PHILIP WALTER Appel , OWEN ALDERMAN (NPA Le Soleil de Colombie, vendredi 14 novembre 1980 —— ee eee en r a a ra, OO Le Soleil de I'lmmersion 4 I'école Winston Churchill de Vancouver Nicky et Ticky, deux petits Tamias, se promenaient au bord d’un lac. Tout 4 coup Nicky vit quelque chose au milieu du lac. “Ticky, Ticky, regarde, une petite ile au milieu du lac et regarde, il y a un chataignier avecunmillionde chatai- gnes par terre!” criait Nicky. “Qu ca, ou ca?” Ticky pivotait afin de le voir “Oooh laaa...” “Comment est-ce que nous pouvons les ramener ici?” Nicky se demanda. Tout a coup, Nicky entendit des cris, il tourne vers l'eau et il vit Ticky qui se noyait. Tout de suit e, Nicky prit un baton, le tenait vers Ticky quile prenait. Nicky le tirait au bord du lac et demanda: “E'spéce de fou, qu’est-ce que vous faisiez?” “Ben,...jessayais de nager a Vile”. “Vous ne savez pas que les Tamias ne peuvent pas nager?” “Oh, maintenant vous me le dites!” répond Ticky. “Alors on doit chercher un systéme d’aller a Vile” disait Nicky. Les deux Tamias regardaient partout pour un systéme. Nicky regardait par terre quand il voyait un baton, une L’aventure de grande feuille et un morceau d’écorce. Nicky prenait ces trois choses et se mit au travail pour construire quel- que chose pour les rendre a ‘Vile. Aprés beaucoup d’essais, il a finalement cons- truit quelque chose qui avait Vair d’un navire. deux Tamias “C’est quoi, ca?” demande Ticky. “Ben, c’est un bateau” répon- dit Nicky. “Oh, dit Ticky avec une expression perplexe. Nicky prit le navire, le mit‘ dans l’eau et dit: “Viens, Ticky, on va faire un_ voyage al’ ILE SUR LAC “Si vous le dites” répondit Ticky. Les deux sont juste entrés quand un petit vent les pousse directement Vile. Nicky et Ticky sautaient de joie quand ils ont atterri a Vile. Tous les jours suivants les deux Tamias mangeaient les chitaignes et voya- geaient dans leur bateau, fait d'une feuille, un baton et d’un morceau d’écorce. David Thorne, 8iéme année Robert et la petite souris curieuse Il était une fois une petite souris curieuse nommée lui expliquerait le sens de certains mots qu'elle ne com- c’étaient mes professeurs qui m’ont appris les mots que je rieux, Petit Robert suggéra de fabriquer un gros livre de de candidatures elise. Elise se promenait prenait pas. ne conaissait pas” Décue par mots i mixtes partout danslechateaugi- Alors, Elise alla dans la cette anes qui ne Vaidait Se Rie Ce Fitataatcel gantesque de M. et Mme cuisine pour demander au point, la petite souris se _ lente idée et tous les villa- Champlain, roiet reine du chefcommenttrouverlesens coucha de bonne heure pour _geois de Sherwood avec Elise petit village de Sherwood. des mots qu'elle ne connais- pouvoir réfléchir de nouveau __ et le Petit Robert formérent _ Elle se promenait dans la _ sait pas. -— = le lendemain matin. ce quils ont appelé un salle 4 manger, la cuisine, la Lechefgrosetrotond parlaa Réveilléé de bonne heure, ‘“dictionnaire”. STATISTICIEN chambre du petit Robert et son tour d’une voix qui était Elise alladirectement chezle Ainsi nAquit le miraculeux Traitement: $23 474 — $26 176 (sous révision) N° de réf.: 80-NCRSO-STC-545-099 — BCF méme la chambre du roi, en quéte d’un livre important. Cette petite souris adorable cherchait en vain un livre qui enrouée et qui résonnait a travers la cuisine: .“eh bien, mon petit, commenga-t-il, quand j’étais a |’école, petit Robert se disant qu'il trouverait peut-étre la solu- tion de cette énigme. Intrigué par ce puzzle mysté- dictionnaire “Le Petit Robert” Kins Msadek 8iéme année Statistique Canada Division des méthodes Ottawa (Ontario) Politiquement aveugle... professeur quand méme JLMM. ioile Fonctions Planifie, concoit et élabore certains éléments des méthodes de collecte et'de traitement des données touchant les sondages probabilistes, les recensements et les dossiers administratifs; concoit, planifie et dirige des travaux d’évaluation; se charge de perfectionner les méthodes employées dans les domaines de la collecte, du traitement et de l’analyse des données. Conditions de candidature Dipléme universitaire en mathématiques ou statistique. - Expérience de |’application des mathématiques ou de la statistique