére re. Le pére Lejeune qu’en 1907. Nous remercions Marie-Paule Biscaino, Heather King, Yael Neville, Nicolas Engelmayer, Sylvie Germain, Héléne Pérony, Kristen Hutchinson, Patrick B.de Montmorency, leconseil d’administration de la Société d’Histoire et Emploi & Immigration sans lesquels ce projet n’aurait pu exister. Sources de documentation: Archives de la Société d’ Histoire, Bibliothéque de la Société d’Histoire, Archives de Colombie-Britanni- que, Université de Colombie-Britannique, Archives de Vancouver, Ro- man Catholic Archives of the Archidiocese of Vancouver. Choisisse7 votre faconde houger! Lejeune. Le mensuel tire a cent = exemplaires de quatre pa- _ gesdecing pouces sur sept. _Demarsadécembre1 892, - le tirage double et le jour- nal devient hebdomadai- En mars 1893, il redevient mensuel. Il tire d’abord acing cents copies puis mille au mois de juin et trois mille quelques mois plus tard. En décem- bre 1904, il cesse de parai- tre. Seuls quelques numé- rosspéciaux sont éditésjus- r, Ghis Votre Bondir, Cscgiaael. DiOyer vole’ ClISsei. Sauier gqmbade" pédOler. jan a Ss) r remu€l. Marcher i rt lance rouler courir es WS Defi santé nolre responsabililé an le plus important. Cer DOyssel a os Vous - méme ! actif Hommage 4 la chaise berceuse PAR GISELE SAMSON Une chaise ou un fauteuil auquel des patins arqués étaientajou- tés, faisait une “berceuse”. Appelée “chaise bergante” au Québec, cette chaise a été populaire dans les foyers et l’est encore 4 plusieurs endroits. En avez-vous une chez vous? Si oui, qui vous a fait découvrir les bienfaits d’un tel meuble? A-t-elle fait partie de votre enfance? Si je pose autant de ques- tions, vous aurez compris que la chaise berceuse, c’est ma chaise préférée. Depuis ma tendre enfance, j’enai toujours vu une dans la cuisi- ne. Jemesouviens d’un dimanche quand, a quatre, nousatteignions un rythme de ber- cement 4 en faire rompre les bar- reaux et a faire dé- collerles berceaux! Patatras! Toutela famille s’est retrouvée par terre, sans blessure, et la berceuse, a la répara- tion. Jeme rappelle quec’ était dans les maisons de campagne que |’on trouvait le plus grand nombre de ces chaises ou de fauteuils 4 bascule. On les offrait aux visiteurs, car ils étaient les siéges les plus confortables de la maison. Il y avait la grosse chaise a accoudoirs qui appartenait au grand- péretandis que celiede la grand-mére était plus étroite, avec des accoudoirs plus bas, pour lui permettre de bercer les enfants ou de faire des travaux de couture ou de tricot. Non seulementla berceuse était-elle confortable, mais l’artisan, souvent le paysan lui-méme, en faisait une oeuvre d’arten les em- bellissant de toutes sortes de motifs. Pourle besoin des amoureux, on ena créé une 4 deux places, souvent installée sur le balcon. Quantaux famillesnombreu- ses, elles ontadop- té le modéle géant avecauvent. Ici, je vous confierai que grand-pére Napoléon, qui vi- vait en Outaouais, a fabriqué unedou- zaine de berceu- ses: une pour cha- cun deses enfants. Quel beau souve- nir en héritage! Saviez-vous qu’en France, ce genre de chaise était pratiquementinconnu? Sauf dans les chateaux et les résidences bourgeoi- ses ow on Ja réservait 4 la nourrice chargée de bercer les enfants, d’ot'son nom, al’époque, de “fauteuil denour- mos. Lachaise berceuse est encore trés appréciée pour sa premiére utili- té: bercer les enfants. “Se bercer” signifie s’apaiser, se calmer et s’en- (VOIR "CHAISE™ EN PAGE 12) Agente ou agent de PaRnoPraton MD liaison - recouvrement Ministére du Revenu national Victoria (C.-B.) Ce poste est ouvert aux personnes résidant dans le Grand Victoria. Dans ce réle important, vous planifierez et organiserez la perception en priorité des arriérés d’impdt de personnes et d’entreprises, ce qui vous aménera a déterminer leur capacité de payer, a négocier avec elles des modalités de reglement, ainsi qu’a les contraindre a payer en engageant des poursuites et en répondant a des enquétes publiques. Vous toucherez un salaire annuel variant entre 29 562 $ et 36 201 $. Vous possédez un dipléme d'études secondaires ou une équivalence approuvée. Il vous faut aussi avoir acquis une expérience vaste et récente en recouvrement de sommes arriérées ainsi que dans un travail avec le public. Une préférence pourra étre accordée aux faisant preuve d'une expérience probante en comptabilité ou en finances d'entreprise. La maitrise de l'anglais est essentielle. Les personnes retenues pourront occuper un poste a temps plein dés maintenant ou ultérieurement, sur une base permanente ou temporaire. Veuillez acheminervotre curriculum vite, en indiquant votre citoyenneté, d'ici le 27 février 1997, en indiquant le numéro de référence $9773R72989AD, ala Commission de la fonction publique du Canada, 1230, rue Government, piéce 539, Victoria (C.-B.) V8W 3M4. Télécopieur : (250) 363-0558. Nota : Priére de ne pas téléphoner. La préférence ira aux personnes de citoyenneté canadienne. Nous remercions tous ceux et celles qui soumettent leur candidature; nous ne communiquerons qu’avec les personnes choisies pour la prochaine étape. Nous souscrivons au principe de I’équité en matiére d’emploi. This information is available in English. iel co. ne Public Service Commission of Canada Canada