3 ree Beaew Hee __ [LES TRANSPORTS | ‘ plus défavorables: : partie “ GREENPEACE SUITE DE LA PAGE ‘UNE soufflent dans vos voiles ! Plus tard, lorsque nous é- tions dans la zone des tests nucleaires Frangais et que le gouvernement de la Fran ce avait demandé au Gou- vernement Canadien s’il se tenait responsable de la Fondation Greenpeace et de son interférence , notre Gouvernement s’en était lavé les mains, ce qui a- vait résulté en acte de pi- raterie lors_que le Véga (greenpeace III) fut assail- li par la flotte Frangaise et que David MacTaggart fut blesseé 4 1’oeil (Un pro- cés a cours actuellement en France 4 cause de cette affaire)’. Greenpeace tente de faire cesser le massacre des ba- leines, espérant éveiller les gens 4 une conscience de préservation et de sur- vie. Jouir de la terre et de ses ressources, au lieu de les détruire, prendre ce dont on a besoin et nontout ce qu’on veut et tout ce qui *trapporte’’, voila en par- tie ce que veut notre fon - dation. Les baleines se font ac- tuellement massacrer 4 un rythme d’une unité tou- tes les 14 minutes, pour sa- tisfaire aux besoins ~— de Vhomme, comme le cira- ge, cosmétiques et nour - _ riture pour les chats. Tous les produits tirés des ba- leines peuvent l’étre d’au- tres sources, aux mémes prix. L’huile de la pochet- te dorsale des baleines peut s’extraire d’une féve sau- vage, la Jécoba. Il n’y a - donc aucune raison de con- tinuer cette chasse. Il existe une Commis- sion baleiniére, (The In- ternational Wailing Com- mission, ) depuis 1946 et ~qui's’occupe de la protec- tion de plusieurs spéci- mens de baleines' mais, malgré son nom, elle n’est pas internationale et ue comprend que 15 pays. La Corée, Brésil et Peroun’en font pas partie et ils peu- vent chasser et tuer des ba- leines protégées par IWC A cause de leur nombre si restreint et du danger de leur disparition. Le Japon également envoie des flot- tes de bateaux de péche, pour prendre les gros spécimens de baleines, dé- - fendus dans 1’Hémisphére Nord. Qu’en est-il de l’argu- ~ que nous avons ment toujours opposé; 1’u- tilisation de la viande de baleine comme nourriture essentielle. Il est vrai qu’aprés la 2é. Guerre Mondiale, la viande de baleine représentait -plus de 50% de 1’alimenta- tion du japonais, aujourd’ hui, ce sont les chats car la chair de baleine_ repré- sente seulement 1.2% du régime alimentaire des japonais. - « eC e gouvernement a tous les pouvoirs pour fai- re cesser ce massacre in- sensé.-Pourquoi ne le fait-il pas; parce que, en notre siécle, le got du__ profit semble l’emporter sur la conscience d’harmonie a- vec la nature et de pro- jection de nos actions et de leurs conséquences dans le futur. Greenpeace’ tente d’at- teindre un moratoire de 10 ans sur la chasse 4 la ba- leine. ‘*Dix ans’’, cela ne permettrait méme pas 4 la baleine grise de re- trouver un équilibre nor- malet raisonnable de re- production. - Unarrét tem- poraire de cette chasse per mettrait toutefois 4 cer = tains spécimens de se re- produire, de repeupler I’ O- céan, préservant ainsi l’équilibre biologique de la mer vers laquelle l’hom- me se tournera bientdt pour subvenir A ses besoins a- limentaires. Plusieurs ressources ont déjA été détruites par l’homme et ses actions irréfléchies présentent un probléme des plus sérieux quand on sait atteint maintenant une population de 4 milliards. Avec le perfectionnement des armes de chasse, les baleines sont littéralement massacrées car l’animal n’a aucune chance d’ensor- tir. il est repéré au radar, un harpon est projeté dans le mammifére, et est muni d’une grenade 4 retarde - ment qui explose quelques secondes aprés, libérant des dents métalliques qui s’agrippent 4 sa chair. L’agonie dure des heures. - . eLa réaction du Gou- ‘vernement canadien de- vant notre requéte est extrémement décevante. Le ministre d’état Roméo Leblanc —soutient qu’il faut continuer la chasse 4 la baleine puisqu’elle mange... trop de poisson. Cet argument s’avére as- sez ridicule lorsque 1’on sait que la baleine se nour- rit surtout d’algues et de plancton et que l’Union des. Pécheurs unis supportent 4 plein feu la Fondation Greenpeace. Robert Mar- tin, le délégué Canadien a la Commission Baleiniére ‘n’est méme pas en faveur du moratoire, ce qui nous décoit beaucoup puisque Greenpeze est une fonda- tion canadienne et que tant de Canadiens veulent sau- ver les baleines. + - -L’argument du Green- peace pour la cause des ha- leines est celui de