a a Nn SE NRE NM LA DETTE EST ELIMINEE GRACE A LA GENEROSITE DES PAROISSIENS. Rénovation liturgique de notre église paroissiale, avril 1966 tout le terrain de stationne- ment entre l’église, 1’école et le gymnase. En somme, de la place pour une centaine d’autos. Conséquence : les patrons de nos bingos ont augmenté ; de beaux prix sont offerts un appareil de télévision toutes les se- maines et un téléviseur en couleur, A toutes les fins de mois. Nous sommes obli gés de nous servir non seu- lement de lasalle de l’église, mais aussi de la salle de la bibliothéque, et du gymnase. Heureusement, car les dé- penses de l’école augmentent et toutes les recettes, sauf les dons et la part 4 Dieu du dimanche, sont dirigées totalement vers les besoins scolaires. C’est toujours la méme réponse ; le curé di- ‘rige, veille a l’administra- [ tion des finances sagement et prudemment, aidé du Con- seil Paroissial, de la Com- mission Scolaire, des diffé- rentes organisations, aussi bien que par la générosité et la bonté, la compréhen- sion et acceptation sérieu- se des responsabilités par les paroissiens qui donnent généreusement et réguliére- ment. L’administrateur n’a rien 4 craindre ; alors, peut- étre désirerait-il un mira- | cle, une conversion pour plu- sieurs, mais du grand nom-_ bre, il peut attendre le sup- port. Et une fois le eapital et la sangsue mensuelle éli- minés, ce serale printemps, le soleil, la g@émence, la ré- colte car il faudrait alors “avoir fait un pas vers une ee certaine modernisation, se mettre a la page, car la pa- roisse aura vieilli déja d’ environ quarante ans. . La bonne volonté et la gé- nérosité des fidéles ont été individuellement et collecti- vement récompensées. Le Seigneur ne se laisse pas dé- passer en bonté. Il remet au centuple. Une famille re- Mmarquait : ‘‘Plus je donne le dimanche, plus cela me revient d’une certaine fagon avant la fin du mois et je ne le manque pas.’? Souvent Dieu choisit certaines famil- les chez qui Il appelle cer- taines 4mes a son service. Comme 4 Saint Matthieu, Il dit : ‘‘*suis-moi’’. C’est ‘ainsi que dans la famille Barthélemy Charpentier, II appela Anita a devenir son épouse spirituelle et a pren- dre part 4l’oeuvre du minis- | tére des apdtres en vue de /la construction au Corps du} | Christ. Elle entra dans la ;cOMmunauté des Soeurs du |Bon Pasteur de Québec et | fit ses voeux perpétuels au ‘mois d’aott 1961. Il en était | ainsi de la famille de Geor- iges Ledet od aussi Dieu ap- |pela d’une facgon spéciale ‘lune de ses filles, Clau- |dette. Elle aussi entra chez les Soeurs du Bon Pasteur , de Québec en aoft 1959, fit |Sa premiére profession le 15 }aodt 1961 etsa derniére pro- ifession en 1966. Une autre ‘jeune demoiselle, Lorraine Malo, se donna a Dieu dans \la communauté des Soeurs | (Suite p. 12) LE ‘SOLEIL; 15 OCTOBRE 1971, “XT