a I’élaboration des enquétes et (ou) a l’analyse des données. Exigences linguistiques La connaissance de |‘anglais ou du francais suffit, pour - certains d’autres la connaissance de |’anglais et du francais est essentielle. Les personnes unilingues peuvent poser leur candidature mais doivent indiquer leur volonté de devenir bilingues. La Commission de 1a Fonction publique évaluera les aptitudes des candidats a devenir bilingues. La formation linguistique sera offerte aux frais de |'Etat. N° d’autorisation: 310-219-006 De plus amples informations sont disponibles en écrivant a l’adresse suivante; Job information is available in English and may be ob- tained by writing to the address below. Fe eee ee Ne One aie snc et ie Comment se porter candidat Envoyez votre demande d’emploi ou votre curriculum vitae a: Judy McCool Bureau de dotation de la Région de la capitale nationale Commission de la Fonction publique du Canada 300, avenue Laurier ouest’ Ottawa (Ontario) K1A 0M7 Téléphone: (613) 996-5851 Date limite: 4e 28 novembre 1980 Priére de toujours rappeler le numéro de référence approprié. Une lettre, adressée Ala veut-on donc y soumettre un Suddeutsche Zeitung (Jour- nal d’Allemagne du Sud), par une de ses lectrices, laisse savoir que l’atmosphére qui régne dans un certain lycée munichois est moins hospita- liére qu’on ne la voudrait: “Nos voisins logent chez eux un lycéen francais, Agé de 17. ans, qui veut passer ses vacances 4 apprendre. l’alle-' mand. Notre fils, agé de 16° ans, voulant le mener dans une de ses classes pour lui faire savoir ce que c’est . qu'une école allemande, alla directement au directeur- député de son lycée. Sa demande fut récusée par celui-ci, qui prétendait que la chose n’était pas du tout si simple. Premiérement, selon ce fonctionnaire, l'année aca- démique était effectivement terminée; deuxiémement, toujours selon celui-ci, le visiteur avait besoin d’un certificat de bonne santé. Mme Elisabeth R.., la lectri- ce, ajoute le commentaire suivant: “Je voudrais bien savoir dans quelle mesure on prend au sérieux chez nous Vhospitalité et P'entente in- ternationale. Faut-il que toute secousse a l’endroit des réglements politiques soit condamnée 4a la faillite? Méme nos enfants a nous ne sont pas assujéttis a un examen médical! Pourquoi h6te? Est-ce parce qu'il nous est “inférieur”?” Je vous remercie, Mme R. pour ces belles paroles! Bien que je sois, moi aussi, alle- mand, le mot frangais “mer- ci’ coule tout naturellement de ma plume, parce que votre lettre me rappelle la pratique d’une école située 4 Montar- gis, ville avoisinant celle ou jhabite, école dans laquelle lallemand est enseigné par une germaniste (francaise) hautement diplémée, tou- jours contente d’accueillir les enfants allemands qui lui rendent visite de temps en temps. A Montargis, situé au Loiret et Ville-soeur de Greven (Westphalie), on comprend mieux qu’a Munich ce que voulaient le général de Gaulle et M. Adenauer lorsque, ily a 15 ans, ils lancérent le “projet jeunesse” franco-allemand, soutenu par de grandes som- mes d’argent frangais et allemand, et ayant son centre -en Allemagne, d’ou, en tant qu’organisation officielle unique pour les deux pays, il rassemble des millions de jeunes Francais et Alle- mands pour les traiter politi- quement - au meilleur sens de ce mot. Se peut-il qu’on ne Sache ‘rien, absolument rien, de ce projet 4 Munich, dans cette ville ot on vient de créer tout récemment une nouvelle autorité internationale, ]’offi- ce pour les patents euro- péens? Quand je songe au cas de ce lycée quise trouve dans la capitale bavaroise, je ne peux éprouver que du cha- grin, tant pour cette école allemande, située dans ma patrie, que pour ces profes- seurs allemands, mes compa: triotes qui agissent d’une maniére si bornée, si éhontée s’avérant étre tellement aveugles pour la chose qui touche le plus intimement la politique de nos jours, la construction d’une Europe solide. (T.d.l’a p.L.H.) Future lectrice Naissance dans la famille de Bill Clarke... Bienvenue — Elizabeth! C’est le nom de la petite fille de Shelagh et de Bill. - Anglophone et francophile, le député fédéral conservateur de Vancouver-Quadra, est l'un de nos lecteurs les plus fidéles.