l’hérita- ge commun: les baleines de l’océan appartiennent a tous. Donc, nous, en temps que citoyens de la terre, implorons que notre part de cet héritage commun soit vivant. La Fondation Greenpeace a incité tous les canadiens qui parta - gent cette opinion, 4 écri- re une lettre faisant cette requéte et de l’envoyer a leur représentant gouver- nemental. Les 2 bateaux Greenpeace sont. déjA en mer depuis plus d’un mois et demi et nous avons deja effectue plusieurs expériences a- vec les baleines qui lon- gent la cOéte Ouest. Nous sommes maintenant préts 4 aller en haute mer pour tenter de nuire aux balei -_ niers russes et. japonais. Nous avons plusieurs tac- tiques d’harrassement ect le but ultime de l’équipage est de placer entre la ba- leine chassée et le bateau qui la poursuit, des é6tres ~ humains, 4 l’aide de ba- teaux 4 moteur de 50 CV. - - Une campagne d’in - formation est actuelle - ‘ment en cours dans tout le Canada. Ce projet co- lossal exige extrémement d’argent et d’aide de toutes sortes. Toute contribution ou offre d’assistance serait recue avec joie et nous aiderait sans doute 4: at- teindre notre but. - La F.G. est une organi- sation A buts non lucra - tifs. Toute contribution de- vrait étre envoyée a: Greenpeace V Trust Fund Project Ahab, 2007 W.4 - Vancouver - (Suite de la page une ) _ les transports. Vancouver semble avoir choisi les 2 solutions les aug- menter la densité com- ‘merciale au centre et, en plus, y entasser un maximum de masse humai- ne dans des boftes A sar- dines développées en hau- teur et appelées ‘‘buil - : 7 ding” Le choix de cette so- lution est dde en grande au manque d’édu- cation civique de notre lation: les gens de Vancouver, peut-étre plus que ceux de n’importe quel- Téléphone : | 874- 9622 le autre ville, ne veulent pas utiliser lestransports en commun. L’automobi - liste semble oublier com- plétement que ses deux pieds ne servent pas seule- ment & faire fonctionner l’accélarateur ou les freins mais peuvent occasion- nellement étre utilisés en les placant 1’un devant l’au- tre, en alternant, ce qui s’appelle ‘‘marcher’’. Vous répliquerez immé- diatement que Montréal a des transports bien supé- rieurs 4 ceux de Vancou- - ver. D’accord. Mais la qua- lite d’un transport ne peut seulement étre amé- liorée que si le public en exprime un désir légiti- 2UU UUEDL, LUTING AVEMUL,) VRAIVWUUU Ving DWewe : , Bast BS oes me. D’autre part, le pu- blic ne va naturellement augmenter la fréquentation du systéme que sisa qua- lité le satisfait. Nous som- mes en plein dans un cer- cle vicieux. (A suivre) ETPOPSSEOSCOOC SPS PS geul Clalit c u Clad. . ( Suite de la page une ) ge de l’Association cana-” dienne-francaise de 1’On-. tario; M. Daniel Poliquin, étudiant universitaire d’- Ottawa et ancien directeur régional de Direction -jeu- nesse; Mme Denise Berna- din, organisatrice d’activi- tés culturelles A Ste-Anne (Manitoba); M. René Ar- chambault, directeur du Col. lége Matthicu de Gravel- bourg et président de la Commission culturelle de la Saskatchewan; M. Léon Thériault, professeur d’- histoire acadienne et cana- dienne A l'Université de Moncton; et Mme Murielle Roy, professeur a4 I’Uni- versité de Moncton ainsi que membre de la Societé d’histoire acadienne. M. Rolland Marcoux, de la Direction de la planifica- tion et de la recherche au Ministére de 1’Education du Manitoba et auparavant animateur social auprés de la communauté franco-ma- nitobaine, remplira les fonctions de secrétaire du groupe de travail. . Le groupe de travail de- vra faire part de ses re- cherches et recommanda- tions au Secrétaire d’Etat d’ici le 31 décembre 1975. En annongant la creation du Groupe de travail sur les minorités de langue francaise, M. Faulkner a exprimé son vif intérét envers l’apport unique et dynamique des communau- tés francophones en mi- lieux minoritaires.a la vi- talité canadienne. Le Se- crétaire d’Etat a ajouté qu’il etait satisfait des re- lations entre son minis- tére et les groupes mino- ritaires de langue frangai- se, et qu’il avait confiance en l’appui que le gouverne- ment leur manifeste depuis plus de cing ans. est Motors Ltd. ancouver ALAIN GIROND: 1241 SEYMOUR STREET VANCOUVER 2, B.C. ¢ 683-0813 SERVICE. MECANIQUE COMPLET VOLKSWAGEN -DATSUN -TOYOTA-MAZDA ‘Ouvert: Sur semaine: de 7h30 A 17h30 Lessamedis: de 7h30 4 midi Vancouver - Glacier Bay - “Suite 102, 423 West Broadway, Vancouver, B.C. 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